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Santé

Variole du singe: l’OMS met en garde les homosexuels contre les infidélités

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Dans la lutte engagée tous azimuts contre la variole du singe qui connait actuellement une flambée à l’échelle planétaire, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a tenu un point de presse mercredi 27 juillet 2022 à Genève en Suisse. Une sortie médiatique ayant principalement pour objet de mettre en garde les homosexuels qui sont le groupe le plus touché par la maladie. Par la voix de son directeur général, Dr Tedros ADHANOM GHEBREYESUS, l’OMS invite les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes de réduire le nombre de partenaires sexuels. Selon le directeur général de l’OMS, la meilleure protection contre la variole du singe est la réduction du risque d’exposition à celle-ci: « Pour les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, cela veut aussi dire, pour le moment réduire le nombre de vos partenaires sexuels et échanger des informations avec tout nouveau partenaire pour être en mesure de les contacter en cas d’apparition de symptômes, pour qu’ils puissent s’isoler ».

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Pour rappel, c’est samedi 23 juillet 2022 que le Dr Tedros a déclenché le plus haut niveau d’alerte de son organisation pour tenter de juguler la maladie dont la majorité des cas reste pour l’heure concentrés en Europe. Comme le précise en effet le patron de l’OMS, sur une estimation mondiale de plus de 18.000 cas détectés depuis le début mai en-dehors des zones endémiques en Afrique, la maladie a été signalée dans 78 pays jusque-là et 70% des cas sont concentrés en Europe et 25% dans les Amériques. Le bilan est de cinq décès -tous survenus en Afrique. 10% des cas enregistrés dans le monde nécessitent une admission à l’hôpital pour tenter d’atténuer la douleur que connaissent les patients. Certes, ce message ne peut être efficace sur le long terme, comme le reconnaît Andy SEALE qui, à l’OMS, est chargé de faire passer le message auprès de population cible. «Ce message de réduction du nombre de partenaires vient des communautés elles-mêmes».

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L’expert de l’OMS insiste sur le fait que la population presque exclusivement touchée aujourd’hui par la variole du singe, est « celle des hommes plutôt jeunes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, et en particulier ceux qui multiplient le nombre de partenaires ». Le message de l’OMS auprès des homosexuels, «doit s’accompagner d’informations précises sur les symptômes, de tests et d’un accès facile à un médecin en cas de doute pour s’isoler au plus vite», conclut-il. Le seul remède aujourd’hui, c’est la vaccination qui s’effectue avec deux doses, espacées d’au moins 28 jours. Une seule dose suffit pour les personnes vaccinées contre la variole dans leur enfance. Une troisième dose est vivement conseillée pour les immunodéprimés. Réputé très efficace, le vaccin du laboratoire danois Bavarian Nordic, n’est pas immédiatement disponible. Selon le patron de l’OMS, la plupart des 16 millions de doses sont en vrac et il faudra « plusieurs mois » pour qu’elles soient disponibles dans des fioles prêtes à l’usage. Deux autres vaccins LC16 et ACAM2000 sont aussi à l’étude.

Pour autant, l’OMS exhorte les populations à ne pas stigmatiser une communauté précise, car «cela pourrait amener ses membres à cacher la maladie, ne pas se faire soigner et continuer à la répandre». D’autant qu’il n’y a pas de vaccin En l’état actuel des connaissances, la variole du singe n’est pas considérée comme une maladie sexuellement transmissible; tout le monde peut la contracter par le simple contact direct peau à peau, mais aussi les draps ou vêtements infectés qui sont des vecteurs de transmission de la maladie. Devant la faible quantité de de vaccins, l’OMS recommande vivement de «donner la priorité le plus à risque, ceux qui sont malades et ceux qui les soignent ou font de la recherche». Mise en garde spéciale du Dr Tedros: «Il est important de souligner que la vaccination ne protège pas instantanément contre l’infection ou la maladie et cela peut prendre plusieurs semaines. Une fois vacciné il faut donc continuer à prendre des précautions».

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Santé

Gabon /Octobre Rose /Setrag: début de sensibilisation & dépistages

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Mois d’octobre, mois de prévention et de lutte contre les Cancers féminins. Pour cette année 2024, la Société d’Exploitation du Transgabonais (Setrag) n’a pas dérogé à la règle. Comme depuis 2016, année à laquelle les autorités gabonaises se sont arrimées au reste du monde pour faire face à ce mal qui décime l’humanité, la direction générale de la Setrag compte agir comme par le passé.
Pour préparer les cheminotes à tirer un maximum de gain de ce mois dédié pour la cause,une rencontre réunissant la gent féminine employée dans cette entreprise et la directrice du programme de prévention et contrôle contre les Cancers féminins au ministère de la Santé a eue lieu dans la grande salle de réunion de la Setrag.Occasion pour ces femmes et le médecin gynécologue, Dr Nathalie AMBOUNDA LENDAGHA d’échanger sur les risques liés aux maladies cancéreuses féminines et les moyens d’y prévenir.

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Ainsi, l’on retiendra que le dépistage consiste à la personne bien portante de se présenter chez la Sage-femme pour se faire ausculter afin d’éviter ou prévenir la survenue d’une maladie. Car pour le cas des cancers féminins, lorsqu’on constate qu’ une femme a déjà une boule dans les seins ou de saignement, le plus souvent, ce que le mal s’est installé et que la prise en charge sera complexe .

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Le Dr AMBOUNDA propose donc aux femmes un dépistage organisé conformément au thème de cette année qui est « Transition vers un dépistage organisé ».Il s’agit pour chaque femme de prendre 2 heures d’octobre Rose pour aller le jour de sa date anniversaire se faire dépister chez un gynécologue.
Car l’on a constaté que depuis que le gouvernement a décidé d’insérer dans les PMI l’activité des dépistages,la prévention chez la femme trouve une adhésion . En effet, pendant 9 mois , la femme enceinte est suivie par une Sage-femme, toute chose qui assure la sécurité de l’utérus après la naissance.Il s’agit de mieux contrôler le cancer d’utérus causé par un virus pour le vaincre un jour,et aussi de bien comprendre celui du sein dont l’origine reste jusque-là inconnue.


Depuis donc le 21 octobre 2024,les dépistages ont commencé et s’achèveront le 1er novembre prochain. Les localités concernées par cette campagne de sensibilisation et de dépistage sont Owendo au centre médical et au marché Akournam,et les infirmeries de gares de Ntoum,Ndjole,Lope, Booue, Ivindo, Lastourville, Manda et Franceville.Elle sera close le 9 novembre après une séance de fitness à la gare ferroviaire d’Owendo Virié.


Présent dans la salle, Christian MAGNI,  directeur général de la Setrag de réaffirmé la politique RSE de son entreprise qui a toujours oeuvré pour la bonne santé de ses agents. « En ce mois crucial d’octobre, j’exhorte toutes les cheminotes à aller se faire dépister », a-t-il lancé. Le médecin Conseil IWANGOU qui était également présent s’est aussi réjoui du lancement de ce dépistage annuel pour prévenir les survenues des cancers de sein et d’utérus qui constituent un problème de santé publique et a rappelé que si le cancer est détecté tôt, sa prise en charge est mieux assurée.

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Gabon/ Variole du singe: la course aux cas contacts du 1er cas est lancée

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Le 22 août 2024, le Ministre de la Santé, Adrien MOUGOUGOU a fait l’annonce de l détection d’un premier cas de contagion à la variole du singe. En provenance d’Ouganda, ce gabonais de 30 ans tenu en isolement au Centre hospitalier universitaire de Libreville, depuis le 21 août dernier présentait des symptômes tels que de la fièvre, la fatigue et une éruption cutanée généralisée. Si son état est stable désormais, les autorités s’inquiètent dorénavant à identifier toutes personnes qui auraient été en contact avec le patient, depuis son retour.

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Paré d’un plan de riposte mis en place depuis l’apparition de l’épidémie en RDC, dès avril 2024, le gouvernement rassure les populations que «la létalité de cette maladie n’est pas aussi importante» et qu’elle est «moins contagieuse que la Covid-19, notamment par voie aérienne». Tout en les invitant à rester calme, ne pas céder à la panique et respecter les mesures d’hygiène recommandées, notamment éviter le contact avec les animaux sauvages, bien cuire la viande de brousse et limiter les contacts physiques en cas de lésions cutanées.

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Voici le nombre d’œufs à consommer par jour selon les scientifiques

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A la coque, dur, au plat… Chacun a ses préférences mais l’œuf reste un aliment incontournable de nos assiettes. Une bonne chose pour la santé car l’œuf est un aliment qui contient beaucoup de bons nutriments. À commencer par sa teneur élevée en protéines (12,7 g/100 g). « L’albumine du blanc d’œuf est considérée comme la protéine de référence, c’est-à-dire celle qui contient tous les acides aminés essentiels dans des proportions optimales » explique Nathalie Negro, diététicienne-nutritionniste, Responsable du Centre nutritionnel des Thermes de Brides-les-Bains. Avec environ 15 g de protéines dans deux œufs, ce produit rivalise avec la consommation d’un petit steak haché.

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L’œuf apporte aussi l’intégralité des vitamines du groupe B indispensable à la bonne marche de notre organisme. Il contient également de la vitamine D utile à la santé osseuse et au bon fonctionnement de notre système immunitaire. Il est source de minéraux, « les plus significatifs étant le phosphore et le calcium, très utiles pour la constitution de nos os, et le fer » indique la diététicienne. Il renferme de « bons gras« , les omégas 3, 6 et 9 qui sont indispensables au bon fonctionnement du cerveau, puisqu’ils entrent dans la composition des membranes cellulaires, et utiles pour lutter contre le développement des maladies cardiovasculaires. Et il est peu calorique.

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Avec un apport de 398 mg de cholestérol, le jaune d’œuf est l’une des sources les plus riches de cholestérol alimentaire d’où le fait qu’il ait longtemps été diabolisé. Une étude américaine publiée dans la revue médicale JAMA a constaté un lien entre la consommation d’aliments riches en cholestérol et le développement de maladies cardiovasculaires. Ce risque augmentait en fonction de la quantité consommée. Mais pour rappel, seulement 30% du cholestérol provient de l’alimentation et 70% est fabriqué par le foie.

S’il a longtemps été recommandé de se limiter à la consommation de 2 à 4 œufs par semaine, aujourd’hui, les scientifiques ont revu leur copie. «En France, les recommandations officielles fixent la consommation pour les adultes en bonne santé, les enfants à partir de 10 ans et les séniors, qui ont un besoin accru en protéines, à un œuf par jour, soit 7 par semaine, en l’absence de pathologies particulières» précise notre interlocutrice. Pour les personnes souffrant d’hypercholestérolémie, de diabète ou de maladies cardiovasculaires, la prudence préconise de consommer 3 à 4 œufs par semaine. C’est déjà pas mal s’accordent à dire ceux qui les adorent !

Source: Le Journal des Femmes

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