Se connecter avec nous

Justice

Gabon: Ballack OBAME sorti d’isolement, mais son dossier piétine

Publié

sur

Depuis le 21 juillet 2019, Ballack OBAME, mis en cause dans le coup d’état manqué de janvier dernier, a été sorti de l’isolement dans lequel il avait été placé. Il est désormais dans une cellule plus confortable alors que l’instruction de son dossier piétine.

Banner

Le jeune compatriote a passé sept mois dans une cellule exiguë, éloignée de celles des autres détenus. Aujourd’hui, sa détention a pris une dimension moins restrictive puisqu’il a regagné une cellule normale, rapporte “La Loupe”. Cependant, Ballack OBAME n’est pas au bout de ses peines. Son dossier d’instruction au tribunal tarde à avancer.

À en croire nos confrères, le juge d’instruction éprouve toutes les difficultés du monde à établir une corrélation entre l’appel téléphonique de l’un des putschistes au jeune OBAME le matin du putsch, et l’implication directe de ce dernier dans le coup d’état en lui-même.

Bref, toute chose favorisant des lourdeurs dans l’évolution du dossier, Ballack OBAME n’en sait guère davantage sur ce qu’il adviendra de lui. L’on peut seulement supposer, sans trop se tromper, qu’il sera encore retenu prisonnier pendant un long moment. C’est d’ailleurs à se demander le véritable statut de son arrestation. Est-elle préventive? Si c’est le cas, il aurait pu bénéficier de la dernière mesure de relaxe des détenus préventivement qui ont séjourné trop longtemps dans les geôles nationales. Affaire à suivre…

Continuer La Lecture
Cliquez pour commenter

Laisser une Réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Justice

Convoqué ce lundi à la Commission nationale de la lutte contre l’enrichissement illicite que reproche-t-on à Mays MOUISSI?

Publié

sur

Tout comme son ancien collègue du Transport, l’ancien ministre de l’Economie et des Participations, Mays MOUISSI, devenu à la faveur du dernier remaniement, ministre de l’Environnement et du Climat sera auditionné ce lundi 20 janvier 2025, à la Commission nationale de la lutte contre l’enrichissement illicite (CNLCEI). Si plusieurs sources concordantes font état de l’acquisition, en quelques mois, de biens immobiliers estimés à plusieurs milliards, nous préférons, pour l’instant, vérifier amplement l’information afin de vous revenir. 

Banner

Affublé de tous les surnoms, dont celui de «petit génie», par le Président de la Transition, général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, l’ancien activiste par contre, selon « Jeune Afrique », paierait pour sa «gestion peu rigoureuse de la dette du Gabon». Celle-ci connaît en effet, une augmentation exponentielle depuis 2023. Selon le FMI, celle-ci pourrait dépasser 80 % du PIB en 2025, alors qu’elle s’établissait à environ 63 % en 2022.

Ces derniers mois, la (Cnlei) a enregistré le passage dans ses locaux de plusieurs membres de la haute administration et maintenant du gouvernement. La Transition gabonaise a-t-elle point que nombreux sont ceux qui se demandent si le message véhiculé le 30 août 2023, a été bien assimilé de tous.

Continuer La Lecture

Justice

Gabon /M-M MBORANTSOUO présidente honoraire: une nomination nulle et non avenue selon la Cour constitutionnelle

Publié

sur

Le 2 septembre 2023, la Cour constitutionnelle conférait à Marie-Madeleine MBORANTSOUO, son ex-présidente, le titre de Présidente et juge honoraire de ladite juridiction. Une nomination  présentant des vices de procédures, de forme et de fond, relevées par la Cour constitutionnelle de transition, qui a conduit à l’annulation pure et simple de la décision polémique.

Banner

C’est au moyen d’un  communiqué lu ce 1er février 2024, que le doyen des juges de la Cour constitutionnelle, Christian BIGNOUMBA FERNANDES, que La Cour Constitutionnelle de la Transition s’est distinguée par un retropedalage,  déclarant «nulle et non avenue ladite délibération conférant les qualités suscitées».

Il faut dire que cette nomination avait suscité une polémique au sein de l’opinion qui remettait en cause les méthodes des autorités de la Transition. 

Continuer La Lecture

Justice

6 mois d’emprisonnement et 1 million d’amende pour refus de payer la pension alimentaire

Publié

sur

La pension alimentaire est une substitution financière que verse un ex-conjoint à un autre dans le but de subvenir au besoin de ce dernier, d’un descendant ou d’un ascendant. À ce sujet, les articles 271 du code pénal articles font mention qu’en cas de refus de versement, l’auteur est passible de 6 mois d’emprisonnement assortis d’une amende de 1 million FCFA. Il y a encore quelques années, la pension alimentaire ne constituait qu’une option pour les parents divorcés. Mais cela depuis plusieurs années, la pension alimentaire s’est donné une valeur légale et rêvêt désormais un caractère obligatoire. Il est important de retenir néanmoins, la loi pénale prévoit aussi qu’après un délai de 2 mois, une abstention volontaire constitue une infraction grave, car un individu ne peut : «volontairement demeurer plus de deux (2) mois sans fournir la totalité des subsides déterminés par le juge, ni acquitter le montant intégral de la pension ». Cette infraction est similaire à celle «d’abandon de famille».

Banner
Continuer La Lecture

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2023 Vox Populi. Tout droits réservés.