Faits Divers
Oyem: un grumier sème la panique au quartier Angone 2

Un grumier a semé la panique au quartier Angone 2 à Oyem, capitale provinciale du Woleu-Ntem, le 24 novembre 2022. Transportant deux billes de grumes d’une essence de bois du Gabon, le camion qui roulait en provenance du Nord de la Commune d’Oyem, a fait une violente sortie de route et a fini sa course folle à quelques encablures de la rivière dite “Oto’o 𝗠𝗼𝗻𝗴𝗼”, mitoyenne dudit quartier du premier arrondissement du chef-lieu du département du Woleu. Non loin des installations de 𝗹’𝗘𝗰𝗼𝗹𝗲 n𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹e 𝗱𝘂 𝗗é𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 r𝘂𝗿𝗮𝗹 (𝗘𝗡𝗗𝗥).
Si aucune perte en vie humaine n’est à déplorer, il y a cependant que le grumier a, au passage, endommagé deux véhicules légers dont l’un est de la propriété d’un particulier et l’autre à usage de transport en commun (𝗧𝗮𝘅𝗶). L’origine de ce énième accident demeure inconnue. L’opinion locale attend les clarifications de la 𝗣𝗿𝗼𝗰𝘂𝗿𝗲𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥é𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 près le parquet d’Oyem, 𝗣é𝗿𝗶𝗻𝗲 𝗔DA 𝗢BIANG qui s’est aussitôt rendue sur les lieux de la scène. Les autorités municipales ont également dépêchées une équipe sur les lieux de l’accident où la chaussée a été considérablement dégradée. L’émergence des nids de poules en perspective.
Une équipe de la mairie d’Oyem s’est aussi déporté sur place, emmenée par le 3e adjoint au maire chargé des voiries, Adamou ABOUBAKAR, qu’accompagnait le chef du quartier Angone 2, Hyacinthe EYI NDONG. Cet énième accident de la circulation soulève, encore une fois de plus, la problématique du non respect, par bon nombre d’automobilistes, des règles élémentaires de conduite. Selon le service communication de la mairie d’Oyem, les habitants de l’agglomération des quartiers d’Angone pesteraient contre le statut de zone accidentogène tristement arboré par leur lieu de résidence ; du fait de l’excès de vitesse très usitée par les transporteurs terrestres de passage sur cet axe routier.
MEZ
Faits Divers
Gabon: il encaisse un coup de machette pour un regard “de travers”

Elvan NDONG, jeune gabonais de 22 ans, a sauvagement agressé Wilfried BIVIGOU BIVIGOU, son collègue, à la machette. Les faits, rapportés par “L’Union”, se sont déroulés mercredi 25 janvier dernier au district de Makouké (province du Moyen-Ogooué), sur le site des installations de l’entreprise Bance et frères, sous-traitant dans les plantations d’Olam. Wilfried BIVIGOU BIVIGOU qui s’en est sorti avec une grosse entaille sur le bras gauche a été immédiatement conduit dans l’unité sanitaire la plus proche. Tout serait parti d’un simple échange de regard. Elvan NDONG n’aurait pas apprécié que son collègue de travail le zieute de travers. À la fin de la journée, tous les employés embarquent à bord des véhicules de transport pour regagner leurs domiciles. Elvan NDONG et Wilfried BIVIGOU BIVIGOU sont assis l’un face à l’autre. C’est là que tout aurait dégénéré. N’appréciant pas le regard de son collègue sur lui, l’agresseur se serait armé d’une machette qui ne serait pas la sienne et aurait frappé son protagoniste qui a tout juste le réflexe de se protéger le visage. Elvan NDONG a été maîtrise in extremis par les autres collègues qui ne s’expliquent pas jusque-là, ce qui a pu conduire à cette escalade de violence.
MEZ
Faits Divers
Koulamoutou: une ado m*urt pendant le cours d’EPS

Vendredi 20 janvier 2023, Darly NGONGO, élève de 4e M5 du lycée Jean Stanislas MIGOLET de Koulamoutou, capitale provinciale de l’Ogooué-Lolo a trouvé la mort en plein cours d’Éducation physique et sportive(EPS). Soudainement été prise d’un malaise durant un exercice de sport, la lycéenne a été rapidement conduite dans la structure sanitaire la plus proche. Les médecins constateront simplement le décès de la fillette. Les causes du décès n’ont pas encore été révélées par les autorités compétentes.
MEZ
Faits Divers
Port-Gentil: déclarée portée disparue, elle est retrouvée chez son grand-oncle

Elève dans un établissement scolaire de Port-Gentil, capitale économique du Gabon, CITUNDU TSIGUI Marie clavline, a été «retrouvé» plusieurs jours après chez un «oncle à sa mère». Une information qui, quoique réjouissant la famille de la gamine qui avait abondamment inondé la toile par des avis de recherche, suscite bien des questions. La première étant de savoir, comment l’oncle n’a-t-il pas été informé de cette affaire? Avec la psychose née de la vague de disparitions d’individus, dont de jeunes filles retrouvées mortes plusieurs jours après, comment l’oncle de la mère, voir la famille toute entière, ont-ils pu entretenir un tel climat de fausses nouvelles? Autant de questions qui taraude l’opinion, depuis l’annonce de la réapparition de la fillette chez le tonton à sa maman. «Quand on va chez l’oncle à sa maman, on n’informe personne? L’oncle en question n’a pas le numéro de sa nièce ? En ce 21eme siècle ? Hummm pendant qu’il y a des gens qui disparaissent sérieusement voilà quelqu’un qui cause une frayeur inutile et les parents viennent raconter des histoires», peste une internaute. Et s’il s’était plutôt agit d’une simulation de disparition ? Et si l’oncle de la mère couvrait sa petite nièce coupable de fugue? Aux autorités compétentes de démêler le vrai du faux dans cette affaire.
MEZ