Société/Environnement
Gabon /tolérance zéro face à l’alcool au travail: Sobraga garantit un environnement sain et efficace

Afin de garantir la protection de ses employés et de promouvoir un cadre de travail sécurisé et responsable, SOBRAGA organise, du 23 au 28 avril 2025, une campagne dédiée à la sensibilisation sur la Santé et la Sécurité au Travail. Cette initiative est placée sous le thème : “Zéro alcool en milieu professionnel”.
Cette campagne s’aligne sur la célébration de la Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail, dont le thème 2025 est « Révolutionner la santé et la sécurité : le rôle de l’IA et de la numérisation au travail ». Elle vise à rappeler à tous l’importance d’adopter de bonnes pratiques pour préserver la santé et la sécurité, tout en protégeant l’outil industriel indispensable à la production.
SOBRAGA continue la démarche proactive de maîtrise des risques. Quelques actions sont énumérées ci-dessous :
Réaliser des tests d’alcoolémie inopinés, ciblant en priorité les chauffeurs, les caristes et les opérateurs de machines pour garantir une vigilance optimale dans les zones à risques ; Politique non négociable de « Zéro alcool en milieu professionnel » ;
Port obligatoire des équipements de protection individuelle en imposant l’utilisation de casques, gants, lunettes, chaussures de sécurité, bouchons d’oreilles etc., adaptés aux risques spécifiques. Une signalisation claire et des marquages au sol donnent des instructions utiles à respecter.
Sensibiliser régulièrement le personnel sur les dangers et conséquences des principaux risques : Alcoolémie, conduite dangereuse, électrocution, espace confiné, travail en hauteur, chariot élévateur, soude, incendie, chute, produits chimiques, vapeur, air comprimé etc.
Vérifier que les collaborateurs ont reçus les formations théoriques et pratiques permettant de leur délivrer différents types d’habilitation (électrique, permis G, équipiers d’intervention…) en fonction des opérations qu’ils auraient à réaliser. Ces formations incluent les procédures de sécurité, la manipulation des équipements et la prévention des risques.
S’assurer que les permis de travail sont bien en place, ainsi que pour les entreprises extérieures : ne pas commencer les travaux en espace confiné, électrique, en hauteur, à chaud tant qu’il n’est pas rédigé. Le permis de travail liste plusieurs risques, il permet de faire prendre conscience et d’établir des moyens de prévention avant l’exécution des travaux.
La responsabilité au cœur de notre engagement
Prévenir les risques professionnels est une responsabilité qui nous incombe à tous, c’est une de nos valeurs ESPRIT D’EQUIPE-QUALITE-RESPONSABILITE. Chaque collaborateur a pour mission essentielle de garantir un environnement de travail sain et sécurisé pour tous.
Depuis plus de 10 ans, SOBRAGA se distingue par son engagement inébranlable en faveur de la santé et de la sécurité au travail. Nous sommes fiers car tous nos sites ont obtenu, sans interruption, les certifications OHSAS 18 001, puis ISO 45 001 :2018 pour les Systèmes de management de la santé et de la sécurité au travail.
Ces reconnaissances internationales illustrent notre rigueur dans la gestion des risques professionnels ainsi que notre détermination à poursuivre une amélioration continue.
La culture Sécurité est notre fondation : Travaillons ensemble pour bâtir un environnement où chacun se sent protégé ;
Tous engagés à nous protéger et à protéger chaque collaborateur !
Société/Environnement
8e édition de collage de vignettes: un partenariat solide entre Moov africa Gabon Telecom & Hôtel de ville de Libreville

Pour la 8e année consécutive, Moov africa Gabon Telecom et la mairie de Libreville ont réitéré ce 23 avril 2025, la cérémonie de pose de vignettes sur les véhicules de transport urbain, devenue une tradition. Présent aux côtés de Zouheir JORIO, le délégué spécial de la commune de Libreville, le Général Jude Ibrahim RAPONTCHOMBO a salué la fidélité de l’entreprise citoyenne qui n’a de cesse d’accompagner la commune par diverses actions.

Réitérant l’ambition de son entreprise à accompagner les acteurs du secteurs de transport terrestre, Zouheir JORIO a réaffirmé sa volonté à soutenir l’action de la mairie de Libreville, notamment pour ce qui concerne la régulation du transport urbain. C’est la raison pour laquelle, «ce partenariat avec la mairie de Libreville met en lumière notre engagement commun en faveur d’une capitale disposant d’un système de transport plus dynamique et organisé» a-t-il déclaré.
Un engagement répété qui n’empêche pas la gratitude du délégué spécial en charge de la gestion de la commune de Libreville ce jour, alors qu’il présidait la cérémonie de lancement du collage des vignettes sur les taxis. Pour Jude Ibrahim RAPONTCHOMBO, il ne fait aucun doute que l’opérateur téléphonique est un partenaire de qualité, qui brille par sa régularité et sa fidélité.
«L’accompagnement fidèle de Moov Africa Gabon Télécom ne se limite pas au soutien technique pour cette opération. Il s’inscrit dans un partenariat social au service du bien-être des populations de Libreville».
Par ailleurs, a-t-il poursuivi, «Moov Africa Gabon Télécom s’est illustré ces derniers mois par son engagement au côté de la mairie de Libreville à travers plusieurs actions telles que l’organisation d’un salon ville propre, pour promouvoir l’hygiène urbaine, la réhabilitation du centre préscolaire du 3e arrondissement, ainsi que l’aménagement des aires de jeux pour enfants sur le front de mer».
La cérémonie qui s’est clôturée sur une appréciation générale positive, a vu la présence de plusieurs acteurs du secteur qui ont été conviés à l’événement. Notamment le président du syndicat des transports urbains, Jean Robert MENIE et les maires d’arrondissements de Libreville. Au regard de la régularité et de la fidélité de ce partenariat, il ne fait aucun doute que le rendez-vous est pris pour l’année prochaine.
Société/Environnement
Gabon: retour progressif à l’ordre Constitutionnel & aux coupures d’électricité

Comme si nous n’avons pu souffler que le temps d’une fin de Transition, le temps d’une campagne électorale. Quelques heures après la victoire écrasante du candidat Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA (C’BON) à la présidentielle du 12 avril 2025, les délestages ont repris de plus belle. Ce 15 avril, la Société d’eau et d’énergie du Gabon (SEEG), s’est même fendu d’un communiqué annonçant “un plan prévisionnel de délestages dans le Grand Libreville. Comme pour nous rappeler le triste sort auquel nous sommes plongés depuis bientôt plus d’un an et demi.

Colère et lassitude du bas peuple
Prétextant, comme d’habitude, «des travaux de maintenance sur les ouvrages de production d’électricité des usines de Kinguélé et d’Owendo», la SEEG a repris ses délestages. Dans une société à double vitesse, les nantis n’ont pas le temps de se répandre dans les plaintes, vu qu’ils dorment paisiblement. Les gabonais d’en bas qui ne décolèrent pas depuis quelques jours, devront s’armer de patience. Comme d’habitude. Le pays semble ne pas encore avoir trouvé la panacée à la crise énergétique qu’il traverse. Sur tout l’étendu du territoire les plaintes fusent de nouveau. Avec elles, des menaces de poursuites judiciaires contre dame SEEG.
« Je m’engage à porter plainte à la SEEG Dame SEEG. Au courant de la semaine j’irai au tribunal directement pour le faire c’est mon droit et c’est la loi et tout le monde peut le faire», s’est indigné un citoyen sur Facebook.
Avant d’ajouter, «Trop c’est trop ! J’ai déjà perdu plus de 5 appareils. Les privilégiés ne vont pas rester chez eux avec les groupes et de la lumière nous on va souffrir depuis presque deux ans déjà ça dure on paye nos unités et on n’a pas droit au courant ».

C’BON détient-il la bonne solution ?
Le Président nouvellement élu, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, durant la Transition a remué ciel et terre pour que ceci cesse mais hélas ! Pour ce faire, le 15 février 2025, les autorités gabonaises ont signé un accord de fourniture d’électricité avec la société turque Karpowership. Cette dernière a installé deux bateaux-usines au large de Libreville, qu’elle a acheminés depuis mai 2024, afin de combler le manque de production énergétique dans le pays.
Au nord du pays, le Gabon a lancé son plan d’interconnexion électrique avec la Guinée équatoriale. La Guinée équatoriale s’engage donc à fournir 10 MW d’électricité pour alimenter les villes gabonaises d’Oyem, Bitam, Medouneu et Mitzic.
Premier des 6 axes de son projet de société, le candidat dantan à la Présidentielle, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, a proposé une réforme majeure : la séparation de la gestion de l’eau et de l’électricité. Ce projet, qui vise à améliorer l’efficacité de ces services publics essentiels, reflète une volonté de rupture avec le modèle hérité de l’ancienne gouvernance.
« Mon objectif est de mettre définitivement et totalement fin à la crise énergétique d’ici la fin de mon mandat », a-t-il promis.
Pour atteindre cet objectif, il prévoit, à court terme, l’achat et le déploiement de générateurs sur tout le territoire, ainsi que l’exigence d’auto-alimentation pour les consommateurs industriels pendant les heures de pointe, afin de réduire la pression sur le réseau. Toutefois, comme le souligne OLIGUI NGUEMA, cela ne pourra être réalisé qu’à travers la modernisation du réseau de transport d’énergie, ainsi qu’un suivi et des contrôles permanents. Il ambitionne également de mettre fin aux délestages en lançant de nouveaux projets de barrages, tels que la construction du barrage de Booué.
Société/Environnement
Vers une plainte contre Laurence NDONG pour « gestion opaque & disciminatoire » de la subvention à la presse? Vive la 5e République !

COMME disait l’autre, «le 12 c’était le 12, la 5e République ne sera pas la 4e encore moins les 3 précédentes», dont le caractère nominatif restent discutables. Mais bon, parole du grand Manitou, parole d’évangile. Donc, plusieurs mois semaines déjà que les professionnels des médias privés dénoncent un manque de transparence dans la gestion de la subvention 2024 à la presse écrite et en ligne. Face au silence du ministère de la Communication et des médias, qui s’apparente au fil des jours à du mépris envers tous ces acteurs du secteur qui auraient été spoliés, sans justificatifs, «l’heure n’est plus à la passivité». Dans ce sens, un communiqué adressé ce 15 avril à la presse, les professionnels des médias annoncent la tenue d’une réunion de crise ce jeudi 18 avril 2025, au siège du groupe « Super Star Médias », pour recenser les organes de presse spoliés, établir un plan d’actions commun et entamer des poursuites judiciaires contre le ministre de tutelle, Laurence NDONG. L’espoir étant que dans ce Gabon dont on prône le changement et la restauration des institutions, le ministre puisse répondre personnellement de ses actes.
Affaire à suivre…