Se connecter avec nous

Economie

Airtel Africa publie son Rapport de Développement durable 2024

Publié

sur

Londres, 7 juin 2024 : Airtel Africa, l’un des principaux fournisseurs de services de télécommunications et d’argent mobile dans 14 pays d’Afrique, publie aujourd’hui son rapport sur le développement durable 2024.

Banner

Le rapport met en évidence les progrès d’Airtel Africa dans ses principaux objectifs de développement durable, notamment le soutien à ses collaborateurs et à ses communautés, la promotion de l’inclusion financière et numérique et des initiatives visant à réduire l’impact environnemental de ses opérations.

Segun OGUNSANYA, DG sortant du groupe Airtel Africa, a déclaré : «Je suis très fier des progrès réalisés par Airtel Africa pour faire progresser nos objectifs de développement durable. Si les objectifs sont essentiels pour mener le changement, notre mission est bien plus grande : transformer la vie des gens grâce à la connectivité, aux produits et aux services favorisant l’inclusion numérique et financière tout en libérant le potentiel de la prochaine génération».

Le rapport présente les progrès réalisés pour les quatre piliers de développement durable de l’entreprise: «Notre activité», «Nos collaborateurs», «Notre communauté» et «Notre environnement».

Notre activité : Airtel Africa a continué à développer ses services de télécommunications, soutenant la croissance économique et le développement à travers le continent.

Etapes clés : Augmentation de la base de clients à 152,7 millions dans 14 marchés.
Obtention des certifications ISO 27001 et ISO 22301 qui démontrent la conformité d’Airtel Africa aux normes internationales et son engagement en faveur de la confidentialité et de la sécurité des données. Extension du réseau 4G et atteinte de 70,7 % de la population sur ces marchés, soit une augmentation de 4,9 % depuis 2022/23. Introduction des services 5G, couvrant désormais 4,14 % des clients, principalement en zone urbaine.

Lire aussi  Airtel Africa lance un service révolutionnaire d'alerte anti-spam alimenté par l'IA

Nos collaborateurs : Airtel Africa s’engage à créer un environnement de travail où tous les employés peuvent réaliser leur plein potentiel.

Etapes clés : Accroître la diversité des effectifs et des dirigeants, avec 35,4 % des postes de direction nouveaux ou ouverts occupés par des femmes, portant la représentation des femmes dans la haute direction à 22,3 %, contre 19,5 % l’année précédente. Renforcer la diversité et l’inclusion et faire progresser les talents féminins grâce au programme « Femmes pour la technologie » qui a bénéficié à 54 femmes très performantes et a entraîné une augmentation de 21 % des promotions internes de ce groupe au 31 mars 2024.
Investir 1,2 million de dollars US dans un programme de formation et de développement.

Notre communauté : Airtel Africa transforme la vie des individus, des familles et des communautés à travers l’Afrique en créant des opportunités pour un avenir meilleur. Etapes clés :
Favoriser l’inclusion financière des populations non bancarisées en augmentant la clientèle d’Airtel Money à 38 millions de personnes. Ceci est particulièrement important pour l’inclusion financière des femmes en Afrique, qui représentent 38 % des clients d’Airtel Money. Faire progresser l’apprentissage numérique à travers l’Afrique grâce au partenariat quinquennal de 57 millions de dollars US avec l’UNICEF, connectant près de 1 200 écoles à Internet et fournissant un accès gratuit à des plateformes éducatives en ligne à des milliers d’élèves en 2023/24.

Lire aussi  Segun OGUNSANYA, DG d'Airtel Africa, honoré par le Prix d'excellence pour l'ensemble de sacarrière dans le cadre des Africa Business Leadership Awards (ABLA)

Notre environnement : Airtel Africa s’efforce de réduire et de minimiser l’impact des opérations de l’entreprise sur l’environnement.

Etapes clés : Publication du « Voyage vers un avenir net zéro », en mai 2023, qui décrit les scénarios de réduction des émissions de portée 1 et 2 tout en fixant un objectif à court terme de réduire l’intensité des émissions de 62 % par rapport à la référence de mars 2022. Annonce de la stratégie de portée 3 en novembre 2023 qui définit le programme d’engagement des partenaires et fournisseurs (PSEP) pour faire progresser davantage notre engagement dans la chaîne d’approvisionnement. Lancement de notre nouvelle activité de centres de données de plusieurs millions, Nxtra by Airtel, en décembre 2023 et début de la construction de l’un des plus grands centres de données d’Afrique à Lagos, au Nigeria, qui intégrera des efficacités énergétiques modernes pour compléter les travaux en cours sur la réduction des émissions de carbone dans les sites existants.

Le rapport de développement durable 2024 d’Airtel Africa adhère au cadre de la Global Reporting Initiative (GRI) et aux recommandations de la GSMA pour le secteur des télécommunications. Pour consulter le Rapport de Développement durable 2024 d’Airtel Africa, veuillez visiter le site www.airtel.africa

Economie

Gabon: le Chef de l’État effectue une visite de chantiers sur la Façade Maritime du Champ Triomphal 

Publié

sur

Libreville,  le 11 mars 2025 Le Président de la Transition, Président République, Chef de l’État, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema a effectué ce jour une visite de chantiers sur le Façade Maritime du Champ Triomphal en compagnie des membres du gouvernement et du CTRI.  Il s’agit en l’occurrence de plusieurs infrastructures d’envergure réalisées à près de 30,50 et 80 % sur le site de la Baie des rois.

Banner

Ces bâtiments de grand standing abriteront entre autres la représentation du groupe Eramet, de la Comilog,  d’Orabank, de la future « Tour de Libreville « , ainsi que d’autres services tels que des appartements, des bureaux administratifs, des centres de conférence,  des centres commerciaux et des Marinas.

 Dans le prolongement dudit site, le Chef de l’État a également procédé à la visite du chantier de la future  « Tour H », tour géante en forme de H, qui sera réalisée sur une superficie de 20 000 mètres carrés sur une période de 4 à 5 ans. Ce monument ultramoderne aura une capacité respective 26 et 30 étages et sera doté de salles de cinéma, salles polyvalentes, d’hôtels, de centres de conférence, de musées, de centres commerciaux et bien d’autres services. 

Lire aussi  Mitzic: Airtel money rappelle à l'ordre ses revendeurs accusés de surfacturation

Décrétée sur décision du gouvernement comme étant une Zone Spécialisée d’investissements, la Baie des Rois abrite aujourd’hui des infrastructures qui traduisent la vision de développement économique du Chef de l’État.

Celle-ci s’articule autour de quatre stratégies à savoir , la construction d’infrastructures de compétitivité, l’industrialisation du pays, le développement de l’agro-business et la mise en place d’une économie de services.  Financés à plus de 80% par des investissements extérieurs, ces chantiers exécutés majoritairement par des compétences nationales constituent des leviers économiques qui auront généré à terme plus de 15 000 emplo

Continuer La Lecture

Economie

Gabon /Comilog face à une grève illimitée: un coût économique & social alarmant

Publié

sur

Depuis le déclenchement de la grève générale illimitée au sein de la Compagnie Minière de l’Ogooué (Comilog), l’entreprise subit des pertes financières considérables. L’absence de service minimum, en violation des obligations légales, aggrave encore la situation en paralysant totalement la production. Mais au-delà des chiffres, ce mouvement impacte aussi les engagements sociaux de l’entreprise, ses prestataires et l’économie locale.

Un manque à gagner de 2 milliards de FCFA par jour

La Comilog, premier producteur mondial de manganèse à haute teneur, génère des revenus considérables pour le Gabon. Or, chaque jour d’arrêt de travail entraîne une perte estimée à 2 milliards de FCFA, une somme qui ne sera jamais récupérée.


Ce manque à gagner impacte directement plusieurs aspects :

1. Baisse de la production et des exportations : Moanda, cœur de l’exploitation minière, repose sur une cadence de production optimisée. Toute interruption désorganise la chaîne logistique, affectant la livraison aux clients et les engagements commerciaux internationaux.

2. Manque à gagner pour l’État : La Comilog est un contributeur majeur aux recettes fiscales gabonaises à travers les impôts et taxes. Chaque jour de grève réduit les entrées financières pour l’État, diminuant ainsi les fonds disponibles pour le financement des infrastructures et des services publics.

3. Impact sur les investissements : L’instabilité sociale inquiète les investisseurs, qu’ils soient nationaux ou étrangers. Un climat de travail incertain peut freiner les projets d’expansion et entraîner une réduction des engagements financiers dans le secteur minier gabonais.

Un effet domino sur les engagements sociaux et les prestataires

Loin d’être une simple affaire interne à l’entreprise, cette grève affecte aussi un vaste réseau d’acteurs qui dépendent directement ou indirectement de l’activité de la Comilog.

1. Les engagements sociaux de la Comilog menacés

Depuis des années, la Comilog s’est imposée comme un acteur clé du développement local. Ses engagements sociaux couvrent plusieurs domaines :

Santé : L’entreprise finance des infrastructures médicales et contribue à l’accès aux soins pour de nombreuses familles. Une baisse de ses revenus pourrait remettre en question ces investissements.

Éducation : Des projets de formation et d’appui aux écoles locales risquent d’être suspendus, affectant directement la jeunesse de Moanda et ses environs.

Infrastructures : La maintenance et le développement des routes, de l’électricité et de l’eau bénéficient souvent des contributions de la Comilog. Une crise prolongée pourrait ralentir ces projets.


Avec une perte quotidienne de 2 milliards de FCFA, ces initiatives sociales sont désormais en danger.

2. Les prestataires et sous-traitants asphyxiés

La Comilog ne fonctionne pas seule : une multitude de sous-traitants, fournisseurs et prestataires dépendent de ses activités. La grève entraîne une chute brutale de leurs revenus et met en péril leur survie.

Les PME locales : De nombreuses petites entreprises fournissent des services essentiels à la Comilog (transport, restauration, logistique, maintenance). Sans activité, elles subissent de lourdes pertes.

Les travailleurs journaliers : Des centaines d’employés temporaires ne perçoivent plus de rémunération, affectant directement leurs familles.

Les commerçants de Moanda : L’économie locale repose sur les salaires versés par la Comilog. Une suspension prolongée des activités réduit le pouvoir d’achat des habitants, ce qui se répercute sur les commerces de la ville.


Loin d’être un simple conflit social, cette grève menace donc l’ensemble du tissu économique local.

Un climat social de plus en plus tendu

Cette situation crée un climat d’incertitude pour les employés et leurs familles. Alors que certains revendiquent de meilleures conditions de travail, d’autres s’inquiètent des conséquences d’un arrêt prolongé. Si la Comilog venait à réduire ses effectifs ou à revoir ses projets d’investissement, ce sont des centaines de postes qui pourraient être menacés à moyen terme.

Par ailleurs, l’absence de service minimum ne permet pas de préserver une activité minimale, ce qui alimente la tension entre les grévistes et ceux qui souhaitent reprendre le travail.

Quelles solutions pour éviter une crise prolongée ?

Face à cette impasse, plusieurs pistes de sortie peuvent être envisagées :

Un retour au dialogue social : La médiation du ministère du Travail pourrait permettre de rétablir un cadre de négociation. Une reprise des discussions avec des engagements clairs des deux côtés est essentielle.

Le respect du cadre légal : L’obligation de service minimum doit être appliquée pour éviter un blocage total. L’État pourrait intervenir pour veiller à son respect et assurer un compromis entre les parties.

Un cadre plus strict pour les futures grèves : Afin d’éviter que cette situation ne se reproduise, un meilleur encadrement du droit de grève dans les secteurs stratégiques pourrait être envisagé.


Conclusion : un enjeu économique et social majeur

Si la grève actuelle se prolonge, la Comilog et l’ensemble de son écosystème risquent de subir des pertes irrémédiables. L’absence de service minimum, en violation des règles en vigueur, aggrave une situation déjà critique. Il est impératif que toutes les parties reviennent à la table des négociations pour éviter un effondrement économique aux conséquences désastreuses pour les travailleurs, les prestataires et l’économie nationale.

Lire aussi  La réalité du litige opposant Airtel Gabon SA à la Sarl 2JTH
Continuer La Lecture

Economie

Gabon: promotrice de l’entrepreneuriat, la BCEG finance les activités des commerçants

Publié

sur

La Banque pour le Commerce et l’Entrepreneuriat du Gabon (BCEG), au capital de 17 milliards de FCFA, a été créé le 18 décembre 2024, aux fins soutenir le financement des activités et contribuer ainsi au développement d’un tissu d’entrepreneurs nationaux, dans le but de redynamiser l’économie nationale. Dans l’optique de réaffirmer le rôle de cette banque née de l’ambition du président de la transition, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, ce 6 mars 2025, Alain Brice NDINGA MAVOUROULOU, responsable ligne métier et chef d’agence d’Oloumi ( Mouningui), a préciser les missions et fait un bilan de l’activité de la banque depuis son ouverture.

Banner


La banque est née de la volonté du Chef de l’État de mettre à la disposition des entrepreneurs gabonais, une banque au bénéfice de l’économie gabonaise. L’institution financière a l’ambition de promouvoir l’entrepreneuriat national, en plus garantir des produits et services bancaires adaptés aux besoins des PME/PMI, des professionnels et des particuliers, sans oublier les commerçants, «qui n’étaient pas pris en compte par la banque classique», et pourraient désormais ouvrir des comptes dans leurs locaux.


En effet, a-t-il précisé, «nous avons une très belle expérience, avec le lancement du marché du CTRI sise à Oloumi, précisément dans la zone appelé Pétit-Dubaï, où les autorités de la transition ont mis à disposition, un marché. Ce marché a permis de regrouper la majorité de  ces femmes commerçantes du 5e arrondissement, notamment celles d’awendjé, d’IAI qui sont déjà bien installé. Elles ont eu la grâce par les efforts des autorités de la transition d’être bancarisées aujourd’hui», a déclaré le représentant de la Direction Générale.

Lire aussi  Airtel Africa appelle au renforcement de la collaboration public-privé pour l'action climatique en Afrique, lors de la COP28

Non sans préciser que la démarche sera étendue à l’ensemble de tous les marchés des 6 arrondissements de Libreville. Et  couvrir à l’horizon 2028, l’ensemble du territoire national.


La Banque pour le Commerce et l’entrepreneuriat du Gabon comprend à Libreville les agences suivants : l’agence siège (Okoumé) ; l’agence d’Oloumi (Mouningui) et bientôt seront à disposition de leurs clients à Nzeng Ayong, au carrefour Léon MBA. Étant une banque nationale, la BCEG s’installera au fur et à mesure dans chaque chef-lieu des provinces. Depuis là création de cette banque nationale, elle a accompagné plus d’une dizaine d’entrepreneurs gabonais. Institution financière dynamique et innovante, après l’accord d’un crédit, restera toujours le plus prêt de ses clients.

Continuer La Lecture

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2023 Vox Populi. Tout droits réservés.