Société
Libreville: inaugurant une passerelle connectée, Adrien NGUEMA MBA invite les jeunes du 5e arrondissement à se faire enrôler

C‘est la fièvre du bonheur qui sévit dans le 5e arrondissement de Libreville, depuis le début de l’année 2023. Tous les prétextes sont bons pour organiser des retrouvailles entre toutes les générations, et cela qu’importe la météo. Ni la pluie, encore moins le soleil brûlant de ces derniers jours n’entament leur désir de partager, festoyer ou simplement échanger ensemble. Pour preuve, ce 06 mai 2023, en début d’après-midi, la chaleur n’a pas dissuadé les résidents du quartier Lalala Bel-Air de se rassembler autour du doyen, par ailleurs Membre du bureau politique du parti démocratique gabonais (PDG), Adrien NGUEMA MBA pour inaugurer un escalier nouvelle génération qui allie technologies nouvelles et verte. Pour le plus grand bonheur des jeunes, qui ont été par la même occasion édifiés sur leur devoir citoyen et invités à envahir les bureaux d’enrôlement pour pouvoir faire entendre leur vote.

Présents à cette inauguration, les chefs de quartiers et les responsables politiques dudit arrondissement, que composaient le député du 2e siège Arsène NKOGHE NZE, le 2e adjoint au maire, Franck ENGONE MENDONE ainsi que la responsable des jeunes du Grand Lalala, Nina ASSELE épouse RINIERI, par ailleurs responsable des femmes PDGistes de cet arrondissement, ont fait valoir leur pesant d’or à cette événement, banale au premier regard. Mais dont l’on ne saurait apprécier la valeur que si l’on revenait aux événements qui ont conduit à la construction de cet ouvrage. L’émanation d’un sentiment de responsabilité, de bien-vivre et du bien-être des concitoyens.
Le déclic s’est fait un jour du mois de février 2023, alors que femme tentait de rejoindre son domicile, portant au bout de bras un seau rempli d’eau. Arpentant ce chemin de terre dressé en pente, que les pluies rendent glissant et le soleil sec, il lui a suffit d’un seul faux pas, pour dévaler le chemin, renversant au passage le contenant qu’elle venait de remplir d’eau. La douleur de cette femme, cette mère de famille, mêlée à l’ambition de ne plus jamais voir cela se reproduire au milieu des leurs, a emmené les autorités politiques de cette circonscription, emmenées par l’honorable «charpentier» Arsène NKOGHE à ériger cet escalier. Lequel, équipé de bancs publics pour permettre le repos des aînés, est éclairé la nuit par des panneaux solaires pour la sécurité de tous, mais surtout pour permettre aux jeunes apprenants d’effectuer leurs recherches scolaires, alors qu’il est doté d’une connexion haut débit et illimité, dont le code d’accès a été rendu public.
Témoin de l’amour envers leurs administrés et de la volonté de mettre en place des actions qui facilitent et rendent agréable leur quotidien, Adrien NGUEMA MBA, doyen politique du 5e arrondissement a appelé les riverains à ne pas rompre cet élan de développement que connaissent leurs quartiers, fussent-il, une goutte d’eau pour les plus critiques. Car, ce n’est que goutte après goutte que le verre sera plein. «Je sais que vous avez beaucoup de revendications. Mais ces revendications ne peuvent pas voir le jour, si vous n’allez pas vous inscrire sur la liste électorale. Lorsque vous allez être enrôlé et que votre nom figurera sur la liste électorale, nécessairement vous pourrez apporter quelque chose dans l’édification de notre arrondissement». Un devoir citoyen, pour lequel il a marqué une insistance particulière à l’endroit de ceux qui viennent d’atteindre l’âge de la majorité, 18 ans.
Par autant, et par souci de voir le 5e, choisir de poursuivre avec le PDG, et donc avec le candidat du parti, Adrien NGUEMA MBA a dit sa disponibilité ainsi que celles d’Arsène NKOGHE NZE et de Franck ENGONE MENDONE à les accompagner, s’ils faisaient face à quelques empêchements que se soient. «Je sais que beaucoup de nos enfants n’ont pas d’actes de naissance, le 2e maire adjoint est là, (…) Mon cabinet est disposé à engager la procédure d’obtention des actes de naissance, parce qu’aujourd’hui vous pouvez vous enrôler avec des actes de naissance». Qu’ils s’agissent d’autres difficultés relatives à la mobilité pour les plus modestes, les autorités politiques se sont dites disposées à les soutenir. Le message semble avoir été compris par les concernés qui se sont dits prêts à aller aux urnes.
Société
Gabon /Travaux de la Convention collective Setrag :tous sur la même longueur d’ondes

La Direction Générale de la Setrag a clôturé le vendredi 02 décembre 2023 , les travaux de la nouvelle convention collective.
C’est en présence de l’inspecteur du travail chargé du Transgabonais représentant le ministère du Travail, Jean de La Croix TSANGAGHOLY que la direction générale de la Setrag et les partenaires sociaux ont accordé leurs violons sur les termes de la nouvelle Convention Collective dont les travaux ont débutés dix jours avant dans la Commune de Ntoum.
Durant cette période, les travaux qui ont porté sur l’avenir de l’entreprise ont été axés sur les textes récemment adoptés sur la législation du travail en République Gabonaise. Mais aussi , les deux parties ont apprécié le contexte économique du moment en préservant l’outil de travail et des acquis sociaux et salariaux.
«Ce fut une rencontre avantageuse pour toutes les parties prenantes qui nous a permis de mettre en place un nouveau cadre visant l’amélioration des conditions de vie de l’ensemble des travailleurs de la Setrag, la maintenance du pouvoir d’achat des travailleurs et du dialogue social, sans oublier la réécriture et l’adaptation des normes existantes en tenant compte des innovations du nouveau contrat du travail et l’amélioration de la vie actuelle de la société», a déclaré Jean René MINANGA représentant l’ensemble des partenaires sociaux .
Le Directeur Général de la Setrag,Christian Magni a quant à lui remercié ses partenaires sociaux pour la compréhension et l’entente durant ces dix jours de convention qui leurs a permis de prendre de meilleures décisions qui permettront à l’entreprise de survivre au dépit de tout.
Société
SETRAG /Les journées Chefs de sécurité: la coordination d’exploitation 4 à pied d’œuvre

Le perfectionnement des agents en service, objectif principal des « journées Chefs de sécurité » des coordinations d’exploitation. A Franceville, la Coordination 4 met les petits plats dans les grands.
C’est un renforcement des capacités initié chaque année par la SETRAG, pour donner des rudiments nécessaires à ses agents responsables de la sécurité. Une formation qui dure deux semaines réparties en deux phases. Parmi les modules de formation retenus cette année, la composition des trains ; les essaies de frein ; le dérangement des installations de sécurité ; les travaux de voie ; l’auto-contrôle et les techniques de communication.
Et selon l’Inspecteur Alain Diba, le Chef de gare à Franceville, « les modules de formations sont faits en fonction des incidents récurrents enregistrés sur la voie au niveau des Chefs de sécurité, l’objectif étant de les sensibiliser pour qu’ils aient la bonne pratique». Rappelons que les Chefs de gares travaillent de concert avec les 17 Chefs de Sécurité qui après leur formation, donneront le meilleur d’eux-mêmes pour la sécurité du domaine ferroviaire.
La Première concerne les coordinations d’exploitation 1 et 2 respectivement représentées par Owendo et Ndjolé, et les coordinations d’exploitation 3 et 4 dans les villes de Boué et Franceville, dont les travaux se déroulent depuis le lundi 20 novembre 2023 au centre de formation et de perfectionnement de Franceville (CFPF) de la SETRAG.
Société
SETRAG: La 3ème rencontre de la Convention Collective lancée

Débutés depuis le 20 novembre dernier à Nkok dans le 2ème arrondissement de la Commune de Ntoum, les travaux de la 3ème rencontre de la convention collective de la Société d’Exploitation du Transgabonais (SETRAG) se sont ouverts le lundi 20 novembre 2023.
Ces travaux qui voient la participation des responsables de la Setrag et des partenaires sociaux sont dirigés par le Directeur Général de ladite Société, Christian MAGNI qui a affirmé d’entrée de jeu que cette rencontre entre la direction générale et les partenaires sociaux vise à trouver des solutions satisfaisantes à l’ensemble des revendications salariales des agents de Setrag formulées par leurs différents Syndicats.
Jouant le rôle de régulateur en ce sens qu’il représente le ministère du Travail, l’inspecteur du travail chargé du chemin de fer, Jean de la Croix a indiqué que la Convention collective est une norme juridique liée aux relations professionnelles en entreprise. Sa vision participe à la volonté des parties d’asseoir le dialogue social prôné par les autorités gabonaises.
Prenant la paroles à leur tour, les partenaires sociaux ont par la voie de leur représentant, Jean René MINANGA, affirmé veiller à la prise en compte de leurs revendications avant de relever que « la négociation n’est pas un acquis, en ce sens qu’elle ne peut jamais faire croire aux travailleurs qu’ils doivent tout obtenir à la fois, mais ont besoin d’un peu des retombées de ce qu’ils produisent », a-t-il conclu.