Faits Divers
Lébamba: enterré vivant par sa mère, un nouveau – né survit assez longtemps pour être secouru

L’on est passé très près, ce 1er juillet, de l’un des infanticides les plus effroyables jamais enregistrés au village Memba, à sept (7) kilomètres de la commune de Lébamba, chef – lieu du département de la Louétsi – Wano, dans la province de la Ngounié. En effet, une jeune compatriote d’une vingtaine d’années, répondant au prénom de Jordany, et inscrite au lycée Didier ROGUET de ladite commune, a essayé de se débarrasser de son bébé. Et le moyen qu’elle a trouvé n’était autre que de l’enterrer vivant.
Selon plusieurs sources, citées par nos confrères de l’“Agence Gabonaise de Presse” (AGP), la jeune Jordany n’est pas à sa 1ère tentative d’infanticide. Revenue de Lébamba avec son nouveau – né, Jordany n’a laissé voir aucun indice qui aurait pu entrevoir le sinistre dessein qu’elle nourrissait pour cet être innocent.
Trompant la vigilance de ses parents, la mère indélicate, non loin du domicile familial, a enveloppé le bébé dans ses vêtements et l’a enfoui dans un trou qu’elle n’a pas creusé profondément. La scène a été suivie par un habitant du village qui a très vite alerté les éléments la brigade de gendarmerie ; lesquels, sans attendre, ont encerclé le village Memba et sommé la jeune fille de leur montrer où elle a enterré l’enfant. Selon les témoins, le bébé a survécu grâce à une poche d’air et la volonté divine.
Sauvé de justesse, le bébé a été conduit dans une structure hospitalière et, une fois débarrassé de tout le sable qu’il avait sur lui, a été confié à sa grand-mère. Il a été baptisé Moïsette (le bébé est de sexe féminin), un prénom qui illustre parfaitement ce qu’il a vécu. En attendant de s’expliquer, devant le procureur de la République, sur l’acte qu’elle a posé, Jordany a été placée en garde à vue.
Faits Divers
Zita OLIGUI aux côtés de la famille de « la petite Esther »

La Première Dame du Gabon, Zita OLIGUI NGUEMA, a rendu une visite de compassion à la famille de la petite Esther Ludivine MOUSSAVOU EYANG MBA, victime d’un crime odieux. Lors de cette rencontre, elle a exprimé sa profonde sympathie et son soutien indéfectible aux parents de la victime.

« En tant que mère, j’ai tenu à être aux côtés de ses parents pour leur exprimer ma profonde compassion et leur assurer mon soutien« , a-t-elle déclaré. Réaffirmé sa volonté que justice soit rendue dans toute sa vérité et sa rigueur.
Elle a souligné l’importance de protéger les enfants et de prendre des mesures pour prévenir de tels actes. « Protéger nos enfants est une responsabilité collective. Nous devons agir ensemble pour préserver notre humanité et défendre l’avenir de notre pays« , a-t-elle ajouté.
La Première Dame a conclu en exprimant sa tristesse et sa solidarité envers la famille de la victime. «Ma petite Esther, ton nom restera à jamais gravé dans nos cœurs», a-t-elle dit. Cette visite est un signe de son engagement à soutenir les familles touchées par de tels drames et à promouvoir la protection des enfants au Gabon.
Faits Divers
Nyanga: Un fantôme tourmente les populations d’Ibinga

Les habitants du quartier Ibanga, situé dans la commune de Tchibanga, vivent dans la tourmente depuis quelques jours. Selon des informations relayées par TV+ Afrique, une présence surnaturelle serait ressentie par certains résidents du quartier, principalement la nuit. Cette situation a provoqué panique et affolement dans la zone.
Le couple Prince et Claudette serait le plus affecté par ces événements étranges. Prince a raconté une expérience choquante, affirmant avoir été bloqué et avoir ressenti la présence de quelqu’un dans la chambre sans voir personne. Selon lui et sa conjointe, le revenant aurait même révélé son identité et affirmé être à la recherche d’une femme du quartier.
Face à ces manifestations inexplicables, Prince et Claudette ont alerté les notables d’Ibinga. Ces derniers ont convoqué la présumée femme recherchée par le spectre, qui a nié toute implication et contesté les accusations.
La chronique continue de faire peur aux habitants de ce quartier, qui restent plongés dans le tourment et l’angoisse face à cette aventure mystérieuse. Les résidents sont inquiets et attendent des solutions pour mettre fin à ces perturbations.
Faits Divers
Libreville: 12 ans de prison ferme & 10 millions de Fcfa d’amende pour avoir tué son ami

Placé en détention préventive depuis plusieurs années, pour avoir assassiné son ami, la Cour criminelle a rendu son verdict concernant l’affaire du meurtre de Bertrand Hugues EVOUNG OBIANG, commis en 2019, à Libreville, par son ami, Ulrich Parfait EKOMY NDONG âgé de 26 ans. Le mis en cause en prend pour 12 ans de prison ferme, assortis d’une amende de 10 millions de Fcfa.
En effet, les faits se sont déroulés lors d’une altercation entre les deux amis qui s’est rapidement transformée en violente bagarre. Selon les déclarations du condamné à la barre, recueillies par nos confrères de « l’Union », l’accusé a agi en légitime défense. Il a affirmé qu’après avoir vu son ami brandir des bouteilles cassées, prêt à les utiliser contre lui, il s’est senti en danger de mort.
Pour lui faire face, il est retourné chez lui s’en saisir d’un couteau, avec lequel il a poignardé BHEO au niveau du torse, avant de prendre la fuite. Poursuivi en justice pour meurtre par les membres de la famille de la victime, un délit passible d’une peine maximale pouvant atteindre 30 ans de réclusion, conformément à l’article 233 du Code pénal.
Les investigations faites par les Officiers de Police judiciaire (OPJ), ont rapidement permis d’identifier et de neutraliser le meurtrier. Dans ses réquisitions, le ministère Public a reconnu la matérialité des faits. Tout en demandant que soit reconnue la culpabilité d’Ulrich Parfait en homicide volontaire, insistant sur la gravité de l’acte, l’a condamné à 12 ans de prison ferme, assortis d’une amende de 10 millions de Fcfa.