Société/Environnement
Gabon : un opérateur économique buy la parcelle abritant L’école publique de Lalala

C’est au cours d’une réunion de travail entre le ministre d’état à l’Habitat, l’Urbanisme et au Logement, Régis IMMONGAULT TATANGANY et une délégation de la mairie centrale de Libreville conduite par le premier adjoint au Maire, Serge AKASSAGA, qu’il a été révélé une outrageuse affaire de vente du patrimoine foncier de l’Etat par des fonctionnaires véreux.
Source : « Média 241″
La mairie de Libreville a de moins en moins de réserves foncières à investir, du fait de l’acquisition de plus en plus importante de son patrimoine foncier par des opérateurs économiques. Mais elle clame urbi et orbi son impuissance ou plutôt son ignorance des procédures qui ont conduit à cette situation qu’elle juge alarmante. Dernier exemple en date, la vente du terrain abritant l’école publique de Lalala dans le cinquième arrondissement de Libreville, à un particulier et ce, dans le plus grand flou et de la plus illégale des manières, en flagrante violation des procédures en la matière, selon Serge AKASSAGA.
Selon l’édile, « nombre de ces documents ont été attribué sans réunir l’instance de délibération municipale », (c’est-à-dire le Conseil Municipal, ndlr). Ainsi, selon toute vraisemblance, les titres fonciers sont attribués à tout-va sans que les autorités municipales et étatiques ne soient formellement consultées.
Cet imbroglio a pour conséquence de mettre les autorités sur le fait accompli et dans l’obligation de laisser les acquéreurs rentrer dans leur droit. État de choses qui interroge une fois de plus sur le respect de la loi au Gabon, car, comment expliquer que des personnalités privées arrivent à déposséder malicieusement l’État et la municipalité de leurs biens, au mépris des lois et textes en vigueur ? Le cas de l’école publique de Lalala est celui de trop.
Faits Divers
Libreville: les m*urt*iers du boutiquier d’Acaé rattrapés par la PJ

La police judiciaire (PJ) a finalement appréhendé les trois meurtriers d’Amadou DIOP, ressortissant sénégalais de 36 ans qui tenait une petite échoppe au quartier Acae, dans le 5e arrondissement de Libreville. Les 3 indélicats répondent aux noms de Dan MAMBOUNDOU, alias Flameur, (gabonais) 30 ans, Olivier ABOUI AKOUÉ alias Richi (gabonais), 26 ans et Bruno NGOLEINE, 33 ans (togolais) 33 ans. Un 4e élément a été interpellé avec la bande du nom de Koami SODJINE (togolais). Les faits remontent au mercredi 11 janvier dernier. Après avoir sauvagement assassiné le boutiquier, les trois lascars ont pris la fuite. Mais leur cavale n’aura duré que 3 semaines. Face aux enquêteurs de la PJ, ainsi que le rapporte “Médias 241”, les meurtriers reconnaissent et expliquent qu’il ne s’agirait pas d’un assassinat prémédité, mais plutôt d’un braquage qui aurait mal tourné : « Le jour du crime, nous étions venus simplement pour braquer le boutiquier, on voulait prendre la recette du jour et partir. Sauf que devant la forte résistance opposée par le boutiquier, ont sera obligé de le ligoter avant de le poignarder ». Au moment où nous mettions sous presse, les trois malfaiteurs étaient encore aux mains de la PJ. En attendant de passer devant le procureur avant d’être déférés à la prison centrale de Libreville.
MEZ
Faits Divers
Gabon: il encaisse un coup de machette pour un regard “de travers”

Elvan NDONG, jeune gabonais de 22 ans, a sauvagement agressé Wilfried BIVIGOU BIVIGOU, son collègue, à la machette. Les faits, rapportés par “L’Union”, se sont déroulés mercredi 25 janvier dernier au district de Makouké (province du Moyen-Ogooué), sur le site des installations de l’entreprise Bance et frères, sous-traitant dans les plantations d’Olam. Wilfried BIVIGOU BIVIGOU qui s’en est sorti avec une grosse entaille sur le bras gauche a été immédiatement conduit dans l’unité sanitaire la plus proche. Tout serait parti d’un simple échange de regard. Elvan NDONG n’aurait pas apprécié que son collègue de travail le zieute de travers. À la fin de la journée, tous les employés embarquent à bord des véhicules de transport pour regagner leurs domiciles. Elvan NDONG et Wilfried BIVIGOU BIVIGOU sont assis l’un face à l’autre. C’est là que tout aurait dégénéré. N’appréciant pas le regard de son collègue sur lui, l’agresseur se serait armé d’une machette qui ne serait pas la sienne et aurait frappé son protagoniste qui a tout juste le réflexe de se protéger le visage. Elvan NDONG a été maîtrise in extremis par les autres collègues qui ne s’expliquent pas jusque-là, ce qui a pu conduire à cette escalade de violence.
MEZ
Faits Divers
Koulamoutou: une ado m*urt pendant le cours d’EPS

Vendredi 20 janvier 2023, Darly NGONGO, élève de 4e M5 du lycée Jean Stanislas MIGOLET de Koulamoutou, capitale provinciale de l’Ogooué-Lolo a trouvé la mort en plein cours d’Éducation physique et sportive(EPS). Soudainement été prise d’un malaise durant un exercice de sport, la lycéenne a été rapidement conduite dans la structure sanitaire la plus proche. Les médecins constateront simplement le décès de la fillette. Les causes du décès n’ont pas encore été révélées par les autorités compétentes.
MEZ