Politique
Concertations politiques: Réagir dit oui au “maître du jeu”, Ali BONGO

Ce 11 janvier 2023, à l’occasion de la présentation des vœux de nouvel an aux gabonais, le parti politique REAGIR en a profité pour dire oui à l’invitation à une concertation avec toute la classe politique lancée par Ali BONGO le 31 décembre 2022. «Réagir prendra part à la concertation politique (annoncée) par (le président) Ali BONGO ONDIMBA», a déclaré François NDONG OBIANG, président dudit parti par ailleurs professeur en sciences politiques à l’Université Omar BONGO (UOB). Et de poursuivre, «en annonçant des concertations préalables à la tenue des élections _ présidentielle, législatives, locales, sénatoriales _ qui se dérouleront au Gabon en 2023, le président Ali BONGO ONDIMBA confirme que c’est bien lui le maître du jeu». Le président de Réagir clos son propos sur le sujet, en faisant remarquer que «c’est par rapport à son initiative que les autres forces politiques doivent se déterminer». Bref, Réagir prendra part à la concertation politique initiée par Ali BONGO ONDIMBA.
MEZ
Politique
MAGANGA MOUSSAVOU et ASSELE soutiennent à leur tour le CTRI

C‘est une journée chargée en audiences et rencontre qu’a connu le Président de la Transition, le Général de brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA. Le chef de l’État qui reçoit chaque jour des personnalités nationales et internationales de tous bords s’est entretenu avec les responsables politiques des partis du Centre des Libéraux Réformateurs (CLR), Jean Boniface ASSELE et du parti social-démocrate, Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU.
Tous deux, venus témoigner de leur soutien, de même que celui de leurs adhérents, au Comité de transition pour la restauration des institutions (CTRI), ont évoqué avec le président de la Transition, les objectifs visés par la charte de la Transition mise en place, le 30 août dernier.
Comme cela est le cas pour la majorité des acteurs politiques nationaux, Jean Boniface ASSELE et Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU ont dit leur disponibilité à accompagner le CTRI à la restauration des institutions gabonaises.
Politique
Gabon: Paulette MISSAMBO veut réhabiliter les locaux du palais du Sénat

Le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, Président de la Transition, Chef de l’Etat a reçu ce jour en audience Paulette MISSAMBO, Président du Sénat.
Portée à la tête de la Chambre Haute du Parlement de la transition le 11 septembre dernier, Paulette MISSAMBO est venue faire au Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA un point de situation sur le fonctionnement de l’institution dont elle a la charge.
Le Président du Sénat a, à cet effet, soumis des propositions nécessaires à la réussite de sa mission, notamment la réhabilitation des locaux, ensuite une meilleure représentativité des partis politiques au sein de l’institution.
Le Président de la Transition qui a pour cheval de bataille la Restauration des
Institutions, a pris acte des sollicitations émises par son hôte et lui a donné des orientations claires en vue de l’amélioration du fonctionnement de ladite
institution.
Politique
Transition au Gabon: l’OIF propose son expertise pour accompagner le retour à l’ordre constitutionnel

Peu rassurée de la situation politique du Gabon, depuis le coup d’État du 30 août 2023, la Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Louise MUSHIKIWABO a annoncé l’arrivée prochaine d’une mission de l’organisation à Libreville. Laquelle viendra échanger avec les nouvelles autorités, touchant du doigt par ailleurs, la réalité post-électorales du pays.
Se sentant «l’obligation de contribuer au retour à l’ordre constitutionnel» dans le pays, Louise MUSHIKIWABO a proposé l’expertise, l’accompagnement et l’écoute de ses équipes «qui travaillent dans le domaine politique et constitutionnel et sont prêtes à accompagner le pays», a fait savoir Louise MUSHIKIWABO.
La Secrétaire générale qui s’était dite «profondément préoccupée» par la situation du Gabon, n’avait pas manqué d’indiquer que les coups d’État sont contraires aux valeurs de la Francophonie. Par ailleurs, l’initiative des FDS gabonais avait donc violé les engagements pris par les 88 États et gouvernements qui la composent, à travers la Déclaration de Bamako du 3 novembre 2000.