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Justice

Ike NGOUONI identifie ses alliés qu’il arrosait généreusement pour encenser BLA

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Après la 1ere journée d’audience, l’on aurait pu croire que l’essentiel avait été dit. Pourtant l’ex porte-parole de la présidence de la République, Ike NGOUONI s’est à nouveau illustré par des déclarations qui pourraient lui coûter cher si elles étaient démenties. Il a ainsi nommé les médias qu’il rémunérait chaque mois avec le fonds de communication qu’il gérait. Lesquels n’auraient curieusement pas été graissés pour servir les intérêts du Chef de l’État.

L’homme qui a révélé avoir reçu une augmentation de sa prime à 25 millions de Fcfa en guise de récompense pour la qualité son travail aux côtés du chef de l’État Ali BONGO ONDIMBA (ABO), a reconnu avoir arrosé des médias d’envergure qu’il a clairement identifié. L’on pourrait croire que c’était pour contenter le président de la République dont il était en charge de la communication.  Pourtant il n’en était rien.

Car, semble-t-il, Ike NGOUONI était plus occupé à défendre les intérêts de l’ex tout-puissant directeur de cabinet d’ABO, Brice LACCRUCHE ALIHANGA (BLA). Ce dernier s’était entouré d’affidés qui lui vouaient une loyauté à toute épreuve. Mais, pour quelles raisons l’ex-Dircab aurait eu besoin de s’entourer de d’une armada médiatique qui plus est de l’opposition ? Alors que son prédécesseur, Maixent ACCROMBESSI était critiqué pour son refus à pactiser avec cette frange de média, BLA aurait-il souhaité apporter quelque chose de différent ou visait-il plutôt d’autres ambitions? Lui seul peut y apporter la réponse. 

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Mais s’il est bien une réponse que d’autres peuvent apporter c’est celle de savoir si les médias indexés par Ike NGOUONI feront entendre leur désapprobation, cette fois encore. Comme cela a été la semaine dernière, lorsqu’une Fake news attribuée à l’ancien administrateur directeur général (ADG) de Gabon oil company (GOC), Christian Patrichi TANASA, énumérait les sommes versées à certains patrons de presse. Ou alors, leur absence de réaction ne serait que le calme avant la tempête, que déclencherait le dépôt d’une série de plaintes pour diffamation? 

Wait and see..

Justice

6 mois d’emprisonnement et 1 million d’amende pour refus de payer la pension alimentaire

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La pension alimentaire est une substitution financière que verse un ex-conjoint à un autre dans le but de subvenir au besoin de ce dernier, d’un descendant ou d’un ascendant. À ce sujet, les articles 271 du code pénal articles font mention qu’en cas de refus de versement, l’auteur est passible de 6 mois d’emprisonnement assortis d’une amende de 1 million FCFA. Il y a encore quelques années, la pension alimentaire ne constituait qu’une option pour les parents divorcés. Mais cela depuis plusieurs années, la pension alimentaire s’est donné une valeur légale et rêvêt désormais un caractère obligatoire. Il est important de retenir néanmoins, la loi pénale prévoit aussi qu’après un délai de 2 mois, une abstention volontaire constitue une infraction grave, car un individu ne peut : «volontairement demeurer plus de deux (2) mois sans fournir la totalité des subsides déterminés par le juge, ni acquitter le montant intégral de la pension ». Cette infraction est similaire à celle «d’abandon de famille».

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Justice

Naufrage d’Esther Miracle: la bataille judiciaire s’annonce rude et acharnée

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S‘il ne peut encore prendre la parole officiellement sur le sujet, Me Anges Kevin NZIGOU, l’avocat commis par le Collectif des rescapés et familles des victimes du naufrage du bateau Esther Miracle, annoncé déjà la couleur: la bataille judiciaire autour de cette affaire sera des plus acharnée. Pour l’heure, l’avocat au barreau du Gabon travaille minutieusement à la collecte des moindres informations établissant clairement la responsabilité de toutes les parties incriminées dont le promoteur Royal Coast, propriétaire du ferry naufragé. Selon nos informations, le travail de recoupement de l’information consisterait notamment au recueillement des témoignages des rescapés et familles des victimes. La première déclaration publique de Me Anges Kevin NZIGOU devrait intervenir sous peu.

MEZ

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Justice

Décès au CHR d’Oyem: faute de preuves, la sage-femme recouvre sa liberté

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Le 17 janvier 2023, une patiente âgée donc de 47 ans, Murielle ABOUMENGONE OBIANG, perdait la vie au centre hospitalier régional d’Oyem (CHRO). Sur le coup, les premiers éléments semblaient accuser la sage-femme qui avait fourni les soins à la regrettée. Elle avait d’ailleurs été placée en garde à vue pour nécessité d’enquête. Peu après la première quinzaine de février 2023, la justice a décidé de mettre fin à sa garde à vue, faute de preuves matérielles, l’incriminant.

Ce jour de janvier, suite au décès de Murielle ABOUMENGONE OBIANG lors de son accouchement, débutait ce qui allait devenir quelques heures plus tard “l’affaire de la patiente décédée au centre hospitalier régional d’Oyem (CHRO)”. Tout semble laisser croire à une négligence médicale.Une enquête est alors menée par les autorités judiciaires de la commune d’Oyem, avec objectif de faire la lumière sur les circonstances du drame. Mais, pour la famille de la défunte, il ne ferait aucun doute, le décès de leur proche ne serait imputable qu’à la seule négligence de la sage femme qui était à son chevet et veillé sur elle au moment son accouchement.

Mais revirement de situation. Après les premiers éléments que livrent l’enquête judiciaire, il n’est pour le moment pas possible d’établir un lien direct entre le décès de la dame, et la potentielle négligence dont aurait fait montre la sage-femme. Et selon une source policière citée par nos confrères de “L’Union”, il semblerait que Murielle ABOUMENGONE OBIANG aurait été emportée par d’autres pathologies décelées au cours de sa grossesse.

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En absence de preuves matérielles accablantes, le ministère public a remis la sage-femme en liberté. L’objectif étant, en attendant l’évolution de l’enquête, ne pas priver cette dame de ses droits, comme le voudrait la présomption d’innocence. Une décision qui ne serait pas du goût de la famille de la défunte qui pointerait d’ailleurs, du doigt à la justice qu’elle trouve injuste. Mais ne dit-on pas que, l’on ne trouve la justice juste que lorsqu’elle rend une décision en notre faveur ? Affaire à suivre.

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