Environnement
Sommet Etats – Unis /Afrique: ABO réitère l’engagement du Gabon dans la lutte contre le réchauffement climatique
Dans un communiqué publié le 13 décembre 2022, dont une copie est parvenue à notre rédaction, la Présidence de la République a tenu à informer l’opinion publique qu’au cours du sommet Etats – Unis – Afrique, qui se tient, du 13 au 15 décembre 2022, à Washington, le Chef de l’Etat, Ali BONGO ONDIMBA, a réaffirmé l’engagement total du Gabon, notre pays, à la préservation de l’environnement.
Dans son allocution de circonstance, le Chef de l’Etat a rappelé que le Gabon est recouvert, à 88%, de forêts tropicales, avec l’un des niveaux de déforestation les plus faibles au monde. Soulignant la création d’aires terrestres et maritimes protégées, Ali BONGO ONDIMBA a indiqué les efforts réalisés par notre pays en matière de repeuplement des éléphants au sein de la forêt gabonaise, notamment en élaborant des mécanismes de lutte contre le braconnage.
«Dans l’accord cadre de Paris de 2015, le Gabon a fait sa part», a déclaré le Chef de l’Etat, comme on peut le lire dans ledit document. De par la protection et la conservation de ses forêts, le Gabon prend une part active dans la lutte contre le réchauffement climatique. Pour ce qui est de la réduction des émissions de carbone et de l’adaptation en général, Ali BONGO ONDIMBA a précisé que notre pays est en étroite collaboration avec la BAD, l’USAID, les départements d’Etat américain de l’énergie et de l’agriculture, ainsi que plusieurs autres partenaires.
«La présence du Président de la République gabonaise à cet événement d’envergure est une reconnaissance du rôle du Chef de l’Etat sur la scène internationale sur ces problématiques d’importance», conclut le communiqué.
Environnement
Owendo: des habitations détruites pour assurer l’évacuation des eaux ?
Réceptionnant les travaux de réhabilitation du tronçon Carrefour SNI – Entrée des cités SNI, ce 10 mars 2024, le ministre des Travaux publics, Flavien NZENGUI NZOUNDOU a assuré s’attaquer à la problématique de l’évacuation des eaux pluviales.
Figurant au nombre des défis à relever sur cette voie, le membre du gouvernement s’est dit prêt à détruire certaines habitations, afin de garantir la bonne évacuation des eaux, précise AGP. Cela, au bénéfice des populations résidentes et des générations à venir.
Dans l’attente, de l’exécution de ce projet, les populations de la commune d’Owendo se sont montrées satisfaites de la livraison de cette voie, dont les travaux d’exécution ont été réalisés en seulement 3 semaines.
À cet effet, le ministre des Travaux publics a félicité la société adjudicataire, Mika Services. Non sans encourager les Petites et moyennes entreprises (PME) gabonaises à relever le niveau de leur expertise.
Environnement
Owendo: des habitations détruites pour assurer l’évacuation des eaux ?
Réceptionnant les travaux de réhabilitation du tronçon Carrefour SNI – Entrée des cités SNI, ce 10 mars 2024, le ministre des Travaux publics, Flavien NZENGUI NZOUNDOU a assuré s’attaquer à la problématique de l’évacuation des eaux pluviales.
Figurant au nombre des défis à relever sur cette voie, le membre du gouvernement s’est dit prêt à détruire certaines habitations, afin de garantir la bonne évacuation des eaux, précise AGP. Cela, au bénéfice des populations résidentes et des générations à venir.
Dans l’attente, de l’exécution de ce projet, les populations de la commune d’Owendo se sont montrées satisfaites de la livraison de cette voie, dont les travaux d’exécution ont été réalisés en seulement 3 semaines.
À cet effet, le ministre des Travaux publics a félicité la société adjudicataire, Mika Services. Non sans encourager les Petites et moyennes entreprises (PME) gabonaises à relever le niveau de leur expertise.
Environnement
Développement durable: l’ Aéroport de Libreville engagé dans la réduction des déchets
Conscient du risque que peut générer la présence ainsi que la production de déchets sur la zone aéroportuaire, les responsables de l’Aéroport De Libreville (ADL) ont édifié le public sur l’approche mise en œuvre pour y faire face.
Ce 24 novembre, l’Aéroport De Libreville a lancé « Les journées réduction des déchets ». Il s’agissait d’un atelier de sensibilisation pour présenter l’étendue des risques que peuvent générer la prolifération des déchets au sein de l’espace aéroportuaire et les solutions à apporter pour y remédier.
Ces opérations ont été pilotées par M. Fakher ABDELKEFI, Responsable de la Supervision et Mme Pierra ASSENGONE épse OWONO ASSA, Responsable Environnement Social et Gouvernance. Avant d’entrer dans le vif du sujet, le décor a été planté par la lecture du mot de circonstance du Directeur Général d’ADL, M. Igor SIMARD. Lequel mot résonnait comme une invitation à l’endroit de ses collaborateurs sur la responsabilité collective envers l’environnement. Selon M. SIMARD « En tant qu’entreprise, nous avons le devoir de repenser nos pratiques afin de minimiser notre impact sur la planète », a-t-il indiqué.
Occasion pour lui également de réitérer que la réduction de l’empreinte environnementale passe par des actions tangibles au sein de l’entreprise. « Ensemble nous pouvons être des acteurs du changement. Engageons-nous à travailler de concert pour mettre en place des actions concrètes de réductions des déchets au sein de l’aéroport. C’est notre responsabilité envers les générations futures et notre contribution à la préservation de notre planète », a déclaré le Directeur Général d’ADL.
Le cap étant fixé, il a annoncé que la journée du 1er décembre 2023 marquera le lancement des activités du projet « Zéro déchet dans la mangrove ». De manière concrète, il s’agira du nettoyage des mangroves qui se trouvent autour de l’Aéroport De Libreville, en collaboration avec l’ONG, LA LIANE.
Un impact dangereux sur l’aéroport
Dans son exposé, Mme Pierra ASSENGONE épse OWONO ASSA, Responsable Environnement Social et Gouvernance est revenue sur la nature et la provenance ainsi que l’impact que causent les déchets qui jonchent la zone aéroportuaire. De manière générale, « ces déchets proviennent des activités humaines, ils peuvent avoir un impact négatif sur l’aéroport, notamment en termes de sécurité, de santé et d’environnement. Ils peuvent également contaminer les sols, les cours d’eau et les écosystèmes environnants s’ils ne sont pas correctement gérés », a-t-elle indiqué.
Au cours de cet exposé, elle n’a pas manqué de relever que « La multiplication des décharges sauvages et la mauvaise gestion des déchets peuvent entraîner des émissions de méthane ou de CO2 qui contribuent au changement climatique. Le risque est également sanitaire. Les déchets non gérés adéquatement peuvent créer des risques de contamination et de propagation de maladies, surtout s’ils attirent des vecteurs de maladies tels que les rats, les moustiques, etc. ».
D’un point de vue opérationnel, a poursuivi la Responsable Environnement Social et Gouvernance, « ces déchets peuvent aussi provoquer des obstructions des voies de circulation, les zones d’embarquement et de débarquement et affecter les opérations aéroportuaires. Ces déversements illégaux induisent un risque aviaire car les ordures attirent les oiseaux, dangereux pour le décollage comme pour l’atterrissage des avions ».
Un objectif commun
Selon l’Aéroport De Libreville, la réduction des déchets constitue un objectif commun, une affaire de tous. En vue de réduire l’impact de ces décharges sur l’aéroport, l’autorité aéroportuaire préconise la mise en place d’un dispositif spécial composé des mesures de prévention, de contrôle et de réhabilitation des sites impactés. Il s’agira ainsi, d’une politique consistant à améliorer la gestion desdits déchets, en incitant les remontées d’informations.