Hommage
Gabon: le Sénat et la CPPF saluent la mémoire de Francois ENGONGAH OWONO
Ce 16 mars 2023 au Palais Omar Bongo Ondimba, le Sénat a rendu un dernier hommage à François ENGONGAH OWONO, 1er Vice-président de la commission des affaires économiques, de la production et des échanges, mort le 26 février dernier à Paris en France des suites d’une courte maladie. Un hommage auquel se sont notamment joints ceux des présidents des trois groupes parlementaires du PDG du Sénat. Ce vendredi 17 mars, devrait suivre l’hommage du directeur général de la Caisse des pensions et des prestations familiales des agents de l’État (CPPF) dont François ENGONGAH OWONO était le PCA.
Vénérable sénateur du département du Woleu et de la commune d’Oyem, François ENGONGAH OWONO a notamment été cet ancien ministre de l’Education nationale et ancien président du Conseil national de la communication (CNC), depuis rebaptisé Haute autorité de la communication (HAC), sous feu Omar BONGO ONDIMBA. La Présidente Lucie MILÉBOU AUBUSSON, a, au nom de la chambre haute du parlement gabonais, prononcé une allocution à la dimension de l’illustre disparu.
Avec des mots empreints d’émotion et douleur mêlée, la Présidente du Sénat a salué le parcours de l’homme. «Nous voici donc réunis ce jour, au Palais Omar BONGO ONDIMBA du Sénat, pour manifester notre compassion, et rendre un témoignage de fraternité et d’amitié, à notre collègue, à un homme dont le parcours professionnel et politique, aura marqué sa génération, et bien au-delà. C’est pour moi un honneur, tout autant qu’une douleur d’être ici devant vous, pour évoquer le souvenir d’une grande voix qui s’est éteinte à jamais, mais dont la République, ses parents et amis, ses camarades, et l’élève que j’ai été pour lui en première année de médecine, n’oublieront jamais ni l’écho, ni le timbre, ni la résonance, ni la passion, et encore moins les propos parfois bien trempés de son engagement pluriel».
Lucie MILÉBOU AUBUSSON a poursuivi, en invitant le grand commis de la République qui s’en est allé, à être fier de l’héritage qu’il laisse à la postérité: «François ENGONGAH OWONO, affectueusement appelé Eboue fut : un haut dignitaire de la République, une figure emblématique, et un acteur majeur de notre paysage politique, particulièrement dans la province du Woleu-Ntem, et un incontournable interlocuteur, dans son département : le Woleu. Grandement apprécié vos nombreuses qualités humaines, marquées par un sens élevé de courage, d’abnégation, de patriotisme et de fraternité».
La Présidente du Sénat a clos son hommage, en souhaitant au vénérable sénateur François ENGONGAH OWONO de reposer en paix auprès de ses pairs: «Que votre dépouille, qui vous a servi d’habitacle pendant votre course terrestre, soit restituée à la terre de vos ancêtres, et que votre âme, œuvre de Dieu, s’en retourne à son créateur», a conclu Mme Milébou-Aubusson.
MEZ
Instituée en Afrique du Sud, en 2009, puis adoptée dans le monde entier, la journée internationale Nelson MANDELA est célébrée le 18 juillet de chaque année, à la date d’anniversaire du prix Nobel de la paix 1993. Le Mandela Day met en exergue l’engagement associatif et la solidarité en hommage au 1er président noir Sud – africain, symbole de la lutte contre l’apartheid.
A cette occasion, il est demandé à tous les participants, partout sur la planète, de consacrer 67 minutes de leur journée à une œuvre au service de leur communauté, en hommage aux 67 années passées par Madiba (le nom de clan de MANDELA) à lutter pour la justice sociale et l’égalité.
Cette année, le slogan est “faites ce que vous pouvez, avec ce que vous avez et où vous êtes”, avec un accent particulier mis sur la plantation d’arbres fruitiers, les jardins communautaires et l’action positive sur le climat. Car disait Nelson MANDELA, «les vrais héros, ce sont ceux qui font la paix et qui bâtissent». Des mots qui illustrent parfaitement cette journée de commémoration.
Il est opportun de rappeler que le MANDELA Day est, à l’origine, une idée de l’ancien président Sud – Africain Jacob ZUMA. Par ailleurs, en décembre 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a étendu la problématique des conditions de détention humaine à cette journée symbolique, rendant, également, hommage aux 27 années passées en prison par Nelson MANDELA pour sa lutte en faveur de l’équité et contre le racisme.
Mr Dieudonné Minlama Mintogo, son petit-frère, Cyrille Asseko Mintogo, et Enfants, à l’occasion du 1er anniversaire du décès de Mme MINLAMA MINTOGO née Negue Mba Estelle , prient tous ceux qui l’ont connue et aimée d’avoir une pensée pieuse et de recueil en ce jour du 14 juin 2022, date anniversaire de son rappel auprès du Seigneur.
A cet effet, du 18 au 19 juin, une série d’évènements consacrée à la commémoration de cet anniversaire est organisée selon le programme ci après : Samedi 18 juin 2022 10 h00 , prière de bénédiction et d’action de grâce à la Paroisse catholique « Enfant-Jésus » au quartier Okinda, suivie d’une remise de dons aux familles de la communauté ;
Samedi 18 juin 2022 10 h00 , prière de bénédiction et d’action de grâce à la Paroisse catholique « Enfant-Jésus » au quartier Okinda, suivie d’une remise de dons aux familles de la communauté .
16 h00: messe de requiem à la Paroisse catholique des Béatitudes ( Vallée Sainte Marie ) , suivie d’un cocktail;
Dimanche 19 juin 2022 : 10 h 00 culte d’action de grâce à la Paroisse protestante de Bel-Air, suivi d’une remise de dons.
12h30-15h30 : Repas offert par la famille et animation des chorales au domicile familiale de BEL AIR.
Hommage
Gabon: le 10ème anniversaire du décès de Pierre MAMBOUNDOU placé sous le sceau de la réunification
10 ans après le décès de l’ancien Président de l’Union du Peuple Gabonais (UPG), Pierre MAMBOUNDOU, les familles biologique et politique du disparu, ont prévu de lui rendre hommage en réunifiant le parti divisé à la disparition de son président-fondateur. Cette célébration débute ce jeudi 14 octobre 2021 à Libreville, et ce, jusqu’au vendredi 15 octobre 2021 dans sa ville natale Ndendé, le chef-lieu du département de la Dola dans la Ngounié.
La place immuable de la cérémonie sous le sceau de la réunification consiste à rappeler que Pierre MAMBOUNDOU reste dans leurs cœurs, mais également informer la communauté internationale du lancement de la Fondation Pierre MAMBOUNDOU pour la paix, l’éducation, la démocratie, la protection de l’environnement et le développement durable à travers le monde, dans les prochains jours. Mais celle-ci est aussi question de parler de l’achèvement des travaux du mausolée de l’ancien maire de Ndendé.
Ainsi, le programme de la célébration sera établi de la façon suivante:
«Le jeudi 14 octobre à 14h, il est prévu une conférence-débat à l’Esplanade Nka’Ayogo à la Cité Damas, sous le thème : «Vie et œuvre politique de Pierre MAMBOUNDOU», avec comme intervenants un représentant de la famille de Pierre MAMBOUNDOU, et Aimé MOUDJEGOU MOUSSAVOU et Fortuné MATSIENGUI MBOULA, tous deux Docteurs en Sociologie, Enseignants-chercheurs au département de sociologie à l’Université Omar BONGO (UOB).
Au cours de cette conférence-débat, de nombreuses personnalités politiques telles que Robert NTCHORERE du Cercle Omega, Mathieu MBOUMBA NZIENGUI du l’UPG, Richard MOULOMBA MOMBO de l’Aréna, Jean de Dieu MOUKAGNI IWANGOU de l’Union et Solidarité (US), David MBADINGA de l’Union des Patriotes loyalistes, Bonaventure NZIGOU MANFOUMBI du FER, Jean-Marie MAGUENA, un ancien diplomate, feront des témoignages de leurs souvenirs avec l’illustre homme politique, apprend-t-on.
La journée du vendredi 15 octobre, quant à elle, sera marquée par la tenue d’une messe de requiem à l’église Sacré Cœur à Ozangué vers 15 h, suivie d’un cocktail à la résidence Pierre MAMBOUNDOU à Mindoubé 1. Ce même jour à Ndendé, une messe sera dite à 9 h, suivie du dépôt d’une gerbe de fleurs au mausolée Pierre MAMBOUNDOU».
En rappel, Pierre MAMBOUNDOU, est né le 6 novembre 1946 à Mouila dans le sud du Gabon, et mort le 15 octobre 2011, des suites d’une «crise cardiaque». Il était un homme politique, leader de l’Upg, principal parti d’opposition gabonaise, qu’il a créé le 14 juillet 1989 à Paris, précise “l’Agence Gabonaise de Presse” (AGP).
