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Economie

Gabon / pénurie de produits de nécessité : Hugues MBADINGA MADIYA rencontre les acteurs économiques du Haut-Ogooué et de l’Ogooué Lolo

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Après plusieurs mois de pénurie en produits de nécessité dans les provinces du Haut-Ogooué et de l’Ogooué Lolo, le ministre du Commerce Hugues MBADINGA MADIYA est allé à la rencontre des opérateurs économiques desdites provinces. L’occasion pour le ministre d’assurer à ses interlocuteurs de la disposition de l’État à soutenir des actions qui devraient assurer  à l’avenir de la disponibilité permanente des produits. 

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En effet, amenée par la dégradation du réseau routier, la pénurie de produits de première nécessité a favorisé la hausse des prix dans ces localités. Mais, face aux difficultés que rencontrent les populations, Hugues MBADINGA MADIYA a assuré de la disposition de l’État à trouver des solutions.

«Nous sommes venus à la rencontre des acteurs qui opèrent dans les différents secteurs, producteurs, transporteurs et distributeurs. L’idée derrière, est de ressortir de là avec une plateforme commune avec des actions à mener très rapidement, pour faire en sorte que les produits qui manquent cruellement à la population de ces différentes provinces puissent être à nouveau disponibles», a assuré le ministre. 

Au nombre des solutions à apporter à cette penurie, Hugues MBADINGA MADIYA a évoqué la tenue des stocks afin de permettre aux distributeurs de se prémunir des aléas de transport. «L’etat est là pour les aider, pour mettre en place le cadre pour les inciter à toujours produire plus. L’idée est de trouver des solutions pour soulager les populations» a-t-il conclu.

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Economie

Réinsertion économique des gabonais de retour de France: le DG du PNPE touche du doigt les avancées

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Alors que pour certains compatriotes vivant hors du territoire gabonais, il semble difficile d’envisager un retour au Gabon, craignant pour leur stabilité économique, quelques-uns d’entre eux, bénéficient d’un accompagnement. Lequel, vise à favoriser la réinsertion économique et sociale des gabonais de retour de France, au Gabon. Plus récemment, le Directeur général du Pôle national de promotion de l’emploi (PNPE), Puanne Paulin MOUSSOUNDA s’est rendu auprès de quelques-uns d’entre eux, pour toucher du doigt l’évolution de leurs activités.

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En effet, dans le cadre de la Convention de partenariat relative à la réinsertion économique et sociale des gabonais de retour de France établie entre l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (OFII) et le Pôle National de Promotion de l’Emploi (PNPE), Marie-Louise MENDAME, Fabrice NDONG MBENG, Wilfried NZONGA et André MBA LEPEVE tous promoteurs de ladite convention ont reçu la visite de Puanne Paulin MOUSSOUNDA le 16 avril 2024.

Respectivement responsables d’un salon de coiffure à Akébé ville, d’une épicerie au quartier Atsibi-tsos, d’une cantine scolaire au collège Nelson MANDELA et d’une entreprise de froid au Charbonnages, tous ont bénéficié de l’accompagnement du PNPE dans le processus de création de leur activité génératrice de revenus. En plus d’une formation à la création et à la gestion d’entreprise, l’élaboration d’un business plan, l’installation et le suivi post-création.

Pour rappel, le Gabon et la France ont signé le 05 juillet 2007, l’Accord Cadre sur la gestion concertée des flux migratoires et au co-développement. Pour laquelle, une Convention cadre de partenariat relative à la réinsertion économique et sociale des gabonais de retour de France a été signée le 12 décembre 2012 entre l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (OFII) et le Pôle national de promotion de l’emploi (PNPE). Reposant sur trois niveaux d’accompagnement, que sont la réinsertion sociale, l’accompagnement à l’emploi salarié, la réinsertion par la création d’entreprise.

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Economie

Gabon /Transport urbain et suburbain: l’insoluble équation des pièces (de monnaie)

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Avec la monnaie»! Un refrain que les Librevillois connaissent par cœur. Tant la rareté des pièces de monnaie fait rage au Gabon, que cela soit dans les commerces, pire dans les transports en commun. Pas un jour ne passe sans que celui-ci ne soit répété aux clients. Pourtant, au constat , les professionnels du transport seraient eux-mêmes en grande partie responsables de cette problématique. 

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Et pour cause, ces derniers seraient, suivant une source bien informée, en «deal» avec les commerçants des communautés libanaise, mauritanienne… Les taximen et “clandomen” commercialiseraient régulièrement des «jetons» d’un montant de 10 000 Fcfa, contre paiement cash de la somme de 11 000 Fcfa, 20 000 pour 22 000 et ainsi de suite. En d’autres termes, les clients des transporteurs ne seraient donc que des fournisseurs de pièces de monnaie pour assurer la survie de leur trafic. 

D’autre part, il est bien connu que les pièces de monnaie sont prisées par les charlatans de tous genres, pour paiement ou préparation de leurs charmes. Des rites fétichistes, qui exigent que lors de cérémonies, des centaines de pièces de monnaie sont jetées nuitamment au pied d’arbres isolés en pleine brousse, ou à côté d’animaux sacrifiés, avait rappelé le magazine Superstar. Pas des billets de banque, mais des pièces de monnaie. Dans ce sens, une vidéo qui avait fait le tour des réseaux sociaux dévoilait un arbre au pied duquel les pièces de monnaie brillaient de mille éclats, jetées par des personnes qui forcent le destin de leur attribuer un bien, une opportunité, une place qui ne leur est pas destiné. L’on aurait dit que la nouvelle production de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) y avait été déversée. 

Alors que face à l’insoluble équation de la rareté des pièces de monnaie, l’Union monétaire de l’Afrique centrale (Umac), avait entrepris un an plus tôt, le 15 mars 2023, la création d’une nouvelle gamme de pièces de monnaie par la BEAC. Cela dans le but de pallier la rareté de celles-ci.

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Gabon /Transport urbain et suburbain: l’insoluble équation des pièces (de monnaie)

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Avec la monnaie»! Un refrain que les Librevillois connaissent par cœur. Tant la rareté des pièces de monnaie fait rage au Gabon, que cela soit dans les commerces, pire dans les transports en commun. Pas un jour ne passe sans que celui-ci ne soit répété aux clients. Pourtant, au constat , les professionnels du transport seraient eux-mêmes en grande partie responsables de cette problématique. 

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Et pour cause, ces derniers seraient, suivant une source bien informée, en «deal» avec les commerçants des communautés libanaise, mauritanienne… Les taximen et “clandomen” commercialiseraient régulièrement des «jetons» d’un montant de 10 000 Fcfa, contre paiement cash de la somme de 11 000 Fcfa, 20 000 pour 22 000 et ainsi de suite. En d’autres termes, les clients des transporteurs ne seraient donc que des fournisseurs de pièces de monnaie pour assurer la survie de leur trafic. 

D’autre part, il est bien connu que les pièces de monnaie sont prisées par les charlatans de tous genres, pour paiement ou préparation de leurs charmes. Des rites fétichistes, qui exigent que lors de cérémonies, des centaines de pièces de monnaie sont jetées nuitamment au pied d’arbres isolés en pleine brousse, ou à côté d’animaux sacrifiés, avait rappelé le magazine Superstar. Pas des billets de banque, mais des pièces de monnaie.

Dans ce sens, une vidéo qui avait fait le tour des réseaux sociaux dévoilait un arbre au pied duquel les pièces de monnaie brillaient de mille éclats, jetées par des personnes qui forcent le destin de leur attribuer un bien, une opportunité, une place qui ne leur est pas destiné. L’on aurait dit que la nouvelle production de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) y avait été déversée. 

Alors que face à l’insoluble équation de la rareté des pièces de monnaie, l’Union monétaire de l’Afrique centrale (Umac), avait entrepris un an plus tôt, le 15 mars 2023, la création d’une nouvelle gamme de pièces de monnaie par la BEAC. Cela dans le but de pallier la rareté de celles-ci.

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