Se connecter avec nous

Faits Divers

Bitam: grâce à une forte pluie, ils volent le coffre-fort de 500kg du magasin Cecado

Publié

sur

Des cambrioleurs ont emporté le coffre-fort du magasin Cecado propriété du groupe CECA-GADIS, de Bitam, chef-lieu du département du Ntem (province du Woleu-Ntem). Le vol a été perpétrés dans la nuit du 24 au 25 octobre 2022. Le coffre-fort emporté, dont la valeur n’a pas été communiquée, a un poids qui avoisine les 500 kg. La police locale s’est lancée aux trousses du ou des auteurs de ce vol pour le moins spectaculaire qui plonge tous les tenanciers de grandes surfaces et autres commerçants locaux dans la psychose. Si on peut en effet cambrioler le Cecaco de Bitam, avec combien plus de facilité pourra-t-on vandaliser les commerces de moindre envergure ?

Banner

À en croire le quotidien “L’Union”, les cambrioleurs auraient profité de la pluie diluvienne qui s’est abattue sur le chef-lieu du département du Ntem la nuit du vol pour agir. Si les premiers soupçons s’orientent vers le gardien des lieux, ce dernier se défend en arguant n’avoir rien entendu à cause de la grande averse qui s’abattait cette nuit-là sur la ville. Il en effet bien connu que la pluie, notamment diluvienne, est un temps propice aux cambrioleurs tant le bruit ambiant leur permet d’agir en toute quiétude. Ajouter que du fait de la pluie, les rues sont désertes.

Lire aussi  Woleu-Ntem: l’ONDSC lance un appel d’offres national pour la construction de plateaux sportifs

Mais que ce vol ait été perpétré une nuit de pluie ne saurait suffire à tout expliquer. Il va sans dire que le casse du magasin Cecado de Bitam est couinutieusement préparée. De fait, le seul élément du poids du coffre-fort emporté démontre clairement que ce vol n’a pu être perpétré par des amateurs. Surtout, le fait que le montant que contenait le coffre-fort n’ait jusque-là pas été révélé à l’opinion, laisse entendre qu’il s’agirait d’un très gros montant. Affaire à suivre…

MEZ

Faits Divers

Port-Gentil /Terrain à plusieurs propriétaires: incarcérée pour escroquerie 

Publié

sur

Au Gabon l’on n’en finit pas de s’insurger des histoires de terrains aux multiples propriétaires. La plaine d’Ayeme, dans la commune de Ntoum en est un illustre exemple.  Si de nombreuses affaires seraient en cours selon des sources bien informées de la localité, à Port-Gentil, le parquet vient d’acter l’incarcération de dame Eugénie K. NDJIMBI, à la prison du château, pour escroquerie et abus de confiance, précise “L’Union”. Ce, après avoir vendu sa parcelle, sise au quartier Trois Filaos à de nombreux individus dont elle percevait des sommes d’argent.

Banner

Yann O. (34 ans), Larry D. (49 ans), Valérie M.M. (49 ans) et Rodrigue B (43 ans) tous des gabonais, qui auraient versé d’importantes sommes d’argent à la propriétaire du terrain. Pour tous les acquéreurs convaincus d’être les nouveaux propriétaires jusque-là tout allait bien. Jusqu’à ce que le dernier cité décide d’entreprendre des travaux sur son acquisition, mais se retrouve nez à nez avec un autre, se présentant comme propriétaire.

Dès lors, une plainte est déposée contre la vendeuse, qui a été rapidement interpellée par les éléments de la police judiciaire, avant d’être présentée devant le parquet de la ville, qui l’a placée sous mandat de dépôt pour escroquerie. Il est à croire que les sanctions appliquées contre les auteurs de ces agissements ne sont pas assez sévères. Car les récidivistes semblent ne plus avoir crainte des autorités judiciaires et vendent même des biens qui ne leur appartiennent pas aux éléments de forces de l’ordre, les impliquant dans des agissements illégaux. 

Lire aussi  Oyem, Bitam et Mitzic dans l'obscurité par manque de fuel, et bientôt plus d'eau ?

Continuer La Lecture

Faits Divers

Akanda /Viol en réunion d’une élève du lycée Mbélé: tout ne serait qu’un mensonge !

Publié

sur

On le dira jamais assez, la jeunesse se livre à des délits en tous genres dont ils ne soupçonnent ni la portée, encore moins les conséquences. Les internautes avaient été émus par l’affaire du viol d’une jeune lycéenne inscrite en classe de terminale, au lycée Mbélé d’Angondjé. Suivant des versions reprises de la famille de la prétendue victime, le forfait qui se serait produit dans la nuit du 30 au 31 mai 2024, aurait été commis par une bande de 10 garçons, qui ne seraient autres que ses condisciples de classe, menés par l’un d’eux, fils d’un haut gradé de l’armée.

Banner

C’est au terme d’une enquête menée par les services de forces de police nationale, et la pression exercée par sa mère, que la jeune fille de 16 ans va revenir sur sa version. Laquelle révèle que s’étant rendue à une fête avec ses condisciples de classe, la jeune adolescente aurait consommé de l’alcool et d’autres substances. Avant de passer la nuit chez l’hôte de la soirée, d’où elle sortira dès les premières lueurs du jour, pour se rendre chez un de ses beaux-frères, au lieu-dit Premier campement, révèle “L’Union”.

Retrouvée dans les environs, elle aurait alors «menti», selon un source judiciaire citée par le quotidien, à ses parents, qui ont immédiatement répandu la version de leur enfant sur la toile. Où, l’identité de l’officier supérieur avait même été réclamée, puis dévoilée, alors que les internautes exigeaient que son fils et ses complices soient arrêtés et incarcérés. Notamment à l’évocation des prétendues intimidations par lesquelles l’homme des corps habillés se serait illustré vis-à-vis de la famille de la jeune fille.

Lire aussi  Bitam: ils jettent au sol le cercueil, pour un désaccord lors de la messe funéraire

C’est donc la réputation d’un établissement, d’un jeune, d’une famille qui auraient été entachées par un individu, qui aurait simplement choisi de ne pas assumer la responsabilité de ses actes. Une affaire qui nous rappelle bien l’importance de se rapprocher des services compétents avant de choisir de rendre publiques les identités des personnes prétendument impliquées dans une affaire. Au risque de les exposer en vain.

Continuer La Lecture

Faits Divers

Libreville: il meurt d’un coup de ciseaux dans la poitrine

Publié

sur

Encore une victime de la violence des jeunes. La semaine écoulée aura emporté avec elle la vie d’un jeune homme de 20 ans, cruellement enlevé à l’affection des siens par un de ses camarades à l’aide d’une paire de ciseaux. Ce dernier n’aurait pas supporté de le voir dominer son compagnon de classe, lors d’une “bagarre”.

Banner

Qu’est donc devenu le fait d’ôter la vie à un être humain, pour les jeunes gabonais? Le quartier Derrière-la-prison a été le cadre d’une scène qui traduit la banalisation du meurtre chez nos jeunes. Devant le collège Frère MACAIRE, où deux jeunes élèves se livrait à une bagarre, la victime aurait pris le dessus sur son adversaire. Ce qui n’aurait pas plus à un troisième homme, devoir son camarade se faire dominer.

Il aurait donc sorti une paire de ciseaux, qu’il aurait planté en pleine poitrine de “l’ennemi de son ami”. Sous le regard hagard de nombreux badauds. Le jeune, blessé, saigne abondamment, affaibli, il s’écroule, pour ne plus jamais se relever. Ce, malgré l’intervention rapide du SAMU social arrivé en urgence sur le lieu du drame. Et les deux hommes (l’agresseur et son poulain), ont été interpellés, rapporte “L’Union”.

Lire aussi  Bitam: il po*gn*rde le copain de sa baby mama à l'aide d'une bouteille

Encore une histoire de crime à l’école, une de plus, dira-t-on. Mais quand serait-ce la dernière pour cette génération qui crée l’angoisse dans le coeur des parents qui ont désormais peur d’“abandonner” leurs enfants à l’école? Cette école pour laquelle les populations ont longtemps appelé à l’instauration d’une police scolaire. Mais il semble que la liste des élèves décédés et même des familles meurtries ne soient pas encore assez longues pour permettre que cette gangrène soit réellement prise en compte.

Continuer La Lecture

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2023 Vox Populi. Tout droits réservés.