Société/Environnement
Gabon: Signature d’un protocole pour la préservation de l’environnement
Le 22 janvier 2021, dans le cadre de la mise en œuvre du cadre de Gestion environnemental et social (CGES) de la Zone économique spéciale de Nkok, plusieurs administrations gabonaises ont signé un protocole d’accord. Renouvelable pour une période de 3 ans, ladite convention permettra de limiter les nuisances et pollutions au sein de la Zone franche.
En effet, ledit accord a été signé entre la Direction générale de l’Environnement et de la protection de la nature (D.G.E.P.N), la Direction générale du travail, de la main d’œuvre et de l’emploi (D.G.T.M.O.E), l’Autorité administrative de la zone économique à régime privilégié de Nkok (A.A.N), et la Gabon special economic zone SA (GSEZ).
Mentionné par nos confrères de “Direct infos”, cet accord a pour but non seulement de limiter les nuisances et pollutions, mais également garantir la performance environnementale tout en maintenant un climat propice à l’investissement. Afin d’y parvenir, un comité technique de mise en œuvre et de suivi du CGES a été établi par le protocole d’accord.
«A travers cette initiative, l’Administration dont j’ai la charge s’engage, avec la GSEZ de Nkok, d’encadrer les entreprises actuelles ou futures dans la conformité environnementale et sociale afin de s’assurer du respect des exigences légales en la matière», a déclaré le ministre de l’Environnement, Lee WHITE.
Au final, l’objectif visé par le CGES est de veiller à l’instauration et au maintien d’une gestion et d’un suivi rigoureux des enjeux environnementaux et sociaux. Cela afin que ces derniers soient appliqués à toutes les activités de la Zone économique spéciale de Nkok.
Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.