Politique
Gabon: C’est sur Twitter que Jean PING présente ses condoléances aux familles endeuillés du 18 février
Le leader de la Coalition pour la Nouvelle République (CNR), tête de file de l’opposition radicale et ancien candidat aux élections présidentielles de 2016, Jean PING, a pris la parole sur le réseau social Twitter le samedi 20 février 2020, pour exprimer son soutien au peuple gabonais qui a lancé depuis le 17 février 2021, le “mouvement des casseroles”. Il a également présenté ses condoléances aux familles des deux compatriotes qui ont perdu la vie le jeudi 18 février 2021.
Le Président de la République autoproclamé, a une fois de plus usé des réseaux sociaux pour s’adresser aux citoyens. Il a ainsi réagi aux tueries du jeudi 18 février 2021, suite au deuxième jour de protestation du mouvement dit des casseroles.
«Depuis plus de quatre ans, le refus des Gabonais de céder à la peur devant le régime répressif est resté constantt. Je m’incline devant le courage des victimes de la répression aveugle de ce régime. Mes condoléances aux familles endeuillées ce 18 février», a tweeté Jean PING.
Une publication qui n’a pas manqué d’attirer beaucoup de critiques négatives de la part des internautes. Ce d’autant que le ministre de l’Agriculture, Biendi MAGANGA MOUSSAVOU, est allé hier dimanche 21 février 2021, se recueillir sur les lieux du drame, au PK6, où Gildas ILOKO est décédé par balle dans des circonstances non encore élucidées. Il est le seul membre du Gouvernement à avoir entrepris cette démarche jusqu’alors.
Politique
Transition, Référendum & nouveau code électoral: OLIGUI NGUEMA en parle avec Denis SASSOU NGUESSO
Selon un communiqué de presse de la Présidence de la République, le chef de l’État gabonais, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, en marge de la cérémonie marquant la réouverture officielle de la Cathédrale Notre Dame de Paris, le 08 décembre 2024, à Paris, a échangé avec son homologue congolais, Denis SASSOU NGUESSO. La teneur de cette rencontre a porté notamment sur, le processus de transition, le référendum 2024, qui a vu une large approbation de la nouvelle Constitution et le nouveau code électoral, dont la composition de la Commission nationale chargée de son l’élaboration a été rendu publique par le porte-parole du CTRI.
Politique
Référendum 2024: score soviétique pour le Oui 91,80% des suffrages
C est à la faveur d’une déclaration d’une déclaration rendue public ce dimanche 17 novembre 2024 que le ministre de l’Intérieur Hermann IMMONGAULT a annoncé les résultats provisoires de l’élection référendaire qui s’est tenu le 16 novembre dernier. Ainsi, au terme d’un scrutin le oui l’a emporté avec 91,80% des suffrages exprimés.
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Référendum 2024: le PDG responsable du taux d’abstention désigné comme « vainqueur », par Anges Kevin NZIGOU
Maitre Anges Kevin NZIGOU, Secrétaire exécutif du parti Pour Le Changement (PLC), par ailleurs soutient assumé du « Oui » pour la nouvelle Constitution s’est prononcé, ce 16 novembre 2024, date du scrutin référendaire, bien avant la proclamation des résultats. Pour l’avocat, si le « Oui » semble l’emporter face au « Non », le véritable vainqueur reste néanmoins «l’abstention». La faute à qui ? A la résilience du parti déchu, le Parti démocratique gabonais (PDG) dont de nombreux membres sont présents au cours de cette transition. Ci-dessous son propos tiré de sa page Facebook.
« ✍️ Il FAUT ABSOLUMENT CHASSER LE PDG
Les tendances des élections référendaires semblent donner une large victoire au “Oui”, une nouvelle qui peut réjouir ses partisans. Pourtant, en y regardant de plus près, le véritable vainqueur de cette élection est sans conteste l’abstention, dont le niveau record est profondément symbolique du malaise qui habite le peuple gabonais.
Rappelons-nous : le 30 août 2023, le peuple avait applaudi le coup d’État, espérant un rejet clair et définitif du PDG et de ses pratiques. Mais un an plus tard, l’omniprésence persistante de ce parti laisse un goût amer. Les Gabonais se sentent trompés, trahis dans leurs attentes de changement.
Cette forte abstention, dans un contexte où le coup d’État avait suscité tant d’espoirs, est l’expression d’un désenchantement profond. Elle traduit la frustration de voir que le PDG, au lieu de disparaître, continue de peser sur le destin de la nation.
Le message est clair : le peuple gabonais attend toujours le vrai changement qu’il a si ardemment appelé de ses vœux ».