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Faits Divers

Cascade d’arrestations pour trafic d’ivoire dans le sud du Gabon

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Grâce à une opération menée, conjointement, par la cellule de Mouila de la police judiciaire, des éléments de l’administration des Eaux et forêts et ceux de l’ONG Conservation justice, trois présumés trafiquants d’ivoire, dont un entrepreneur et ses complices, ont été mis aux arrêts dans le chef-lieu de la province de la Ngounié.

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L’homme d’affaires, qui serait le courtier de la bande, a été cueilli en premier au moment où il s’apprêtait à conclure une transaction de vente de six (6) pointes d’ivoire, dont quatre (4) ont été coupées en deux, soit huit (8) morceaux. La suite des investigations va conduire les agents de l’équipe mixte sur la piste de celui qui serait le propriétaire des pointes d’ivoire.

Il sera interpellé à Lébamba avec un autre membre du groupe, quelques heures plus tard. De retour à Mouila et au moment de la perquisition au campement, un troisième membre du groupe sera interpellé à Lébamba. Les agents feront la découverte et la saisie d’un équipement de grande chasse comprenant deux armes de type calibre 12 et plusieurs munitions de de grande chasse (calibre 458), a précisé une source proche du dossier à nos confrères de Gabon Matin.

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De sources concordantes, le propriétaire des pointes d’ivoire ne serait pas inconnu des services de police. Il aurait été condamné en 2017 pour des faits similaires. Les trois indélicats ont été placés sous mandat de dépôt en attendant leur transfert sur Libreville.

Cette interpellation fait suite à celle, la semaine écoulée, à Lastourville, d’un autre trafiquant présumé, par la brigade anti – braconnage et commerce illicite de faune dans l’Ogooué – Lolo, pris en flagrant délit de possession de deux pointes d’ivoire qu’il s’apprêtait à vendre. Selon les dispositions de l’article 388 du code pénal gabonais, si leur culpabilité est clairement établie, tous ces trafiquants risquent jusqu’à dix (10) ans de prison.

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Franceville: condamné à 2 ans prison & 200.000 Fcfa d’amende pour vol aggravé

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[J]eune compatriote de 24 ans, Prince ANGOUROUA a été condamné à 2 ans de prison et à une amende de 200. 000 Fcfa pour vol aggravé avec violence, en ce mois de Mai 2025. Cette décision juridique s’est prise lors de l’audience faite par la correctionnelle du tribunal de première instance de Franceville, le chef-lieu de la province du Haut-Ogooué.

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En effet, cette acte nefaste causé par le coupable, se produit dans la nuit du 5 Avril 2025, au quartier Montagne Sainte, dans le 2e arrondissement de Moanda, le chef-lieu du département de la Lebombi-Leyou. Aux environs de 19 heures, alors que la victime dénommé M.T.V rentre à son domicile, il reçoit un appel d’un membre de sa famille.  Lors de  sa conversation avec ce dernier, Prince ANGOUROUA  bondit sur lui, le maîtrise à l’aide d’une prise communément appelée « clé 14 » et lui arrache son téléphone portable avant de disparaître dans la nature.

Sur le fait, la victime a lancé des appels à l’aide entendu par les riverains qui etaient dans les environs, prennent en chasse le malfrat, et réussissent à le neutraliser non loin de l’hôtel Buding, ensuite ils l’on directement conduit au poste de gendarmerie. Lors de sa prise de parole à la barre, ce dernier reconnaît les faits,  « J’ai aperçu ma victime en train de marcher seule. J’ai donc décidé de lui dérober son téléphone dans le but de le revendre », a déclaré PA au micro de nos confrères de ‘l’Union ».

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Après avoir suivis les réquisitions du ministère public, la correctionnelle du tribunal de première instance a rendu sa décision, une condamnation de 2 ans de prison ferme, ajouté à une amende de 200.000 Fcfa. Sans oublié que Prince ANGOUROUA a déjà été condamné à 1 an de prison pour les mêmes faits en 2022.


Au sorti de cet audiance, les autorités devrait multiplier des patrouilles des agents de police et de gendarmerie, visant  à lutter contre ce fléau de la délinquance juvénile, afin d’assurer un peu plus la sécurité des populations qui subissent ce genre de vols et agressions, surtout dans les quartiers sous intégré, que se soit dans la capital ou dans l’intérieur du pays.

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Mouila: 130 bonbons de cannabis, une commerçante de manioc épinglée par l’OCLAD

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Après la province de l’Ogooué maritime et celle du moyen Ogooué, c’est au tour de la province de la Ngounié où les agents de l’Office central de lutte antidrogue (Oclad) ont interpellé en flagrant délit, une jeune commerçante Gabonaise de 30 ans, au nom de Nefertitine Moghegne. C’est dans le cadre d’une mission de routine, effectuée le 3 mai 2925, que les OPJ ont réussi à mettre la main sur la concernée au village Ovala, située à 9 km du district d’Etéké, dans le département de l’Ogoulou.

En effet, Au cours de leurs patrouilles récurrentes, les Officiers de police judiciaire ont perquisitionné 130 bonbons de cannabis, dissimulés délicatement dans des emballages des produits alimentaires. Précisément dans le manioc, pour tromper la vigilance des policiers, afin de transporter cette substance illicite et ensuite d’aller la revendre dans son village.

À la fin de ces investigations, la trafiquante  a été conduite au poste de police pour approfondir les enquêtes, avant d’être présentée devant le procureur de République. Au cours de son audition par l’instance juridique, des preuves accablantes ont établit clairement la culpabilité de la femme dealer. C’est la raison pour laquelle, le ministère Public a décidé de la placer sous mandat de dépôt à la prison centrale de Mouila, pour détention et vente de cannabis.

Dans une activité  exercée principalement par les hommes, de nos jours, fort est de constater que la gente féminine se fait de plus en plus signaler dans des milieux jusqu’à peu réservé aux hommes. C’est peut-être là, la preuve manifeste de l’évolution des droits de la femme. Notamment sur la fameuse théorie de l’égalité homme femme.Mais peut-on s’en féliciter pour autant ?

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Gabon: un réseau d’arnaqueurs démantelé par la DGSS

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Après plusieurs investigations minutieuses des agents de la Direction Générale des Services Spéciaux (DGSS) via sa cellule anti criminalité, lors de leurs missions  régulières effectuées ce dimanche 23 février 2025, dans la capitale, ont démantelé un réseau d’arnaqueurs qui opère depuis plusieurs années au sein de notre pays. A cet effet, les agents des services spéciaux ont interpellé près d’une dizaine de malfaiteurs, composés d’individus de nationalités nigériane et  gabonaise, pour les délits d’escroqueries et d’usurpation d’identités. 

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En effet, bien que connu par leurs victimes précédentes, le mode opératoire de ces derniers se résume dans  l’utilisation des appels téléphoniques frauduleux et des messages envoyés à des milliers de victimes potentielles, leur promettant pour certains, du travail, en se faisant passer pout la direction des ressources humaines d’une société de la place. Et ceci, moyennant des transferts d’argent via Airtel money ou Moov money, afin de réserver une soit disante visite médicale, par le médecin de ladite société dont ils utilisent le patronyme à des fins malhonnêtes.


De plus, d’autres utilisent des bons d’achat fictifs ou des services soi-disant offerts par ces mêmes opérateurs de téléphonie mobile, « dès que le client donne l’impression qu’il est intéressé, nous on propose beaucoup de choses et les clients eux-mêmes choisissent le produit qu’ils veulent » a expliqué Darlington IGWE, arnaqueur Nigérian.

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De même, certains se font passer pour des personnalités afin de mener des opérations d’escroqueries comme c’est le cas de ce compatriote Ulrich NTOUTOUME, l’un des arnaqueurs  qui affirme que, « J’ai appelé le Premier ministre chef du gouvernement, je me suis fait passer pour un lieutenant-colonel des services spéciaux et fait connaître qu’on était en mission de reconnaissance au niveau d’Oyem et savoir s’il pouvait nous donner notre champagne », propos recueillis au micro de nos confrères de  « Gabon actu ».


Pour ajouter à cela, leur réseau ne se limite pas aux arnaques sur le territoire national. Certains se font passer pour des hommes d’affaires, en contactant par téléphone des investisseurs occidentaux afin de leur proposer des faux contrats de vente de minéraux spéciaux tels que coltan. Quand des occidentaux sont intéressés, ces personnes-là les font croire qu’ils sont en possession d’énorme quantité de coltan, et demandent des transferts d’argent pour les acheminer des zones d’exploitations jusqu’au lieu d’embarquement afin de les envoyer sous forme de colis.


L’interpellation de ces arnaqueurs souligne une fois de plus l’efficacité de nos services spéciaux et avertissent d’autres criminels qui font dans les mêmes opérations, qu’ils se feront aussi prendre avec le temps. Ce qui va diminuer ou même mettre fin à ces escroqueries. Comme dit l’adage « 90 jours pour le voleur, et 1 jour pour le propriétaire». Face à cet exploit traduit par l’arrestation de cette association de malfaiteurs, nous félicitons davantage les autorités de la transition qui ne ménagent aucuns efforts dans la lutte contre la criminalité au sein de notre pays.

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