Se connecter avec nous

Société/Environnement

Franceville : l’huile raffinée « Cuisin’or » manque encore à l’appel

Publié

sur

Le 25 octobre 2022, nos confrères de la chaîne TVplus Afrique ont sillonné les communes de Moanda et Franceville et ont fait l’amer constat de la rareté de l’huile de palme raffinée « Cuisin’or », pourtant fabriquée sur place, sur les étalages. Excepté ceux de l’unique distributeur agréé de la province du Haut – Ogooué et celle de l’Ogooué – lolo qui, il y a trois jours, a réceptionné plusieurs tonnes d’huile de palme raffinée, en provenance de la compagnie OLAM Palm Gabon. Ce dernier qui, à lui seul, détient près de 65% des points de vente, a préféré privilégier sa chaîne de distribution et maximiser ses profits. Toutefois, en raison de la décision du Gouvernement de la République de baisser les prix de l’huile, comme ceux de plusieurs produits de 1ère nécessité, la vente en gros ne devrait pas rapporter beaucoup, d’où l’une des solutions est de mettre un terme à cette situation de quasi – monopole, en faisant en sorte qu’un autre opérateur économique, répondant au cahier de charges des pouvoirs publics et de la société OLAM, distribue, également, le précieux liquide, ce qui permettrait aux populations environnantes de se procurer plus aisément l’huile « Cuisin’or » !!!!

Lire aussi  Franceville: fin de tournée sur fond de communion à la cathédrale St-Hilaire

Société/Environnement

Gabon: Pourquoi se doter d’une nouvelle Constitution?

Publié

sur

Le lundi 21 octobre 2024, les services de la primature ont publié par les voies officielles, la monture finale du projet de loi de nouvelle Constitution, qui sera soumis au peuple gabonais par référendum le 16 novembre prochain.

Banner

Le référendum sera donc l’occasion offerte aux Gabonais de se prononcer en faveur du oui ou du non à l’adoption de ce texte.

Dans les deux cas, ils devront exprimer leur choix en toute connaissance de cause, c’est-à-dire voter en maitrisant les enjeux qui entourent l’adoption d’une nouvelle Constitution.

À cette occurrence, Fred Aurèle Zehou Moussock, porte-parole du mouvement citoyen Ensemble pour refonder la République (ERR), a adressé une lettre ouverte le 18 octobre dernier, au président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguéma, dans laquelle il l’interpelle sur les enjeux sus évoqués.

Selon lui, le peuple souverain ne peut et ne doit approuver qu’une Constitution qui permette de fonder la Cinquième République gabonaise, de préserver l’unité nationale et la paix civile, d’organiser la séparation des pouvoirs, de protéger les libertés et droits fondamentaux des citoyens, de lutter contre l’impunité et de faire revenir le Gabon dans le giron des États démocratiques.

Le porte-parole affirme que si la nouvelle Constitution comportait les atouts précités, elle permettrait de garantir la réussite de la transition et de faire retrouver au Gabon, sa crédibilité auprès des partenaires internationaux.

Lire aussi  Franceville: la dépouille d'un homme retrouvée dans un abribus

En revanche, si elle était rétrograde, discriminatoire et taillée sur mesure pour un homme, elle ferait courir de graves dangers à la nation, notamment l’autoritarisme, la confiscation de la souveraineté du peuple et le risque d’une guerre civile, comme on l’a connue en Côte d’Ivoire.

Bien que cette lettre ouverte ait été diffusée trois jours avant la publication du projet de loi de Constitution par le gouvernement, elle revêt un double intérêt. D’une part, elle fournit un critérium d’appréciation du projet de loi de Constitution. D’autre part, elle alerte sur les dangers qui guettent le Gabon, si le président de la Transition fait le choix d’une Constitution personnelle et partisane au lieu d’une Constitution républicaine et démocratique.

En somme, Fred Aurèle Zehou Moussock invite chaque Gabonais à se prononcer de manière éclairée sur les enjeux du référendum du 16 novembre, qui déterminera l’avenir du Gabon.

C’est désormais à chacun de savoir si le projet de loi de Constitution, présenté par les autorités de transition, constitue un progrès ou une regression pour le Gabon.

 

Entete-de-page-ERR1.pdf

×
Continuer La Lecture

Société/Environnement

USA : OLIGUI NGUEMA visite la Fondation Volgenau

Publié

sur

Au troisième jour de son séjour à Washington, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’Etat a visité la Fondation Volgenau.

Banner

The Volgenau Foundation a été créée en 1994 en tant que fondation opérationnelle favorisant la conservation, la restauration des ressources naturelles et l’éducation des communautés. Elle envisage un monde dans lequel les êtres vivants disposent des ressources nécessaires pour prospérer
au sein d’un écosystème durable. Elle est engagée dans la protection et la coexistence de la faune sauvage, l’éducation axée sur la conservation et les
sciences, des eaux marines, douces et terrestres entre autres.

En effectuant cette visite au sein de la Fondation Volgenau, le Chef de l’Etat s’est inspiré du modèle américain en matière de préservation de ressources naturelles. En phase avec les actions de ladite structure dont l’objectif est d’accroître la résilience aux changements climatiques, le Président de la Transition a exprimé la volonté du Gabon de renforcer le partenariat en matière de biodiversité et de conservation entre les deux pays.

Pour rappel, notre pays est leader dans les questions de protection de l’environnement et de biodiversité. À ce titre, il prend une part active dans la lutte contre les dérèglements climatiques à l’échelle mondiale. Il fait ainsi partie des pays qui participent à la régulation du climat. Cette visite de la Volgenau Foundation a donc également été l’occasion pour le Président de la République de partager l’expérience du Gabon.

Lire aussi  Ngounié: OPG fait don de matériel agricole au village Rembo
Continuer La Lecture

Faits Divers

Ntoum /De l’amitié à la machette: sa vie sauve grâce à des passants

Publié

sur

Prévenir la trahison, débusquer le faux ami, le jaloux parent, le traître avant qu’il inocule son venin est une opération aussi complexe que de nettoyer l’anus d’une hyène”, disait Ahmadou KOUROUMA. Gédéon M.A, un gabonais âgé de 26 ans l’a bien compris … à ses dépens. Ce, après avoir été extirpé des griffes de la mort, que lui réservait ses 3 amis, le 30 juillet 2024, par des personnes de bonne volonté. 

Banner

Den, Arnold et Lesmy-Dev assurent que tout serait parti d’un manque de respect. Entre “ragots”, intrusion et par-dessus tout le braquage de la mère de l’un des éléments de la bande par la victime, selon l’un des membres du trio vengeur, ils souhaiteraient vivement en découdre avec leur “faux-ami”. 

Après l’avoir activement recherché pendant plusieurs jours dans toutes les artères de la ville de Ntoum, les 3 amis vont finalement retrouver l’évadé dans la nuit de mardi. L’entraînant dans un coin reculé de la ville, ils l’auraient poignardé sur tout le corps avant de le conduire sur les rails. Où, à l’aide de machettes, ils auraient découpé des parties du corps de Gédéon, informé “L’Union”. 

Lire aussi  Run de Masuku: la sélection gabonaise veut rehausser le niveau

Ligotée, la victime va y être laisser pour morte, par ses assaillants après avoir perdu connaissance. C’est dans ces conditions que le jeune homme aurait été retrouvé par un passant, qui, à l’aide d’autres riverains, l’auraient conduit d’urgence à l’Hôpital d’instruction des armées du PK9, où sa vie a été mise hors de danger. Alors que ses agresseurs ont été placés sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville.

Continuer La Lecture

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2023 Vox Populi. Tout droits réservés.