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Société/Environnement

Le Gabon progresse de 4 places dans le classement de Reporters sans frontières

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Bond en avant du Gabon qui gagne 4 places dans le classement de Reporters sans frontières (RSF) de la liberté de la presse. Le pays passe ainsi de la 121eme place en 2020, au 117e rang sur 180 pays classés en 2021.Tout en le félicitant des progrès ainsi réalisés par le Gabon, RSF, qui est un organisme international de défense et promotion de la liberté de la presse à travers le monde, émet néanmoins un bémol en soulignant qu’en dépit des quatre places gagnées, le score du pays est en net recul passant de 61,10 sur 100 en 2021 contre 62,80 l’année précédente.

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Selon l’organisme, «la culture d’une presse libre et indépendante peine à s’établir, y compris en ligne, où le Gabon a rejoint la longue liste des pays cybercenseurs en coupant internet en marge d’une tentative de coup d’État, en 2019». Dans ce classement dominé par la Norvège, le Gabon arrive derrière le Guatemala, mais se place juste devant le Congo-Brazzaville, la Malaisie et le Nigeria. L’Érythrée occupe la queue du peloton.

Le bond du Gabon tient aux quelques signaux positifs émis en 2020. Parmi lesquels, la subvention à la presse répartie de manière plus équitable en 2021; et un dialogue plus ouvert entre autorités et professionnels des médias. Toutefois, relève RSF, malgré l’avancée consécutive au toilettage du Code de la communication de 2016, mettant notamment fin fin aux peines privatives de liberté pour des délits de presse, celui-ci contient encore des mesures d’encadrement autoritaires concernant non seulement la presse, mais aussi toute la production audiovisuelle, écrite, numérique et cinématographique.

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RSF pointe le doigt accusateur vers
la Haute autorité de la communication (HAC), qui, depuis mise en place en 2018 sur les cendres du défunt Conseil national de la communication (CNC), a multiplié les sanctions arbitraires. L’organisation s’indigne que «les médias et les journalistes publiant des articles critiquant le président, son entourage ou des proches du pouvoir subissent des suspensions à répétition qui n’ont d’autre but que de protéger les intérêts du régime. L’organe de régulation est allé jusqu’à suspendre un journal qui dénonçait justement le caractère arbitraire de ces sanctions systématiques».

RSF regrette que la autorités gabonaises ne favorisent pas l’émergence d’une presse responsable, mais plutôt, contribue à asphyxier davantage la presse indépendante et à renforcer l’autocensure concernant les sujets sensibles.

MEZ

Faits Divers

Nyanga: Un fantôme tourmente les populations d’Ibinga

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Les habitants du quartier Ibanga, situé dans la commune de Tchibanga, vivent dans la tourmente depuis quelques jours. Selon des informations relayées par TV+ Afrique, une présence surnaturelle serait ressentie par certains résidents du quartier, principalement la nuit. Cette situation a provoqué panique et affolement dans la zone.

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Le couple Prince et Claudette serait le plus affecté par ces événements étranges. Prince a raconté une expérience choquante, affirmant avoir été bloqué et avoir ressenti la présence de quelqu’un dans la chambre sans voir personne. Selon lui et sa conjointe, le revenant aurait même révélé son identité et affirmé être à la recherche d’une femme du quartier.

Face à ces manifestations inexplicables, Prince et Claudette ont alerté les notables d’Ibinga. Ces derniers ont convoqué la présumée femme recherchée par le spectre, qui a nié toute implication et contesté les accusations.

La chronique continue de faire peur aux habitants de ce quartier, qui restent plongés dans le tourment et l’angoisse face à cette aventure mystérieuse. Les résidents sont inquiets et attendent des solutions pour mettre fin à ces perturbations.

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Justice

Oyem : Les 3 meurtriers de « Madame Mauro » condamnés à perpétuité

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La Cour d’appel judiciaire d’Oyem a condamné à perpétuité trois individus pour le meurtre de Noëlle ZANG Ondo, communément appelée « Madame Mauro », une femme d’une soixantaine d’années. Les accusés, Simplice ALLOGO ALLOGO alias « Jésus », Juvénal EKOUA MBA alias « Zagalo » et Ludovic BIYOGHE IYOGHE ELLA alias « Ezé », ont été reconnus coupables de ce crime atroce commis le 13 novembre 2020 à Oyem.

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Selon les faits, les accusés se sont introduits par le plafond dans la chambre de la victime, l’ont brutalisée, ligotée et bâillonnée pour une somme de 5 000 francs. Les neveux de la victime, présents dans la maison, ont entendu les cris et ont alerté les militaires qui sont intervenus trop tard. Malgré les efforts des secouristes, Madame Mauro est décédée peu après son arrivée à l’hôpital.

La Cour a suivi les réquisitions du procureur général et de l’avocat de la partie civile, condamnant les accusés à perpétuité conformément aux articles 209, 223 et 224 des Codes de procédure pénale gabonais. Cette décision met fin à une affaire qui a traumatisé la communauté locale et rendu justice à la victime et à sa famille.

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Société/Environnement

«Retroussons les manches» avec la “Coalition des jeunes patriotes du Gabon,” pour redonner de l’éclat aux quartiers

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Libreville semble au coeur de l’attention de nombreux citoyens, qui disent vouloir lui rendre son titre de beauté. Dans l’élan du Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA (C’BON), qui s’attèle a «donner un nouveau visage à la capitale gabonaise», la « Coalition des jeunes patriotes du Gabon », dans le cadre de son opération «Retroussons les manches», s’emploie à assainir les quartiers. Regroupant une soixantaine d’associations gabonaise, la coalition entend apporter une réponse, une aide aux citoyens, où et quand le besoin est exprimé.

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Ce 19 juillet 2025, c’est au travers d’une action citoyenne, au quartier PK12, dans le 6e arrondissement de Libreville, que les jeunes patriotes du Gabon se sont illustrés. Face à la problématique de l’assainissement des zones reculées des quartiers, la Coalition a sollicité de ses membres une intervention au lieu-dit BRC. Avec quelques affiliés, André OBIANG, responsable de la communication de ladite coalition, s’est littéralement retroussé les manches, pour pour apporter un plus à ce quartier, par extension à la commune de Libreville, mieux à la construction d’un meilleur Gabon.

André OBIANG

La Coalition des jeunes patriotes du Gabon, qui mène de manière officielle ses activités depuis 2 années maintenant regroupe une soixantaine d’associations et compte un peu plus de 300 membres. Selon André OBIANG, «le but de se réunir en coalition, est de fédérer entre gabonais, pour apporter des solutions, partant de nos ambitions pour notre pays. C’est pourquoi nous avons choisi finir les gabonais. De travailler ensemble. Nous apportons notre aide à la population lorsque le besoin se fait sentir».

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Des besoins déjà exprimés par les riverains des quartiers Avéa et Nzeng-Ayong, qui seront les prochaines zones d’intervention. La coalition des jeunes gabonais qui entend mettre l’ensemble de ses compétences au service de la population gabonaise, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle espère voir son action continue et sa zone d’intervention davantage élargie.

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