Se connecter avec nous

Faits Divers

Un réseau p*d*phile homos*x*el démantelé à Tchibanga

Publié

sur

Les unités de la brigade de gendarmerie de Tchibanga, capitale provinciale de la Nyanga (sud-ouest du Gabon), viennent de démanteler un réseau de pédophiles homosexuels. Cette bande de criminels présumés auraient accompli des horreurs sur leurs victimes dans une cabane construite au beau milieu de la forêt, non loin du village Douvoye. Le parquet de Tchibanga fait un point d’honneur de cette affaire qui secoue toute la province nynoise. Une véritable psychose s’est emparée de l’opinion publique locale. Qui sait en effet ce qui était pratiquée sur les enfants, hormis les sévices sexuels ? Et si ces pratiques avaient de relents fétichistes? Autant de questions que se posent les nynois.

Banner

Les victimes seraient en grande majorité des garçons âgés de 10 à 14 ans. L’un des gérants dudit réseau est un certain F. KOUMBA MAGANGA aurait été écroué mercredi 05 octobre 2022, à la maison d’arrêt de Tchibanga peu après son interpellation. Il méditerait depuis lors sur son sort en attendant d’être rejoint par ses complices. La brigade de gendarmerie appuyée par la police locale, se sont lancées aux trousses des autres membres du réseau. Nul doute les complices de Fabrice KOUMBA MAGANGA seront à leur tour appréhendés et jetés au gnouf. Selon nos confrères de Info241.com, les jeunes victimes étaient appâtées par une offre de travail champêtre avant d’être conduites dans une cabane en pleine forêt où ils étaient retenus prisonniers. Ainsi retenus contre leur gré, les garçons étaient transformés en objets sexuels pour le seul plaisir de la bande à Fabrice KOUMBA MAGANGA.

Lire aussi  Gabon /Pédophilie dans le Football: Ahmed MOMBO et Parfait NDONG en garde à vue

L’alerte a été donnée par l’une des victimes qui est parvenu à fausser compagnie aux prédateurs sexuels. Dans sa fuite, l’adolescent a eu la grâce de tomber sur un routier qui lui portera assistance. La victime retourne sur les lieux avec avec 3 autres personnes, pour constater que les membres du réseau s’étaient enfuis. Le réseau n’a pas couru bien loin. Sitôt informée de la situation, la brigade de gendarmerie de Tchibanga s’est mise en chasse. Au vue des éléments notamment recueillis auprès de la victime qui a sonné la charge, les gendarmes n’ont pas mis long à remonter la fiale. Et mettre la main sur l’un des cerveaux de la bande, sieur Fabrice KOUMBA MAGANGA. Ce dernier est d’ailleurs présenté comme étant la clé de voute de ce réseau homosexuel pour mineurs.

MEZ

Faits Divers

Libreville: il meurt d’un coup de ciseaux dans la poitrine

Publié

sur

Encore une victime de la violence des jeunes. La semaine écoulée aura emporté avec elle la vie d’un jeune homme de 20 ans, cruellement enlevé à l’affection des siens par un de ses camarades à l’aide d’une paire de ciseaux. Ce dernier n’aurait pas supporté de le voir dominer son compagnon de classe, lors d’une “bagarre”.

Banner

Qu’est donc devenu le fait d’ôter la vie à un être humain, pour les jeunes gabonais? Le quartier Derrière-la-prison a été le cadre d’une scène qui traduit la banalisation du meurtre chez nos jeunes. Devant le collège Frère MACAIRE, où deux jeunes élèves se livrait à une bagarre, la victime aurait pris le dessus sur son adversaire. Ce qui n’aurait pas plus à un troisième homme, devoir son camarade se faire dominer.

Il aurait donc sorti une paire de ciseaux, qu’il aurait planté en pleine poitrine de “l’ennemi de son ami”. Sous le regard hagard de nombreux badauds. Le jeune, blessé, saigne abondamment, affaibli, il s’écroule, pour ne plus jamais se relever. Ce, malgré l’intervention rapide du SAMU social arrivé en urgence sur le lieu du drame. Et les deux hommes (l’agresseur et son poulain), ont été interpellés, rapporte “L’Union”.

Lire aussi  Variole du singe: l'OMS met en garde les homosexuels contre les infidélités

Encore une histoire de crime à l’école, une de plus, dira-t-on. Mais quand serait-ce la dernière pour cette génération qui crée l’angoisse dans le coeur des parents qui ont désormais peur d’“abandonner” leurs enfants à l’école? Cette école pour laquelle les populations ont longtemps appelé à l’instauration d’une police scolaire. Mais il semble que la liste des élèves décédés et même des familles meurtries ne soient pas encore assez longues pour permettre que cette gangrène soit réellement prise en compte.

Continuer La Lecture

Faits Divers

Franceville /“J’ai pris la tête et le sexe du mari”: l’auteur du quadruple homicide passe aux aveux 

Publié

sur

Après la macabre découverte de 3 corps mutilés et décapités au quartier Montagne-sainte de Franceville, le présumé meurtrier, Yannick Noah B. aura été bien vite rattrapé par les forces de sécurité. Et aux premières heures de son arrestation dans une forêt, l’homme âgé de 36 ans aurait livré ses premières révélations, notamment sur les raisons de son acte et l’existence d’une autre victime, portant ainsi le nombre de victimes à 4. 

Banner

À la découverte de 3 corps dont un décapité, les FDS ont rapidement entrepris d’appréhender le suspect, qui a rapidement «reconnu les faits» dont il a été accusé. Révélant par ailleurs qu’en plus des corps des 2 fillettes et de celui de l’homme partiellement retrouvés, la mère des enfants, Francisca K dont le corps n’a toujours pas été retrouvé, serait également une de ses victimes. 

Le conflit serait parti d’une accusation entre les deux hommes. Car rapportent nos confrères de l’AGP, des aveux du présumé assassin, «il m’a accusé d’avoir volé sa bouteille de gaz. Nous dormons la porte ouverte parce qu’on avait plus de cadenas. Ma chambre aussi n’était pas fermée à clé, il est rentré et a commencé à m’importuner. La bagarre a déclenché, il avait sa machette, moi aussi, j’avais la mienne. C’est pendant qu’on se battait que sa femme et les enfants ont été touchés». 

Lire aussi  Tchibanga: mort par noyade, le corps d'un scieur reste introuvable

Avant de poursuivre, «j’ai jeté le corps de la mère, le tronc de son mari et les deux enfants dans la Mpassa. J’ai pris la tête et le sexe du mari, j’ai mis dans un sachet et j’ai caché sous mon lit». Des propos qui font froid dans le dos et qui interrogent quand aux réelles motivations de ses actes, dont le retrait des parties du corps laisseraient penser à des pratiques ritualistes. 

L’enquête se poursuit pour faire la lumière sur toute cette affaire. Mais l’incohérence des révélations du présumé coupable, connu pour être un grand consommateur de stupéfiants, laissent perplexes. 

Continuer La Lecture

Faits Divers

Couvre-feu & dérives des FDS: 1 mort de + c’est 1 de trop, le Gle OLIGUI doit taper du poing sur la table

Publié

sur

Un peu plus d’un mois seulement après la mort de Karl Stecy AKUE ANGOUÉ (30 ans), survenue à Libreville, suite à des sévices infligés par des militaires, c’est dans la ville de sable, à Port-Gentil, que ces derniers auraient de nouveau sévi. Au Quartier chic de la ville, Lionel ROKEWA, âgé de plus de 20 ans, aurait été tabassé, puis «poignardé» par les forces armées, jusqu’à ce que mort s’en suive. Une sanction méritée suivant les agissements de ses assaillants présumés, pour avoir transgressé le couvre-feu, toujours en vigueur au Gabon de 00h à 5h00 du matin. Une situation inédite et incompréhensible qui devrait une fois pour toute interpeller l’autorité suprême de l’État.

Banner

C’est là un drame de plus, et peut-être bien celui de trop, qui devrait inciter le Président de la Transition, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA à taper du poing sur la table, pour ramener dans les rangs, ses troupes. Ces dernières critiquées au sein de l’opinion pour «se croire intouchables et au-dessus de la loi» tel que s’insurge une habitante de Libreville, quand ces dernières ne se donnent pas le droit de faire la loi. Choisissant d’infliger la sanction, plutôt que de livrer les contrevenants, aux mains de la justice.

Lire aussi  P*d*philie à la Fraternité Saint-Pie-X du Gabon: 25 ans après, la victime d'un prêtre français revient sur 8 ans de calvaire

«Ce sont des militaires du B2 qui avaient des barres de fer, des bois qui sont à l’origine de ce meurtre. On l’a retrouvé derrière Gasepga dehors hors de la glace», déplore le frère de la victime Dimitry BOUSSOUGOU, dont les propos ont été rapportés par “Info241.com”.

Bien pire que d’être privé d’électricité, d’eau ou de ses plantations, la perte d’un enfant, un frère, un père demeure l’épreuve la plus difficile à surmonter pour l’être humain, d’autant que d’autres n’arrivent pas toujours à la surmonter. Chef suprême des forces armées, le président de la Transition s’est montré attaché au bien-être de la population gabonaise et à la cohésion sociale. Rappelant à l’ordre le Syndicat national des travailleurs du secteur de l’eau et de l’électricité (Syntee+) ou encore en autorisant d’abattre les éléphants qui dévastent les plantations et menacent le bien-être de ses concitoyens.

Il est désormais attendu de lui qu’il rétablisse l’ordre et la sanction dans ses rangs pour que les gabonais retrouvent la confiance en leur forces armées, censées garantir leur sécurité et que la cohésion sociale soit une réalité. Car au-delà de la douleur, la famille qui réaffirme sa confiance au chef de l’État, regrette que «ceux qui suivent papa Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, veulent profiter du couvre-feu pour abuser de la population. Ils ont tabassé mon frère qui n’a opposé aucune résistance lorsqu’il a été attrapé. Ils lui ont cassé deux côtes après l’avoir poignardé», s’indigne le frère de la victime.

Continuer La Lecture

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2023 Vox Populi. Tout droits réservés.