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Politique

Présidentielle 2023: AKURE-DAVAIN, le choix de NZOUBA NDAMA pour la candidature du parti Les démocrates ?

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Exit Guy NZOUBA -NDAMA, cheval finalement non partant à la prochaine présidentielle en raison de sa condamnation le 23 décembre 2022 à 3 mois de prison avec sursis dans l’affaire du milliard de FCFA retrouvé sur lui à la frontière Gabon-Congo. En remplacement de l’ancien président de l’Assemblée nationale, le choix des Démocrates (LD) devrait se porter sur le président honoraire de ce parti de l’opposition, le Dr Séraphin AKURE-DAVAIN. C’est l’information non officielle, mais notamment révélée par l’hebdomadaire panafricain Jeune Afrique et qui circulerait sous cape depuis un bon moment déjà au siège de cette formation politique sis au Bas-de-Guégué, dans le 1er arrondissement de Libreville. Selon certaines indiscrétions, c’est Guy NZOUBA NDAMA qui devrait lui-même annoncer, sous peu, le choix du député du 2e arrondissement de Lambaréné (Moyen-Ogooué). Chirurgien orthopédiste de profession, Séraphin AKURE-DAVAIN esquisserait d’ailleurs une ébauche de son offre politique pour le Gabon, dans le livre qu’il s’apprête à publier aux Éditions de L’Harmattan. Une sorte de diagnostic qui se voudrait sévère de l’état du pays (sic).À en croire Jeune Afrique, l’ancien président de l’Assemblée nationale s’activerait lui-même pour pousser le président du groupe parlementaire de LD à la chambre basse du parlement, vers le devant de la scène. Affaire à suivre…

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Libreville /Élections générales 2023: l’UDIS demande aux populations du 6e arrondissement de s’enrôler massivement

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La coordination de l’Union pour la Démocratie et l’intégration sociale (UDIS) du sixième (6e) arrondissement de Libreville est sur le terrain. Objectif de ce déploiement est de sensibiliser les populations de cette circonscription électorale sur l’impérieuse nécessité, pour eux, de se faire enrôler sur les listes électorales et surtout de voter le jour j. Insistant sur la place et le rôle de la femme dans la société et dans la politique, le Coordonnateur du parti dans cet arrondissement, Ghislain NGUEMA ELLA, et son équipe demande aux populations de la circonscription électorale éponyme d’exercer leur devoir citoyen.

Pour rappel, le ministre de l’Intérieur a officiellement lancé les opérations d’enrôlement mardi 7 mai dernier. Mais depuis lors, l’engouement n’est pas celui escompté. Sur le terrain, l’on constate plutôt un timide déplacement des populations vers les centres d’enrôlement. Dans l’opinion, la possibilité du report des élections alimente les conversations. La particularité de cette révision du fichier électoral, tient au fait que cette année trois (3) scrutins sont prévus: présidentielle, législatives et locales.

Sont principalement concernés : les jeunes qui ont atteint la majorité ces sept dernières années, et tous ceux qui ne figurent sur l’ancienne liste électorale élaborée en 2016 sont également concernés. Les familles sont appelées à déclarer les décès afin que les morts soient retirés des listes électorales. La révision electorale s’étend sur 30 jours dans 159 centres d’enrôlement au Gabon et 31 à l’étranger. Plus de 3 000 personnes sont mobilisées. Il n’y aura que trois jours pour faire des réclamations. Puis les cartes d’électeurs seront distribuées par qui de droit.

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Fort de tous ces rappels énoncés par le ministre de l’Intérieur, la coordination de l’UDIS pour le 6e arrondissement de Libreville exhorte les populations de cette circonscription électorale à se faire enrôler massivement sur les listes. «Attendre la dernière minute pour se faire enrôler serait une erreur que les Gabonais ne peuvent se permettre», martèle Ghislain NGUEMA ELLA. Un rappel qui fait écho à l’appel à la mobilisation générale lancé par le président de ce parti membre de la majorité républicaine et sociale pour l’émergence, Hervé Patrick OPIANGAH, lors du méga meeting du 11 février 2023 au stade de Nzeng-Ayong .

«Je vous exhorte de pouvoir vous rebeller positivement, de vous organiser et d’attendre la période d’enrôlement, de vous enrôler massivement pour que partout où il y aura des candidats de l’UDIS pour ces élections générales à venir, qu’on ait plus d’élus; parce que quand on a plus d’élus, on peut faire bouger les choses». Et à en juger par les réponses positives qu’enregistre la coordination sur le terrain depuis le début de sa mission de sensibilisation, on peut affirmer que le message est en effet bien reçu.

MEZ

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Conférence africaine de la jeunesse: Franck NGUEMA vante “le contrat de confiance” gabonais au Maroc

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Le ministre de la Jeunesse et des sports, Franck NGUEMA, a pris part, mardi 9 mai à Rabat au Maroc, à la Conférence Ministérielle Africaine de la Jeunesse organisée par l’ Union Panafricaine de la Jeunesse et le ministère de la Jeunesse du Royaume chérifien. Objectif de ces assises: la mise en place de stratégies de développement continentales en matière de Jeunesse, mais ausdi de faire un plaidoyer pour une ratification de la Charte africaine de la jeunesse par tous les pays. La jeunesse représente l’avenir du continent africain, avec plus de 400 millions d’individus de 15 à 35 ans. « Nous avons échangé pour fournir aux jeunes les outils et les ressources pour leur succès », a posté le ministre sur ses réseaux sociaux. Le Gabon ayant ratifié la Charte africaine de la jeunesse, Franck NGUEMA a donc saisi « l »occasion de présenter les avancées des politiques publiques gabonaises en matière de jeunesse ».

MEZ

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Projet de loi portant orientation relative à l’Economie Sociale et Solidaire: Y-F MANFOUMBI se défend devant le Parlement

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Le ministre du Commerce Yves-Fernand MANFOUMBI a défendu devant le parlement, le projet de loi portant orientation relative à l’Economie Sociale et Solidaire en République Gabonaise. Le membre du gouvernement justifie son idée en s’appuyant, d’une part, sur l’exemple de bien des pays dans le monde dont les politiques de développement sont caractérisées par la dominance d’une économie plurielle où le secteur privé à but lucratif et le secteur public sont des acteurs dominants, et notant, d’autre part, l’apparition de l’Economie sociale et solidaire dans les pays occidentaux et ceux en voie de développement.

L’Economie Sociale et Solidaire est l’ensemble des activités économiques et sociales, exercées par des structures formelles poursuivant une finalité d’intérêt collectif et sociétal, indépendantes et jouissant d’une gestion autonome, démocratique et participative et auxquelles l’adhésion est libre et volontaire. Et conformément aux principes énoncés dans les dispositions de l’article 5 du présent projet de loi, les entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire concernées exercent donc, dans tous les secteurs de la vie humaine, leurs activités de production, d’achat, de distribution, de commercialisation des biens et services sous forme de coopératives, mutuelles, associations et fondations (CMAF) afin d’apporter des réponses collectives aux besoins sociaux, distincts de l’entrepreneuriat classique.

Le présent projet de loi s’articule autour de (04) Titres comprenant Sept (07) chapitres et Treize (13) sections. Le Titre premier qui traite de l’objet, consiste à fixer un cadre juridique commun à l’ensemble des entreprises composant le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire. Le projet de loi présente les entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire, leur fichier et leur gestion financière. Le chapitre 2 du titre I, désigne les personnes morales éligibles comme entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire, et rend obligatoire la nécessité de constituer un fichier national qui doit être actualisé annuellement. Il édicte, pour finir, les règles communes en matière de gestion financière de ces mêmes entreprises.

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Le Titre 2, quant à lui, porte sur la politique de promotion pour le développement de l’Economie Sociale et Solidaire et ses Acteurs. Il énonce les mesures de politique publique que les pouvoirs publics se doivent de prendre pour faciliter l’implémentation et le développement de ce secteur économique sur l’ensemble du territoire national. Ils prennent également des mesures en faveur du développement de l’innovation sociale (chapitre 1 du titre 2). Les organisations nationale, provinciale et départementale chargées de promouvoir l’Economie Sociale et Solidaire dans leur ressort territorial respectif. Il est ainsi créé le Conseil National de l’Economie Sociale et Solidaire ainsi que ses démembrements provinciaux et départementaux. Ce sont des organes de conseil, de consultation et de promotion (chapitre 2 du titre 2).

À l’image de ce qui s’est passé dans certains pays développés (Canada, Espagne, Etats-Unis, France, Royaume-Uni…) et ce qui se passe actuellement dans d’autres en voie d’émergence (Brésil, Maroc, Rwanda, Kenya, Algérie…), Yves-Fernand MANFOUMBI veut insuffler «une approche nouvelle et différente de pratiquer l’économie en cherchant à conjuguer efficacité économique et finalité sociale». Pour mémoire, le Gouvernement a décidé en 2009, de diversifier les sources de l’économie nationale à la lumière du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), afin de mieux prendre en compte ces situations mais aussi, de renforcer l’idée que cette orientation majeure prescrite pour parvenir au Gabon émergent à l’horizon 2025 ne saurait être mise œuvre sans la reconnaissance de l’Economie Sociale et Solidaire comme modèle économique à part entière au Gabon ; puisque sa contribution au développement des populations, à la création des emplois, des richesses et au Produit Intérieur Brut (PIB) est indéniable.

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Représentant une part non négligeable dans la création d’emplois, des biens et services, l’Economie Sociale et Solidaire) secteur manque foncièrement de visibilité et de lisibilité au Gabon. Il n’existe nullement, à ce jour, un fondement juridique sur lequel s’appuie l’ensemble des entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire. Il en résulte que chaque entreprise sociale exerce ses activités économiques ou commerciales en tenant compte des textes particuliers, alors que le concept de l’Economie Sociale et Solidaire répond à des principes et finalités universellement adoptés et vulgarisés aussi bien par l’Organisation des Nations-Unies, au plan institutionnel international, que par la majorité des Etats dans le monde. Il n’existe pas non plus de règles juridiques communes applicables à ces entreprises et qui prennent en compte les problématiques qui les assaillent dans leur processus de création, de structuration, de promotion et de développement ».

Le présent projet de loi vise donc, entre autres objectifs, de contribuer à la mise en place d’un cadre juridique commun favorable à la promotion et au développement des entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire et au développement de l’innovation sociale au cœur de l’économie gabonaise, sans prétendre remplacer les normes en vigueur régissant chacune de ces entreprises qui composent le secteur. Il vise également une reconnaissance et une meilleure visibilité et lisibilité de l’Economie Sociale et Solidaire, en lui octroyant une sécurité juridique accrue en précisant les éléments de définition de l’Economie Sociale et Solidaire et en fixant les principes auxquels doivent se soumettre les différentes entreprises qui la composent.
Il institue au profit des entreprises, une meilleure pérennisation de leurs activités, un agrément distinctif « entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire » ».

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