Politique
Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA reçue par Denis SASSOU NGUESSO
Le Premier Ministre Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA était hier mardi 27 septembre 2020 à Brazzaville au Congo, pour l’ouverture d’un colloque international consacré aux 60 ans des indépendances des pays d’Afrique francophone et aux 80 ans de la participation des troupes africaines à la libération de la France en 1940. Elle était également porteuse d’un message de la part d’Ali BONGO ONDIMBA pour le président Denis SASSOU NGUESSO, avec qui elle s’est entretenue.
Pour sa première sortie à l’international depuis sa nomination en juillet dernier, la Cheffe du Gouvernement s’est rendue au Congo voisin où elle a été reçue par le président congolais, à qui elle a également délivré un message de la part du numéro un gabonais.
«A l’occasion de ma présence ce jour à Brazzaville, j’ai été chaleureusement reçue par SEM Denis Sassou Nguesso. Je lui ai transmis un message de la part du Président Ali Bongo Ondimba, qui est un fervent partisan et un promoteur acharné de l’intégration en Afrique centrale», a tweeté Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA.
À en croire nos confrères de “La Libreville”, l’on ne sait encore rien sur la teneur de cet échange entre le Premier Ministre et le Président congolais, qui aurait duré près d’une heure. Mais à ce qu’il semble, Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA «a fait très forte impression», selon les commentaires de l’entourage de Denis SASSOUS NGUESSO rapportés par “La Libreville”.
À l’occasion de sa visite à Brazzaville, le Premier Ministre a également participé à l’ouverture d’un colloque international intitulé: «De Gaulle et Brazzaville: une mémoire partagée entre la France, le Congo et l’Afrique». Une rencontre qui a notamment réuni les Présidents de la République démocratique du Congo (RDC), du Tchad et de la Centrafrique (RCA).
Politique
Transition, Référendum & nouveau code électoral: OLIGUI NGUEMA en parle avec Denis SASSOU NGUESSO
Selon un communiqué de presse de la Présidence de la République, le chef de l’État gabonais, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, en marge de la cérémonie marquant la réouverture officielle de la Cathédrale Notre Dame de Paris, le 08 décembre 2024, à Paris, a échangé avec son homologue congolais, Denis SASSOU NGUESSO. La teneur de cette rencontre a porté notamment sur, le processus de transition, le référendum 2024, qui a vu une large approbation de la nouvelle Constitution et le nouveau code électoral, dont la composition de la Commission nationale chargée de son l’élaboration a été rendu publique par le porte-parole du CTRI.
Politique
Référendum 2024: score soviétique pour le Oui 91,80% des suffrages
C est à la faveur d’une déclaration d’une déclaration rendue public ce dimanche 17 novembre 2024 que le ministre de l’Intérieur Hermann IMMONGAULT a annoncé les résultats provisoires de l’élection référendaire qui s’est tenu le 16 novembre dernier. Ainsi, au terme d’un scrutin le oui l’a emporté avec 91,80% des suffrages exprimés.
Politique
Référendum 2024: le PDG responsable du taux d’abstention désigné comme « vainqueur », par Anges Kevin NZIGOU
Maitre Anges Kevin NZIGOU, Secrétaire exécutif du parti Pour Le Changement (PLC), par ailleurs soutient assumé du « Oui » pour la nouvelle Constitution s’est prononcé, ce 16 novembre 2024, date du scrutin référendaire, bien avant la proclamation des résultats. Pour l’avocat, si le « Oui » semble l’emporter face au « Non », le véritable vainqueur reste néanmoins «l’abstention». La faute à qui ? A la résilience du parti déchu, le Parti démocratique gabonais (PDG) dont de nombreux membres sont présents au cours de cette transition. Ci-dessous son propos tiré de sa page Facebook.
« ✍️ Il FAUT ABSOLUMENT CHASSER LE PDG
Les tendances des élections référendaires semblent donner une large victoire au “Oui”, une nouvelle qui peut réjouir ses partisans. Pourtant, en y regardant de plus près, le véritable vainqueur de cette élection est sans conteste l’abstention, dont le niveau record est profondément symbolique du malaise qui habite le peuple gabonais.
Rappelons-nous : le 30 août 2023, le peuple avait applaudi le coup d’État, espérant un rejet clair et définitif du PDG et de ses pratiques. Mais un an plus tard, l’omniprésence persistante de ce parti laisse un goût amer. Les Gabonais se sentent trompés, trahis dans leurs attentes de changement.
Cette forte abstention, dans un contexte où le coup d’État avait suscité tant d’espoirs, est l’expression d’un désenchantement profond. Elle traduit la frustration de voir que le PDG, au lieu de disparaître, continue de peser sur le destin de la nation.
Le message est clair : le peuple gabonais attend toujours le vrai changement qu’il a si ardemment appelé de ses vœux ».