Se connecter avec nous

Société/Environnement

Gabon : Averda poussé vers la sortie

Publié

sur

La convention de concession avec l’Etat Gabonais arrivant à sa fin cette année, des voix dont celle de Léandre NZUE, maire de Libreville, s’élèvent pour demander la résiliation du contrat avec Averda, qui pour lui, a failli à sa mission.

Banner

Comme le rapporte “Gabonreview”, l’édile de Libreville a fait part de son souhait de voir l’État couper les ponts immédiatement avec Averda, lors d’une interview accordée à “M241Tv”.

Selon lui, la société Averda « n’a pas rempli son cahier de charges ». Mais pourtant, l’Etat gabonais a une dette envers Averda, qui s’élèverait aujourd’hui à 25 milliards de Fcfa et dont Léandre NZUE affirme qu’elle est apurée mensuellement à hauteur de 400-500 millions de Fcfa.

Alors, l’on peut se poser la question de savoir qu’est-ce qui peut réellement motiver ce désaveu de la part du Maire de Libreville, d’autant plus que la convention concerne uniquement l’Etat Gabonais par le biais du Ministère de l’Intérieur et la société Averda. En tout état de cause, le premier citoyen de Libreville estime que la société de ramassage des ordures n’a pas rempli toutes ses obligations envers la partie gabonaise notamment en ce qui concerne le curage des caniveaux et le nettoyage des bassins versants. Bref, les deux parties sont donc à couteaux tirés, chacune pointant du doigt le non-respect des clauses du contrat par l’autre partie.

La société Averda a pris en charge le ramassage des ordures depuis 2014, en remplacement de la Sovog qui elle même avait remplacé Clean Africa. La convention de concession conclue avec l’Etat gabonais prend fin cette année 2019 et devrait être renouvelée automatiquement pour deux ans supplémentaires, à moins qu’il y soit mis un terme.

Continuer La Lecture
Cliquez pour commenter

Laisser une Réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Société/Environnement

Des éléments de la GR accusés d’abus de pouvoir au village ZANG-NAME

Publié

sur

[D]ans la journée du mercredi 15  janvier 2025, aux environs de 11 heures, les ouvriers qui avaient pour mission de construire des toilettes modernes après avoir reçu la commande d’un fils du village, ZANG-NAME situé sur la route de Cocobeach dans la province de l’Estuaire, ont été surpris d’être interrompu par Sieur K D. Accompagné  de 2 éléments nouvellement recrue à la Garde républicaine (GR), ces derniers vont donner l’ordre aux maçons d’arrêter les travaux de construction d’un WC. En brandissant des menottes et menaçant de faire embarquer manu militari, comme si c’était des officiers de la police judiciaire.

Banner

Naré par nos confrères de « 7 jours info », le propriétaire du terrain joins au téléphone depuis Libreville, va se rendre dans le  village. Il trouvera son grand frère devant, et fera le constat que son  WC n’est pas sur le terrain de la dame  Fatou et de son fils. Lequel n’étant plus présent lors de l’arrivée du propriétaire du dit terrain. Par mesure de compréhension, un des membres de la famille va essayer de faire comprendre à la dame que le fameux WC ne se trouve pas sur son terrain, et qu’il a toujours là et ce depuis l’époque du défunt Paul EKOUAGHE ESSONE. La mère ne va pas l’entendre de cette oreille  et va certainement informer son fils qui fera une descente avec 4 de ses collègues le jeudi 16 janvier 2025 à 14h cette fois ci avec 4 éléments.

Sans état d’âmes les agents de la Garde républicaine vont molester  les ouvriers, menacer, exercer du trafic d’influence tout en passant par la destruction des biens d’autrui. Cela ne suffisant pas qu’une convocation du chef de village a suivi. Le propriétaire du terrain va donc se rendre en urgence au  village  avec un agent du corps judiciaire pour constater  les faits mais, les mercenaires avaient déjà quitté les lieux.

Une situation qui remets en cause la tenue des  enquêtes  de moralité lors du recrutement  des agents. Les abus de pouvoirs des agents  de la GR n’est plus à souligner, car c’est un fait qui ne cesse d’être dénoncé. Quelles sont les mesures correctives que le président de la transition compte prendre face à des situations qui existe depuis des années ?

Continuer La Lecture

Société/Environnement

Gabon: un apport de 10% exigé pour bénéficier d’une moto tricycle

Publié

sur

Le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, a reçu le 15 janvier courant au Palais Rénovation le collectif des Jeunes des quartiers sous-intégrés, communément appelés État Major Général des Mapanes.
Cette rencontre qui s’inscrit dans la continuité de l’action du Chef de l’État en faveur de la promotion de l’entreprenariat des jeunes a été l’occasion de sensibiliser ces derniers sur l’importance de l’autonomisation.

Banner

Conscient des problèmes liés à la précarité dans ces quartiers, le Président de la République a annoncé la mise à disposition de 400 moto tricycles au bénéfice de ces jeunes, notamment des mototricycles Bennés, mototricycles électriques et des trycicles moto bâche.

Lesdits véhicules seront accessibles via un recensement des jeunes volontaires issus des différents quartiers de la capitale à l’instar de l’opération 1 jeune 1 taxi lancée en septembre dernier. Pour acquérir ces véhicules, d’une valeur allant de 1 à 3 millions de FCFA, les bénéficiaires devront apporter un dépôt initial de 10 % auprès de la Banque pour le Commerce et l’Entrepreneuriat du Gabon, qui aura la gestion de différentes modalités de remboursement adaptées aux bénéficiaires.

Tout en sensibilisant sur le fléau grandissant de la consommation des drogues, notamment les dangers liés à celle-ci, le Chef de l’État a rappelé que des sanctions Sévères seront appliquées aux récidivistes. Exprimant leur gratitude au Chef de l’État pour cette initiative les jeunes du collectif ont promis de faire bon usage de ces véhicules afin de contribuer au développement inclusif et durable du pays.

Continuer La Lecture

Société/Environnement

“J’ai un nom !”, le plaidoyer maladroit de Christine Audrey CHAMBRIER qui relève un “Gabon des uns et des autres “

Publié

sur

Se pointer sur le service public, à une heure de grande écoute, clamer son innocence, comme dans un tribunal, puis  flanquer à la face de ses compatriotes qu’on valerait mieux qu’eux, parce qu’héritière d’un “nom”, donc élue de Dieu, il faut avoir une sacrée paire d’ovaires. C’est bien à cet exercice inédit auquel s’est prêtée, ce 05 janvier 2025,  gente dame Christine Audrey CHAMBRIER, ancienne Directrice générale de  la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs). Un instant de grand malaise, qui nonobstant un accoutrement sobre, tenue pagne,  absence de boucles et de makeup n’ont pu faire oublier à ses concitoyens quelle ne partage pas leur itinéraire social.

Banner

Audacieux , dans un pays gardé captif, pendant plus d’un demi-siècle, par une famille et ses affidés qui n’ont eu pour seule compétence que leur ingéniosité à siphonner les caisses d’un État dont 39,2 % de la population vit sous le seuil de pauvreté, avec un taux de chômage estimé à 30 % comme dirait l’autre bagnard, «quelle indignité ! Nous sommes sur le service public ». Car tout compte fait, malgré cette fracture sociale perceptible, cette disparité sociale évidente, loin d’un doigt d’honneur adressé à ce Gabon périphérique, il serait judicieux, à l’ère du renouveau, de ne pas ouvrir la porte du vivre-ensemble avec une clef d’étranglement. «On a trop souffert !»

Avec une plaidoirie plus proche de celle de Jérôme CAHUZAC, ancien ministre français du Budget, que de…

Act 2 à suivre …

Continuer La Lecture

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2023 Vox Populi. Tout droits réservés.