Société/Environnement
Goc-gate: la FSBO recadre les accusations de Patrichi TANASA

Dans un communiqué en date du 20 juillet 2022, la Fondation Sylvia BONGO ONDIMBA (FSBO) a fait une mise au point au sujet de son partenariat avec Gabon oil compagnie (GOC). Ce, après avoir été cité par Christian PATRICHI TANASA lors de son procès. Sans nié l’apport financier dont la Fondation a bénéficié de son partenaire pour la campagne “Octobre rose”, elle a toutefois prévenu qu’elle pourrait engager des poursuites contre es uateurs de propos diffamatoires.

La Gabon oil compagnie (GOC) a oujours participé activement à la campagne “Octobre rose” depuis 2014, soit 4 années avant l’installation de PATRICHI TANASA à la tête de la structure. Par ailleurs, relève le communiqué, la fondation n’aurait perçu qu’un montant de 5 millions de Fcfa de l’entreprise, depuis la gestion de l’ex administrateur directeur général (ADG). Lequel a soutenu que celui-ci a été effectué «sous la contrainte».
Ainsi clarifie la FSBO, «la GOC a effectué deux dons d’une valeur de 5 millions de FCFA chacun, afin de financer l’achat des consommables nécessaires à la réalisation des activités de dépistage, durant les deux campagnes de 2016 et 2018». Des faits dont elle ne renie pas, d’autant que «la liste de nos partenaires techniques et financiers est présentée de manière transparente dans nos rapports d’activités publiés annuellement», poursuit le communiqué.
À cet effet, il est bien connu que la Fondation collabore avec de nombreuses entreprises citoyennes qui lui témoignent d’un appui technique ou financier à ses actions. Pour tout besoin de toucher du doigt la véracité de cette information, elle invite ses détracteurs et le public à consulter ses différents rapports d’activités annuels.
Soucieuse de ce que ses activités ne soufffrent daucune mauvaise presse, alors qu’elle s’est engagée aux côtés des familles gabonaises, dans la lutte contre les cancers féminins avec la création de Institut de cancérologie de Libreville et la campagne “Octobre rose” entre autres, l’accompagnement des jeunes avec son programme de bourses Ozavino, elle conclu sa communication par une mise en garde. En effet, «la Fondation Sylvia BONGO ONDIMBA pour la famille se réserve le droit d’engager toute action judiciaire appropriée contre les auteurs de propos diffamatoires».
MEZ
Faits Divers
Nyanga: Un fantôme tourmente les populations d’Ibinga

Les habitants du quartier Ibanga, situé dans la commune de Tchibanga, vivent dans la tourmente depuis quelques jours. Selon des informations relayées par TV+ Afrique, une présence surnaturelle serait ressentie par certains résidents du quartier, principalement la nuit. Cette situation a provoqué panique et affolement dans la zone.
Le couple Prince et Claudette serait le plus affecté par ces événements étranges. Prince a raconté une expérience choquante, affirmant avoir été bloqué et avoir ressenti la présence de quelqu’un dans la chambre sans voir personne. Selon lui et sa conjointe, le revenant aurait même révélé son identité et affirmé être à la recherche d’une femme du quartier.
Face à ces manifestations inexplicables, Prince et Claudette ont alerté les notables d’Ibinga. Ces derniers ont convoqué la présumée femme recherchée par le spectre, qui a nié toute implication et contesté les accusations.
La chronique continue de faire peur aux habitants de ce quartier, qui restent plongés dans le tourment et l’angoisse face à cette aventure mystérieuse. Les résidents sont inquiets et attendent des solutions pour mettre fin à ces perturbations.
Justice
Oyem : Les 3 meurtriers de « Madame Mauro » condamnés à perpétuité

La Cour d’appel judiciaire d’Oyem a condamné à perpétuité trois individus pour le meurtre de Noëlle ZANG Ondo, communément appelée « Madame Mauro », une femme d’une soixantaine d’années. Les accusés, Simplice ALLOGO ALLOGO alias « Jésus », Juvénal EKOUA MBA alias « Zagalo » et Ludovic BIYOGHE IYOGHE ELLA alias « Ezé », ont été reconnus coupables de ce crime atroce commis le 13 novembre 2020 à Oyem.
Selon les faits, les accusés se sont introduits par le plafond dans la chambre de la victime, l’ont brutalisée, ligotée et bâillonnée pour une somme de 5 000 francs. Les neveux de la victime, présents dans la maison, ont entendu les cris et ont alerté les militaires qui sont intervenus trop tard. Malgré les efforts des secouristes, Madame Mauro est décédée peu après son arrivée à l’hôpital.
La Cour a suivi les réquisitions du procureur général et de l’avocat de la partie civile, condamnant les accusés à perpétuité conformément aux articles 209, 223 et 224 des Codes de procédure pénale gabonais. Cette décision met fin à une affaire qui a traumatisé la communauté locale et rendu justice à la victime et à sa famille.
Société/Environnement
«Retroussons les manches» avec la “Coalition des jeunes patriotes du Gabon,” pour redonner de l’éclat aux quartiers

Libreville semble au coeur de l’attention de nombreux citoyens, qui disent vouloir lui rendre son titre de beauté. Dans l’élan du Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA (C’BON), qui s’attèle a «donner un nouveau visage à la capitale gabonaise», la « Coalition des jeunes patriotes du Gabon », dans le cadre de son opération «Retroussons les manches», s’emploie à assainir les quartiers. Regroupant une soixantaine d’associations gabonaise, la coalition entend apporter une réponse, une aide aux citoyens, où et quand le besoin est exprimé.

Ce 19 juillet 2025, c’est au travers d’une action citoyenne, au quartier PK12, dans le 6e arrondissement de Libreville, que les jeunes patriotes du Gabon se sont illustrés. Face à la problématique de l’assainissement des zones reculées des quartiers, la Coalition a sollicité de ses membres une intervention au lieu-dit BRC. Avec quelques affiliés, André OBIANG, responsable de la communication de ladite coalition, s’est littéralement retroussé les manches, pour pour apporter un plus à ce quartier, par extension à la commune de Libreville, mieux à la construction d’un meilleur Gabon.
La Coalition des jeunes patriotes du Gabon, qui mène de manière officielle ses activités depuis 2 années maintenant regroupe une soixantaine d’associations et compte un peu plus de 300 membres. Selon André OBIANG, «le but de se réunir en coalition, est de fédérer entre gabonais, pour apporter des solutions, partant de nos ambitions pour notre pays. C’est pourquoi nous avons choisi finir les gabonais. De travailler ensemble. Nous apportons notre aide à la population lorsque le besoin se fait sentir».

Des besoins déjà exprimés par les riverains des quartiers Avéa et Nzeng-Ayong, qui seront les prochaines zones d’intervention. La coalition des jeunes gabonais qui entend mettre l’ensemble de ses compétences au service de la population gabonaise, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle espère voir son action continue et sa zone d’intervention davantage élargie.