Société/Environnement
Journée mondiale de l’Environnement: SOBRAGA aux côtés de l’ONG SOS KOMO OCEAN pour protéger le littoral gabonais

Dans le cadre de la Journée mondiale de l’Environnement, SOBRAGA réaffirme son engagement pour la préservation de l’environnement en prenant part activement à l’initiative menée par l’ONG SOS KOMO OCEAN, intitulé SOS Pointe Denis le 7 juin 2025.

Aux côtés de partenaires et associations engagés, SOBRAGA a rassemblé une équipe de 17 collaborateurs et bénévoles sur un total de 65 participants, pour mener une série d’actions ciblées et citoyennes en faveur de la nature.
Des actions fortes et symboliques
Cette journée rythmée par une randonnée reliant la plage du River Lodge à celle de la Maringa a permis la collecte de déchets le long du littoral (plastiques, canettes, bouteilles en verre, mégots de cigarette, etc..). Ce sont près de 4 big bags de déchets qui ont été extraits des plages soit un total d’environ 5000 Kg, preuve de nécessité d’agir.
Dans le même élan, 6 panneaux de sensibilisation à l’environnement ont été installés le long des plages. Financé par SOBRAGA, ce dispositif vise à alerter les visiteurs sur la fragilité des écosystèmes côtiers et à encourager les comportements responsables. Cette action fait suite à celle déjà menée sur les plages de la Sablière en février dernier, avec l’ambition de couvrir progressivement tout le littoral gabonais.
Un engagement collectif avec des partenaires engagés
A l’initiative de l’ONG SOS KOMO OCEAN, et avec le soutien actif de partenaires tels que la Croix-Rouge gabonaise, Clean Africa, Plumea, Maringa, et bien sûr SOBRAGA, un bel exploit pour l’environnement a été accompli grâce une équipe engagée et déterminée.
Chaque déchet collecté, chaque effort consenti contribue à préserver notre riche écosystème marin : à travers cette action SOBRAGA sensibilise une fois de plus les générations présentes et futures sur l’importance de veiller à la protection de notre environnement.
Société/Environnement
Déficit énergétique: le Gabon s’offre 31 groupes électrogènes supplémentaires

Dans l’optique de renforcer le secteur énergétique du Gabon, le Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA (CBON) a tenu sa promesse faite lors de son allocution il y a quelques mois, avec l’acquisition de 31 groupes électrogènes neuves, qui s’apprête à être réceptionnés au sein de la capitale, puis expédiés dans 18 localités de l’intérieur du pays. Cette opération marque une étape importante qui vient mettre définitivement fin au déficit énergétique que rencontre notre pays.
En effet, le pays a été longtemps confronté à un déficit énergétique quasi permanent. Des localités comme Tchibanga, Mitzic, Minvoul, Koulamoutou, Ndendé, Mayumba et bien d’autres sont directement concernées par cet acte. Composé de 31 groupes électrogènes de marque Caterpillar, accompagnés de transformateurs de puissance et d’appareillages de protection, qui sont des équipements nécessaires pour stabiliser et fiabiliser l’alimentation électrique dans ces localités.
Cette opération s’inscrit dans l’un des engagements d’OLIGUI NGUEMA, faite lors de la transition. En agissant là où l’ancien régime s’est contentés de fausses promesses, le Chef de l’État concrétise la volonté du gouvernement de garantir un développement harmonieux et équitable sur l’ensemble du territoire gabonais.
Pour le Chef du gouvernement, l’objectif est d’améliorer le quotidien des populations, de stimuler l’économie locale en fournissant une énergie fiable et durable. Lors de la Transition, CBON avait procédé à la réception de 14 groupes électrogènes neufs en faveur des populations de l’intérieur du pays, qui sera renforcé par ces nouvelles acquisitions, dans les jours avenir. C’est la preuve que l’accès à l’énergie demeure parmi les priorités du numéro 1 du pays.
Faits Divers
Nyanga: Un fantôme tourmente les populations d’Ibinga

Les habitants du quartier Ibanga, situé dans la commune de Tchibanga, vivent dans la tourmente depuis quelques jours. Selon des informations relayées par TV+ Afrique, une présence surnaturelle serait ressentie par certains résidents du quartier, principalement la nuit. Cette situation a provoqué panique et affolement dans la zone.
Le couple Prince et Claudette serait le plus affecté par ces événements étranges. Prince a raconté une expérience choquante, affirmant avoir été bloqué et avoir ressenti la présence de quelqu’un dans la chambre sans voir personne. Selon lui et sa conjointe, le revenant aurait même révélé son identité et affirmé être à la recherche d’une femme du quartier.
Face à ces manifestations inexplicables, Prince et Claudette ont alerté les notables d’Ibinga. Ces derniers ont convoqué la présumée femme recherchée par le spectre, qui a nié toute implication et contesté les accusations.
La chronique continue de faire peur aux habitants de ce quartier, qui restent plongés dans le tourment et l’angoisse face à cette aventure mystérieuse. Les résidents sont inquiets et attendent des solutions pour mettre fin à ces perturbations.
Justice
Oyem : Les 3 meurtriers de « Madame Mauro » condamnés à perpétuité

La Cour d’appel judiciaire d’Oyem a condamné à perpétuité trois individus pour le meurtre de Noëlle ZANG Ondo, communément appelée « Madame Mauro », une femme d’une soixantaine d’années. Les accusés, Simplice ALLOGO ALLOGO alias « Jésus », Juvénal EKOUA MBA alias « Zagalo » et Ludovic BIYOGHE IYOGHE ELLA alias « Ezé », ont été reconnus coupables de ce crime atroce commis le 13 novembre 2020 à Oyem.
Selon les faits, les accusés se sont introduits par le plafond dans la chambre de la victime, l’ont brutalisée, ligotée et bâillonnée pour une somme de 5 000 francs. Les neveux de la victime, présents dans la maison, ont entendu les cris et ont alerté les militaires qui sont intervenus trop tard. Malgré les efforts des secouristes, Madame Mauro est décédée peu après son arrivée à l’hôpital.
La Cour a suivi les réquisitions du procureur général et de l’avocat de la partie civile, condamnant les accusés à perpétuité conformément aux articles 209, 223 et 224 des Codes de procédure pénale gabonais. Cette décision met fin à une affaire qui a traumatisé la communauté locale et rendu justice à la victime et à sa famille.