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Santé

La pénurie des vaccins dans les pharmacies de Libreville suscite inquiétude et  indignation

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Depuis quelques semaines, il est difficile de se procurer un vaccin dans les pharmacies de la capitale et de ses artères. Pour cause, son indisponibilité sur le marché. Le constat aurait pu se limiter si la situation n’avait duré que temps d’une journée mais l’absence récurrente du médicament emmènent les populations à s’interroger sur ce qui pourrait expliquer le prolongement du problème.

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Les patients dont les interventions médicales sont conditionnées par l’injection du vaccin sont obligés de recourir à un traitement alternatif. À défaut de compter sur une intervention divine pour limiter l’impact que peut avoir un choc, une morsure ou une blessure sur le corps humain car il n’y a pas des vaccins actuellement disponible en pharmacie. La situation de rupture de stock prolongée dans les pharmacies inquiète et suscite les indignations de part et d’autre au point où le quotidien  »l’Union » parle «d’incompréhension».

En effet, l’article établit que le constat est le même sur l’ensemble des grandes surfaces pharmaceutiques de Libreville. «Constat identique dans la plupart des pharmacies de Libreville et de ses environs (…) une pénurie de certains vaccins Synflorix, le SAT, le Rotarix, le Menactra, l’Antirabic ou encore le Typhime», peut on lire.

Résultats des courses, ce sont les populations qui paient le prix fort de son absence sur le marché.

«Depuis ce matin, je suis à la recherche du SAT, le vaccin contre le Tétanos pour mon fils qui s’est blessé en cognant sur la table basse du salon mais lesquelles je me suis rendu sont en rupture de stock», a indiqué un riverain de la capitale.

Pour l’heure ni le gouvernement ni les autorités ministérielles de la Santé n’ont commentés cette actualité. Pourquoi un tel omerta sur la question sachant que le problème perdure depuis des semaines? Existe t-il des mesures pour parer rapidement à la demande?

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Santé

Gabon /Octobre Rose /Setrag: début de sensibilisation & dépistages

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Mois d’octobre, mois de prévention et de lutte contre les Cancers féminins. Pour cette année 2024, la Société d’Exploitation du Transgabonais (Setrag) n’a pas dérogé à la règle. Comme depuis 2016, année à laquelle les autorités gabonaises se sont arrimées au reste du monde pour faire face à ce mal qui décime l’humanité, la direction générale de la Setrag compte agir comme par le passé.
Pour préparer les cheminotes à tirer un maximum de gain de ce mois dédié pour la cause,une rencontre réunissant la gent féminine employée dans cette entreprise et la directrice du programme de prévention et contrôle contre les Cancers féminins au ministère de la Santé a eue lieu dans la grande salle de réunion de la Setrag.Occasion pour ces femmes et le médecin gynécologue, Dr Nathalie AMBOUNDA LENDAGHA d’échanger sur les risques liés aux maladies cancéreuses féminines et les moyens d’y prévenir.

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Ainsi, l’on retiendra que le dépistage consiste à la personne bien portante de se présenter chez la Sage-femme pour se faire ausculter afin d’éviter ou prévenir la survenue d’une maladie. Car pour le cas des cancers féminins, lorsqu’on constate qu’ une femme a déjà une boule dans les seins ou de saignement, le plus souvent, ce que le mal s’est installé et que la prise en charge sera complexe .


Le Dr AMBOUNDA propose donc aux femmes un dépistage organisé conformément au thème de cette année qui est « Transition vers un dépistage organisé ».Il s’agit pour chaque femme de prendre 2 heures d’octobre Rose pour aller le jour de sa date anniversaire se faire dépister chez un gynécologue.
Car l’on a constaté que depuis que le gouvernement a décidé d’insérer dans les PMI l’activité des dépistages,la prévention chez la femme trouve une adhésion . En effet, pendant 9 mois , la femme enceinte est suivie par une Sage-femme, toute chose qui assure la sécurité de l’utérus après la naissance.Il s’agit de mieux contrôler le cancer d’utérus causé par un virus pour le vaincre un jour,et aussi de bien comprendre celui du sein dont l’origine reste jusque-là inconnue.


Depuis donc le 21 octobre 2024,les dépistages ont commencé et s’achèveront le 1er novembre prochain. Les localités concernées par cette campagne de sensibilisation et de dépistage sont Owendo au centre médical et au marché Akournam,et les infirmeries de gares de Ntoum,Ndjole,Lope, Booue, Ivindo, Lastourville, Manda et Franceville.Elle sera close le 9 novembre après une séance de fitness à la gare ferroviaire d’Owendo Virié.


Présent dans la salle, Christian MAGNI,  directeur général de la Setrag de réaffirmé la politique RSE de son entreprise qui a toujours oeuvré pour la bonne santé de ses agents. « En ce mois crucial d’octobre, j’exhorte toutes les cheminotes à aller se faire dépister », a-t-il lancé. Le médecin Conseil IWANGOU qui était également présent s’est aussi réjoui du lancement de ce dépistage annuel pour prévenir les survenues des cancers de sein et d’utérus qui constituent un problème de santé publique et a rappelé que si le cancer est détecté tôt, sa prise en charge est mieux assurée.

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Santé

Gabon/ Variole du singe: la course aux cas contacts du 1er cas est lancée

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Le 22 août 2024, le Ministre de la Santé, Adrien MOUGOUGOU a fait l’annonce de l détection d’un premier cas de contagion à la variole du singe. En provenance d’Ouganda, ce gabonais de 30 ans tenu en isolement au Centre hospitalier universitaire de Libreville, depuis le 21 août dernier présentait des symptômes tels que de la fièvre, la fatigue et une éruption cutanée généralisée. Si son état est stable désormais, les autorités s’inquiètent dorénavant à identifier toutes personnes qui auraient été en contact avec le patient, depuis son retour.

Paré d’un plan de riposte mis en place depuis l’apparition de l’épidémie en RDC, dès avril 2024, le gouvernement rassure les populations que «la létalité de cette maladie n’est pas aussi importante» et qu’elle est «moins contagieuse que la Covid-19, notamment par voie aérienne». Tout en les invitant à rester calme, ne pas céder à la panique et respecter les mesures d’hygiène recommandées, notamment éviter le contact avec les animaux sauvages, bien cuire la viande de brousse et limiter les contacts physiques en cas de lésions cutanées.

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Santé

Voici le nombre d’œufs à consommer par jour selon les scientifiques

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A la coque, dur, au plat… Chacun a ses préférences mais l’œuf reste un aliment incontournable de nos assiettes. Une bonne chose pour la santé car l’œuf est un aliment qui contient beaucoup de bons nutriments. À commencer par sa teneur élevée en protéines (12,7 g/100 g). « L’albumine du blanc d’œuf est considérée comme la protéine de référence, c’est-à-dire celle qui contient tous les acides aminés essentiels dans des proportions optimales » explique Nathalie Negro, diététicienne-nutritionniste, Responsable du Centre nutritionnel des Thermes de Brides-les-Bains. Avec environ 15 g de protéines dans deux œufs, ce produit rivalise avec la consommation d’un petit steak haché.

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L’œuf apporte aussi l’intégralité des vitamines du groupe B indispensable à la bonne marche de notre organisme. Il contient également de la vitamine D utile à la santé osseuse et au bon fonctionnement de notre système immunitaire. Il est source de minéraux, « les plus significatifs étant le phosphore et le calcium, très utiles pour la constitution de nos os, et le fer » indique la diététicienne. Il renferme de « bons gras« , les omégas 3, 6 et 9 qui sont indispensables au bon fonctionnement du cerveau, puisqu’ils entrent dans la composition des membranes cellulaires, et utiles pour lutter contre le développement des maladies cardiovasculaires. Et il est peu calorique.

Avec un apport de 398 mg de cholestérol, le jaune d’œuf est l’une des sources les plus riches de cholestérol alimentaire d’où le fait qu’il ait longtemps été diabolisé. Une étude américaine publiée dans la revue médicale JAMA a constaté un lien entre la consommation d’aliments riches en cholestérol et le développement de maladies cardiovasculaires. Ce risque augmentait en fonction de la quantité consommée. Mais pour rappel, seulement 30% du cholestérol provient de l’alimentation et 70% est fabriqué par le foie.

S’il a longtemps été recommandé de se limiter à la consommation de 2 à 4 œufs par semaine, aujourd’hui, les scientifiques ont revu leur copie. «En France, les recommandations officielles fixent la consommation pour les adultes en bonne santé, les enfants à partir de 10 ans et les séniors, qui ont un besoin accru en protéines, à un œuf par jour, soit 7 par semaine, en l’absence de pathologies particulières» précise notre interlocutrice. Pour les personnes souffrant d’hypercholestérolémie, de diabète ou de maladies cardiovasculaires, la prudence préconise de consommer 3 à 4 œufs par semaine. C’est déjà pas mal s’accordent à dire ceux qui les adorent !

Source: Le Journal des Femmes

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