Se connecter avec nous
Banner

Politique

Gabon: MAGANGA-MOUSSAVOU accueille les anciens déserteurs du PSD

Publié

sur

Retour au bercail pour six (6) élus locaux de Mékambo (département de la Zadié, province de l’Ogooué-Ivindo) qui avaient claqué la porte du Parti social démocrate (PSD) à la suite de la démission de leur député parti rejoindre le Parti démocratique gabonais (PDG). Il s’agit de Dominique KASSANGOYE, Godefroy ELANGOUMA, Martial DJAMBOAKA, Faustin INGOBOUET Alice IGNEMBI et Huguette MAHOUNGOU. Les anciens-nouveaux psdistes affirment avoir été «trompés» par leur député, sans davantage expliquer leur volte-face.

Banner

Voilà qui va redonner du baume au cœur de Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU. Pour rappel, les six (6) vrais-faux démissionnaires avaient claqué la porte du PSD le 14 avril 2022 en compagnie de cinq (5) autres élus locaux. Une démission collective très mal digérée par l’ancien vice-président de la République qui accusait alors le PDG et son président. Lequel y a vu une cabale orchestrée contre sa personne, afin de l’affaiblir politiquement.

«Le Président Ali Bongo qui veut coûte que coûte se maintenir au pouvoir malgré le fait qu’il n’est plus en capacité d’exercer le pouvoir, a entrepris de me mener la guerre par ce que j’aurai eu l’outrecuidance  de me présenter comme candidat aux élections présidentielles de 2023». Avant de voir les siens pousser à nouveau la porte du PSD et de déclarer, «nous conseillers du PSD issus de l’élection locale de 2018, déclarons notre adhésion au Parti social-démocrate à l’issue de la démission de l’honorable BOKAMBA NDOMBI ATABI Franck de cette formation politique».

Ayant donc réalisé la supposée tromperie du député Franck BOKAMBA NDOMBI ATABI à leur endroit, ces derniers ont réadhéré au parti. «Nous avons bien réadhéré dans notre parti le PSD», s’est réjoui Dominique KASSANGOYE  joint par nos confrères de “Gabonactu.com”. La réadhésion de ces élus locaux de Mekambo en appelle d’autres ?

Peut-être un retour du fils Biendi MAGANGA MOUSSAVOU débarqué du gouvernement dont le père attend jusqu’alors un point de chute. Rien n’est moins sûr. Que va faire le ministère de l’Intérieur? organiser un nouveau scrutin partiel ou simplement acter la réintégration des élus locaux dans leur ancienne-nouvelle formation politique ? Nous en saurons certainement plus sous peu.

MEZ

Lire aussi  Présidentielle 2023: MAGANGA MOUSSAVOU sur la ligne de départ

Politique

Le Gabon honore l’ambassadeur du Japon et le president de la CEEAC

Publié

sur

Le Chef de l’État gabonais, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, a honoré l’Ambassadeur du Japon, Shuji NOGUCHI, et l’ancien président de la Commission de la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC), Gilberto DA PIEDADE VERISSIMO, en les élevant au rang de Commandeur dans l’Ordre National du mérite gabonais. Cette cérémonie s’est tenue le 6 septembre 2025 au Palais Rénovation à Libreville.

Banner

Cette distinction est une marque de reconnaissance de la Nation gabonaise pour l’accompagnement et l’implication de ces personnalités dans la consolidation des relations multilatérales avec le Gabon. L’Ambassadeur du Japon, qui termine sa mission diplomatique au Gabon après 5 ans, a exprimé sa joie et sa satisfaction pour cette marque d’attention. Il a remercié les autorités gabonaises et le peuple gabonais pour l’hospitalité qui lui a été réservée.

Le président de la CEEAC, Gilberto DA PIEDADE VERISSIMO, s’est dit heureux et honoré par cette distinction. Il a exprimé un sentiment de mission accomplie et a félicité le Chef de l’État pour avoir mené avec succès le processus de transition et pour les projets de développement entrepris. Cette cérémonie est un témoignage de la reconnaissance du Gabon pour les efforts de ces personnalités en faveur de la coopération régionale et internationale.

Lire aussi  Les populations de Mimongo attendues aux urnes le 20 août, malgré leurs problèmes interminables
Continuer La Lecture

Politique

Gabon : La demande d’annulation des élections couplées par Alain Claude Bilie-By-Nze, une chimère politique ?

Publié

sur

Le 30 septembre 2025, l’ancien Premier ministre gabonais, Alain Claude Bilie-By-Nze, a demandé l’annulation des élections couplées (législatives et municipales) qui se sont tenues le 27 septembre dernier. Cette requête intervient alors que les résultats des élections ont déjà été proclamés et que les gagnants ont été désignés conformément à la loi électorale.

Banner

Selon Bilie-By-Nze, de nombreux manquements ont été observés dans certaines circonscriptions, justifiant ainsi sa demande d’annulation. Cependant, cette requête semble être perçue comme une manœuvre politique désespérée, notamment en raison de la faible performance de son parti “Ensemble pour le Gabon” aux élections. En effet, le parti d’Alain Claude Bilie-By-Nze n’a pas atteint le seuil requis pour conserver son existence légale, qui est d’au moins trois sièges de députés et cinq conseillers municipaux.

Poursuivant le processus du rétablissement des institutions républicaines, les élections se sont déroulées globalement sans incidents majeurs, avec seulement quelques difficultés techniques et irrégularités mineures, dans seulement 2% des centres de votent selon le vice-président de la République, Séraphin MOUNDOUNGA.
Par ailleurs, les résultats des élections ont été proclamés et les gagnants désignés conformément à la loi électorale. De plus, l’annulation des élections coûterait cher au budget de l’État, déjà lourdement endetté.

Lire aussi  L'ancien Démocrate, MOULENGUI MABENDE aurait rejoint le PDG “pour des prunes” selon MAGANGA MOUSSAVOU

Le gouvernement gabonais a clairement indiqué qu’il n’est pas question de dilapider des ressources financières et politiques pour satisfaire les revendications d’un homme en perte de vitesse. Le vice-président de la République, Séraphin Moundounga, a même invité Alain Claude Bilie-By-Nze à « recouvrer sa lucidité » et à reconnaître sa défaite.

Alain Claude Bilie-By-Nze avait déjà dévoilé ses ambitions politiques en mars 2025, en présentant son projet de société axé sur la lutte contre le chômage des jeunes, la protection sociale et la gouvernance. Cependant son passé politique et ses déclarations controversées ont suscité critiques et interrogations sur sa capacité à diriger.

Continuer La Lecture

Politique

Scandale à Ntoum : quand le PDG piétine la vision du chef de l’État

Publié

sur

Alors que les gabonais du territoire et de la diaspora espèrent un scrutin en toute transparence et certaines personnalités politiques semblent elles avoir du mal à abandonner les vieilles et mauvaises pratiques. Celles là même qui volent le vote des citoyens, leur imposant un (non) élu. À Ntoum ce 26 juin 2025, les locaux de la préfecture de la localité ont été la scène du démantèlement d’un réseau supposé de fraude. Si l’on n’en sait pas davantage sur l’identité des individus, il semblerait que l’acte frauduleux irait été commis en faveur du candidat du parti démocratique gabonais (PDG). 

Banner

Selon les témoignages obtenus par la rédaction de Vox populi 241, cette soiree-la, des individus non identifiés auraient été surpris manipulant le dispositif électoral. Assurément, selon les témoins, il s’agirait de personnes n’ont habilités, . Car à l’heure où se sont produits les faits, les noms des scrutateurs n’étaient toujours pas connus. La liste les identifiants n’aurait été rendue publique que très tard dans la nuit entre 23h et minuit, «sous la pression», dit-on. 

Entre les mains de ces individus, que les témoins ont identifié comme étant du PDG, des bulletins de votes sur lesquels ils auraient inscrit des annotations. Et à leur disposition, l’ensemble des urnes et listes électorales prévues pour les élections législatives et locales, ce entre 19h et 22 heures. Pour ce qui apparaît aux yeux des populations présentes sur lieux comme un acte de fraude électorale, le préfet n’y aurait vu qu’une volonté d’anticiper sur les élections au regard du nombre élevé des électeurs inscrits dans les bureaux des votes. En d’autres termes, cette manœuvre suspicieuse aurait été pour le salut des scrutateurs, qui n’étaient pas connus jusqu’à lors. 

Lire aussi  Gouvernement OSSOUKA II: PCMM exige un point de chute pour son fils

À la veille du lancement de la campagne électorale, le Président de la République avait appelé à la transparence, et au respect du vote des gabonais. Ntoum, defierait-elle l’autorité du numéro 1 gabonais? Lui même élu sans aucune contestation, ni soupçon de fraude? Ntoum saboterait-elle l’engagement du Président à en finir avec ces comportements qui n’ont conduit le Gabon d’antan que dans l’abîme ? L’affaire est encore pendante. Affaire à suivre. 

Continuer La Lecture

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2025 Vox Populi. Tout droits réservés.