Politique
Arsène NKOGHE appelle les fils du 5e arrondissement à confirmer dans les urnes qu’Ali BONGO est “le bon choix”

Au quartier lalala, dans le 5e arrondissement de Libreville, le député du 2e siège par ailleurs, conseiller municipal dudit arrondissement, Arsène NKOGHE NZE a rassemblé les populations, pour marquer l’acte final de la campagne “Box to box”, ce 04 mars 2023. Arrivés par millier, sur la place du dauphin, les riverains ont, par la voix de leurs représentants respectifs, adressé leur profonde gratitude au Chef de l’État, «candidat naturel» du parti démocratique gabonais (PDG) de la Majorité républicaine et sociale pour l’émergence (MRSE), pour toutes les améliorations entreprises pour faciliter leur quotidien. Pour l’honorable de cette circonscription, le moment a été jugé idéal pour sensibiliser les jeunes à la nécessité de l’enrôlement et du vote, alors que les joutes électorales se rapprochent de plus belle. Mais surtout de solliciter de ces riverains, qu’ils renouvellent leur confiance au chef de l’État, Ali BONGO ONDIMBA pour que se poursuivent les chantiers jusque-là entamés pour l’optimisation de leurs conditions de vie.

Quatre mois durant, l’élu du 2e siège du 5e arrondissement de Libreville, avec le soutien de son équipe, s’est mué en « box to box« , un homme de terrain capable aussi bien de défendre dans son parti, que d’aller arracher des voix dans le camp adverse. Les uns après les autres, les quartiers du grand Lalala et du grand Ozoungué, notamment IAI, Mindoubé, Melen, Damas entre autres les ont accueillis pour être édifiés à l’importance de prendre part au processus électoral. L’importance de «participer à la politique de [leur] quartier», encourage Nina ASSELE épse RINIERI, responsable du Grand Lalala. 17 étapes clés qui ont connu leur dernier arrêt ce weekend, avec l’intervention du «fils du 5e arrondissement», venu «jouer à domicile».

Attaquant de front les «perfides trompeurs», qui nourrissent l’ambition de détourner les voix de cet électorat, disant «qu’Ali BONGO ONDIMBA n’est pas le bon choix», Arsène Édouard NKOGHE NZE les rassure que leurs attentes sont vaines car «le 5e arrondissement n’est pas un laboratoire», pour apprentis scientifiques de la discorde. Emprunt de «franchise», son propos à la jeunesse qui l’accompagnait ce samedi visait à les inciter à prendre leur place lors des prochaines élections, non pas en s’illustrant par des actes de «violences, par des casses» plutôt par «les urnes». Et conscient de ce que leur apport est des plus indispensable, «c’est donc un partenariat que je veux que nous signons ensemble. Nous devons tous, comme un seul homme, défendre notre arrondissement contre les perfides trompeurs, qui viennent voler nos suffrages», a-t-il exhorté.
Réhabilitation des voies, construction des infrastructures sanitaires et scolaires, améliorations de la desserte en eau à travers le projet Piaepal, l’honorable Arsène NKOGHE a réitéré les projets qui ont pris forme, contribuant par ailleurs au développement du 5e arrondissement. Autant d’actions qui confortent l’avis du 2e adjoint au Maire, Franck François Saint clair ENGONE MENDOME, lorsqu’il assure qu’il est confiant que «le 5e arrondissement soutiendra le président de la République». Et pour cause, poursuit-il, Ali BONGO «a beaucoup fait pour le 5e arrondissement, en termes d’infrastructures, notamment, les écoles, les routes et le projet d’adduction d’eau. Pour cela nous pouvons dire oui, le 5e va être derrière le Président de la République».
Voilà donc qui devrait garantir d’une «victoire cash et sans bavure», le candidat naturel de la majorité, dans cette circonscription, qui lui semble déjà toute acquise. Dans les quartiers touchés par la caravane de sensibilisation, il semble que Nina ASSELE épse RINIERI, Gildas MENDOME, Joseph Fenell OYONO OSSA, Lafont NGUEMA BEKA et Causette AKOMA ont mené un travail de fond efficace, dont le résultat s’est concrétisé par l’affluence lors de la mobilisation de ce jour. Dans le 5e arrondissement, les jeunes semblent avoir pris leurs marques et sont désormais prêts à prendre une part active à la construction de leurs quartiers.
Politique
Gabon / Révision constitutionnelle: après les députés, les sénateurs disent oui

Le 29 mars 2023, la chambre haute du parlement a adopté le texte portant révision de la Constitution issue des résolutions de la concertation politique du mois de février dernier. En terme identique, l’assemblée nationale, a voté majoritairement, mardi 21 mars dernier, en faveur de la nouvelle mouture de la Loi fondamentale qui porte notamment sur la réduction de la durée du mandat du président de la République de 7 à 5 ans, l’harmonisation des durées des mandats politiques à 5 ans, le retour du scrutin à un tour (…). Lors de son l’exposé argumentatif avant le vote des députés, le Premier ministre Alain Claude BILLIE-BY-NZE déclarait que «notre pays gagnera en efficacité politique et apportera une touche de modernité dans son espace démocratique». Et de conclure: «l’option des élections à un tour permettra à notre pays de mettre en œuvre des mécanismes moins dispendieux en évitant la mobilisation répétée des ressources humaines ainsi que les coûts engendrés pour chaque élection». Cette révision constitutionnelle est ainsi passée comme une lettre à la poste, le Parti démocratique gabonais (PDG). À la seule différence que, contrairement à l’Assemblée nationale, le groupe parlementaire Les Démocrates (LD) s’est cette fois abstenu. La seule voix contre est venue Parti social-démocrate (PSD) de l’ancien vice-président Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU.
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Gabon /Harmonisation des mandats: les députés approuvent le projet de révision constitutionnelle

Le projet de révision constitutionnelle porté par le Premier ministre, Alain Claude BILLIE-BY-NZE a été plébiscité, jeudi 23 mars 2023, par un écrasant vote de 113 pour, 6 voies contre et 3 abstentions. Reste à présent au Sénat, chambre haute du parlement où le Parti démocratique gabonais (PDG) est aussi majoritaire, d’entériner le texte. Le projet soumis aux parlementaires porte sur l’harmonisation des mandats politiques au Gabon. Le mandat présidentiel passe de 7 à 5 ans renouvelable, celui des sénateurs de 6 à 5 ans, et il n’y a plus de la limitation des mandats. Des réformes de la constitution décidées lors de la concertation politique, majorité/opposition de février dernier. Si l’on s’attendait au vote contre des partis de l’opposition, notamment le Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) d’Alexandre BARRO CHAMBRIER, l’Union nationale (UN) de Paulette MISSAMBO et le Parti social démocrate (PSD) de Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU, la surprise est venue des Démocrates qui ont voté pour. Le parti de Guy NZOUBA NDAMA,dont le groupe parlementaire à l’Assemblée nationale est présidé par DAVAIN-AKOURÉ, co-président pour le compte de l’opposition aux côtés d’Alain Claude BILLIE-BY-NZE pendant la concertation politique éponyme, marque ainsi sa rupture totale avec l’opposition.
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Politique
Élections 2023: les observateurs de l’UE absents pour avoir “contribué à aggraver la situation” en 2016

Le Premier ministre était en visite officielle à Paris, capitale française, mardi 21 mars 2023. Alain Claude BILLIE-BY-NZE a notamment été l’invité de l’émission L’entretien diffusée sur France 24 et RFI, où il a été interrogé sur les raisons du refus des autorités gabonaises d’accueillir une mission d’observation de l’Union européenne (UE) à la prochaine élection présidentielle. Le Chef du gouvernement n’a pas mâché ses mots et a pointé d’entrée, le jeu trouble de l’UE en 2016. Selon lui, «lors de la présidentielle de 2016, les observateurs de l’Union européenne ont contribué à aggraver la situation au Gabon». Le premier ministre a rappelé à la gouverne des deux médias français (France 24 et RFI, ndlr), qu’ «avec l’Union européenne, nous avons discuté dans le cadre du dialogue politique intensifié et nous sommes tombés d’accord. Nous avons fait le constat que les observateurs de l’UE ont contribué à aggraver la situation au Gabon par des déclarations intempestives, peu mesurées et qui ne tenaient pas compte des réalités. Nous sommes (donc) tombés d’accord pour que cette année, il n’y ait pas d’observateurs de l’UE. Et ça n’aggraverait rien du tout parce que nous allons organiser des élections transparentes. Le vainqueur sera connu. Nous espérons que le vaincu l’acceptera et félicitera le vainqueur». Selon les conventions internationales, les États sont libres d’accueillir sur leurs sols, les missions d’observation des élections de leurs choix. Une expression de souveraineté que l’UE ne peut braver, dans le cas d’espèce, au risque de provoquer un incident diplomatique avec le Gabon.
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