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Politique

Présidentielle 2023: les raisons du rejet de la candidature de Jean Boniface ASSELE

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Annoncé sur la ligne de départ, la candidature de Jean Boniface ASSÉLÉ a finalement été rejetée par le Centre gabonais des élections (CGE). La décision de l’instance organisationnelle des élections en République gabonaise trouve son fondement dans le fait, premièrement, que le Président du Centre des libéraux réformateurs (CLR), est signataire et membre d’un groupement de partis politiques pour la majorité présidentielle (légalement constitués), dont il n’a pas démissionné en bonne et due forme. Une simple déclaration d’intention ne suffit pas pour acter une démission, une lettre en la matière dûment rédigée et déposée près qui de droit par la canaux usuels est requis pour ce faire.

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Selon la loi électorale en vigueur en République gabonaise, Jean Boniface ASSÉLÉ aurait dû démissionner de majorité présidentielle quatre (4) mois avant sa déclaration de candidature. En homme politique averti, le Président du CLR le savait parfaitement, mais à choisi d’ignorer cette exigence de la loi électorale. Faut-il, du reste, que la charte de la majorité républicaine et Sociale pour l’émergence par lui visée, stipule clairement que si le chef de la majorité se déclare candidat aucune autre personne du groupement ne peut se porter candidat.

Sauf à décliner lui-même les réelles motivations, le rejet de la candidature de Jean Boniface ASSÉLÉ laisse soupçonner une énième tentative, par lui, de semer le trouble au sein de la famille presidentielle. Un jeu d’enchères auquel l’oncle du Chef de l’État a malheureusement habitué l’opinion ces dernières années. Entre les menaces de révélations à l’impact sismique sur la famille presidentielle, et autres chantages de « tonton associé » envers sa sœur et génitrice du Président de la République.

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ors qu’il avait bien déposé son dossier de candidature auprès du Centre gabonais des élections (CGE), Jean Boniface Asselé n’a pas été retenu parmi les 19 candidatures validées annoncées dimanche soir. Le président du CLR qui se présentait déjà comme le « candidat anti grand remplacement » (sic), en référence à une supposée invasion étrangère au sommet de l’État (resic), n’affrontera donc pas son neveu lors du scrutin du 26 août prochain. À la grande déception des militants et sympathisants Céléristes qui se frottaient déjà les mains.

MEZ

Politique

“Comptes gelés, factures impayées, cuisinier absent & restrictions téléphoniques”: le point sur la situation actuelle d’Ali BONGO 

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A chacun de leur passage, les personnalités politiques qui ont pu le voir dans le cadre de visites officielles sont unanimes «Ali BONGO se porte bien» du moins physiquement. Pour les témoins de son quotidien, il n’en est rien. Car, la luxueuse résidence d’Ali BONGO ONDIMBA ne serait en réalité  «qu’une prison dorée». 

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«Il n’est pas du tout libre» a confié un proche de la famille du président déchu, à RFI. «Il y a des chars autour de sa résidence» et l’ex-chef d’État qui ne bénéficierait pas de sa retraite, ne disposerait d’aucun moyen de paiement. Car poursuit la source, en plus de ses comptes bancaires gelés, Ali BONGO qui cumulerait 3 mois de factures d’électricité impayées, verrait «ses chèques refusés». Il ne serait donc pas à l’abri «d’une coupure». 

À l’instar du téléphone auquel «il n’a pas accès», selon RFI, l’ex-président gabonais a été privé de son cuisinier principal, démissionnaire, «car il ne supportait plus de travailler dans ces conditions». Ce serait donc désormais «sa famille et notamment sa mère doivent lui amener à manger».

 Si «Ali BONGO se porte bien», il semble que le luxe de la résidence au sein de laquelle il est reclus, renferme de nombreux secrets. Mais, en plus du gel de ses comptes, ses restrictions téléphoniques, et chèques rejetés, les révélations de ses proches laissent à penser que les conditions actuelles de la vie de l’ex numéro un gabonais pourraient révéler d’autres secrets. Mais seule une communication des autorités de la Transition permettrait d’apporter des éclaircissements sur la situation de l’ancien Chef de l’État. 

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Politique

Ali Bongo “prêt à prendre ses responsabilités” devant la justice à cette condition 

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En résidence surveillée depuis le putsch du 30 août 2023, Ali BONGO ONDIMBA semble principalement affecté par la détention de son épouse, Sylvia et de son fils, Noureddine BONGO. Tous les deux accusés de haute trahison et d’avoir “usurpé” la signature de l’ex-président de la République, alors que selon certaines langues, ce dernier n’était pas en pleine possession de ses facultés cognitives. 

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Seulement, en dépit de son «handicap» et de son état de santé «fragile», Ali BONGO, pour qui l’armée avait apprêté un avion pour son exil, s’entête «il ne veut pas partir sans sa femme et son fils», a confié un proche de l’ex-famille présidentielle à RFI. Mieux encore, poursuit-il, «qu’il est prêt à prendre ses responsabilités».  Car sa femme et son fils «n’ont rien fait» et devraient être libérés.  

Mais si Ali BONGO est prêt à se livrer au sort de la justice, le président de l’Assemblée nationale, Jean François NDONGOU précise qu’il «ne peut pas passer devant un tribunal ordinaire». Car, «seule une juridiction spécialisée d’exception peut juger un ancien président». 

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Politique

Gabon / Recrutement à la fonction publique: enfin le dégel!

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L’arrêté n°000009/PM/MFPRC signé le 24 novembre 2023 par le Premier ministre Raymond NDONG SIMA vient enfin légitimer le processus de candidatures enregistré au sein des différents ministères depuis le mois d’octobre dernier. En effet, précisé la décision, «le présent arrêté porte suppression des mesures de gel des recrutements, examens et concours, titularisations, avancements, stages et reclassements dans la Fonction publique». Un soulagement pour de nombreux gabonais qui espèrent ainsi rompre avec le chômage, et devenir “fonctionnaires”. Il n’appartient plus qu’aux directeurs centraux des ressources humaines (DCRH) de procéder à l’examen des 40 000 dossiers de candidatures soumis à leur attention. Le compte à rebours semble être lancé pour les prétendants à la fonction d’agents de l’État. 

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