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Société/Environnement

Gabon: Setrag met ses femmes à l’honneur lors des journées de dépistage gratuit

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Le Gabon, à l’instar d’autres pays dans le monde, commémore octobre rose, ce symbole de la lutte contre les cancers féminins, notamment celui du sein et du col de l’utérus, initié en 1985, aux Etats – unis. La Société d’exploitation du Transgabonais (Setrag) prend une part active dans le bon fonctionnement de la communauté, adhère à cette célébration chaque année.

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En désignant les journées du 12 et du 14 octobre comme étant celles du dépistage gratuit au sein du centre de santé de l’entreprise, Setrag démontre, non seulement, qu’elle tient à la santé de son personnel ; mais aussi, est prête à apporter sa modeste contribution à ce programme national et international de lutte contre ces deux types de cancers qui s’attaquent aux femmes.

Une occasion pour le Dr IWANGOU, médecin chef du centre de santé de la Setrag, de rappeler que, si la maladie fait partie des cancers les mieux traités, il reste, tout de même, des progrès à faire, notamment sur le dépistage précoce.

« La sensibilisation reste le meilleur moyen d’emmener la majorité des femmes à se faire dépister car l’efficacité de la prise en charge dépend de la périodicité du dépistage. J’invite la gent féminie à profiter de ce mois d’octobre qui leur est offert pour se faire dépister. Car une personne en bonne santé peut être un malade qui s’ignore, et vite le cancer est découvert mieux il est traité », a – t – il ajouté, selon des propos recueillis par nos confrères de l’Agence Equateur.

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Il est opportun de rappeler que le cancer du sein est à 80% héréditaire et sa prise en charge est entièrement gratuite. La SETRAG, par la voix de Christian MAGNI, son directeur général, invite toutes les femmes à se faire dépister, pour une société en meilleure santé !!!!

Faits Divers

Ndendé: elle refuse des rapports s*x*els à son copain violent qui la t*e et la v*ole

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Encore un épisode de violences conjugales qui vire au drame, et privé une famille de l’amour d’un des leurs. Cette fois, c’est à Ndendé, dans le sud du Gabon, que le malheur s’est récemment abattu sur Audrey. Victime de violences de la part de son compagnon, Allogho, elle aurait refusé de céder à sa volonté d’avoir des relations intimes. Et pour cause, son homme aurait été violent la veille de son décès.

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Furieux de ce refus, Allogho aurait entrepris de se montrer à nouveau violent à tel point que sous ses coups, Audrey ne se lèvera plus. Non satisfait du forfait qu’il venait de commettre, le compagnon violent se serait empressé de violer le cadavre de sa concubine. À la suite de quoi, il aurait tenté de dissimuler le corps d’Audrey dans le congélateur.

Pris d’inquiétude, à la suite de la disparition d’Audrey, dont ils n’avaient plus de nouvelles, les recherches entreprises par ses proches vont les conduire à son domicile, où ils auraient de ouvert son cadavre sur son lit conjugal. Le présumé meurtrier quant à lui, aurait été rattrapé dans sa course, par les riverains, alors qu’il tentait de s’enfuir.

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Encore une histoire d’amour qui se conclut sur une note dramatique. Une triste fin, dont les membres de la famille garderont pour longtemps la douleur ne n’avoir pas pu protéger leur fille de son destin tragique.

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Faits Divers

Libreville /Incendie au PK11: les victimes à la belle étoile et des enfants “traumatisés”

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Un violent incendie a complètement ravagé 4 maisons au PK11. En dépit des efforts des familles sinistrées et de quelques bonnes volontés riveraines, rien n’y a pu. Selon Orphée ABOUBANGA, membre d’une des familles ainsi livrées à la belle étoile, «l’incendie est due à un court-circuit. Et donc… avec la maison en semi-dur, c’est allé très vite, à une vitesse vertigineuse».

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«Il n’y avait pas beaucoup de personnes là. Même moi-même j’étais sorti lorsqu’on m’appelle. Quand j’arrive, il n’y avait pas moyen de sortir quoi que ce soit. Donc du coup, le feu s’est propagé. Les images le montrent très bien. Ça a embrasé plus de 4 maisons. Donc, y’a plus de 4 familles sinistrées à ce jour. Donc, du coup, nous n’avons pas pu récupérer quoi que ce soit. C’est vraiment dommage, parce-que là, nous sommes à la belle étoile. Nous n’avons pas d’endroit, nous n’avons pas d’abri, nous n’avons rien. On ne sait pas comment manger, comment se loger, se nourrir. Les enfants sont traumatisés».

Nadège OULABOU, une autre sinistrée exprime elle aussi son désarroi: «J’ai été surprise par les flammes. J’étais là avec les enfants. On n’a rien compris. Le feu s’est propagé en une fraction de seconde. Nous vivons ici avec ma mère et mon père. Nous sommes 8 avec mes sœurs, nous avons des enfants. Nous sommes une famille nombreuse».

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La désolation de ces familles est telle que, faute de moyens, elles en appellent aux bonnes volontés et surtout à l’intervention des autorités de transition. «Nous interpellons les personnes de bonne foi à l’aide. Et surtout, les pouvoirs publics en tête desquels le Président de Transition. Pour que, urgemment, nous puissions avoir une solution. Parce que, hier les voisins nous ont aidé. Mais aujourd’hui, comment faire?».

Cet incendie remet le couvert du sempiternel problème des quartiers sous intégrés communément appelés mapanes qui se caractérisent notamment par des habitations parfois de fortune, des maisons collées les unes aux autres, l’absence de voies d’accès et de canalisation des eaux usées, l’insalubrité, l’insécurité, les branchements électriques anarchiques, etc. De fait, les pompiers appelés à la rescousse ne sont venus à bout des flammes que grâce au concours des riverains.

Dixit Orphée ABOUBANGA: «lorsqu’ils sont arrivés, ils ont également travaillé avec les moyens de bord. Ce sont les riverains qui ont beaucoup travaillé. On a utilisé du sable, des seaux… Et, il n’y avait pas d’eau. Comme pour dire que ici il n’y a pas de route, on n’a pas de voie d’accès ici». Les regards des familles sinistrées se tournent désormais vers les autorités compétentes et la providence. «Nous appelons les autorités Gabonaises, les personnes de bonne foi, les bonnes volontés pour nous venir en aide», lance Nadège OULABOU.

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MEZ

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Faits Divers

Port-Gentil : des cachets, de l’alcool et du v*ol pour l’aider à avorter

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Rodney M.M, jeune homme de 23 ans sans emploi, résident à Port-Gentil, a enivré puis abusé toute une nuit de V.I.A, une jeune fille de 17 ans enceinte de trois mois. Les faits remontent au jeudi 20 juillet 2023 au quartier Salsa, dans le 4e arrondissement de Port-Gentil.

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La gamine qui chercherait désespérément à interrompre sa grossesse, aurait répondu au rendez-vous à elle fixé par Rodney M.M qui lui fait la cour depuis un bon moment, relate “Gabonactu.com”. Ce dernier qui prétend pouvoir l’aider, propose de l’emmener chez l’une de ses connaissances où V.I.A devait juste prendre quelques cachets (comprimés) censé provoquer l’avortement.

Le jeune homme qui nourrissait sournoisement le désir de coucher avec l’adolescente, va lui donner à boire quelques doses de Kaï-kaï pour accélérer. Il somme V.I.A de boire trois verres au moins à jeun. Sans broncher, la gamine s’exécute. L’adolescente a peine avalé un verre qu’elle tombe ivre morte.

Rodney M.M en profite pour l’emmener chez lui. Il allonge sa victime puis la déshabille et s’enquit d’abuser toute la nuit sans préservatif. Pendant ce temps, V.I.A est activement recherchée par sa famille. À son réveil le lendemain chez Rodney M.M, la jeune fille s’étonne d’être toute nue. Et réalise à son grand regret que son bon samaritain a abusé d’elle. Surtout que la grossesse est toujours bien là.

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Rentrée chez elle, V.I.A passe aux aveux sous la pression de ses parents qui apprennent avec stupéfaction que leur fillette est enceinte d’un trimestre et surtout qu’elle a tenté un avortement clandestin. Écoeurée, la famille de V.I.A va conduire sa fille à l’hôpital où les examens médicaux attesteront du bon état de santé de la gamine et du fœtus de trois mois.

Avant de déposer plainte contre Rodney M.M qui est de suite interpellé par les éléments de la brigade de gendarmerie de l’océan. Présenté dans la foulée au Procureur de la République, le jeune homme est placé sous mandat de dépôt puis écroué à la prison centrale de Port-Gentil pour viol.

MEZ

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