Economie
La ZIS de Nkok à l’origine de la création de plus de 20 000 emplois
Créée en 2010 à l’initiative d’Ali BONGO ONDIMBA, la Zone économique spéciale de Nkok depuis créée 20000 emplois; soit 8 000 emplois directs et 12000 emplois indirects. En plus d’avoir matérialisé l’ambition affichée par le Chef de l’État depuis son avènement en 2009, de doter le Gabon d’une Zone industrielle socle de la marche progressive du pays vers l’émergence.
C’est ce que nous apprends le focus y relatif réalisé dans le cadre de la campagne gouvernementale intitulée « Pour vous » qui brosse le bilan du gouvernement gabonais à quelques mois des échéances électorales prévues en août prochain. Il retrace l’historique de la Zone d’investissement spéciale de Nkok qui, sous l’impulsion du Président de la République, a connue un développement ultra rapide; et a été classée en 2022 par FDI Intelligence comme meilleure zone franche pour les pratiques environnementales en Afrique.
On y dénombre, en effet, pas moins de 144 entreprises issues 16 pays, officiant dans 70 secteurs différents et dont les plus prolifiques sont l’industrie du bois qui en est la figure de proue avec 84 entreprises, la métallurgie et l’industrie pharmaceutique. Un véritable modèle de réussite dont s’inspire déjà plusieurs pays africains.
MEZ
Economie
Le secteur minier, pilier
stratégique pour réduire la dépendance du Gabon aux hydrocarbures
Un an après le changement de régime au Gabon, le Comité de transition pour la restauration des institutions (CTRI), conduit par son président, Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a conduit de nombreux projets visant à relancer de plus belle l’économie gabonaise. Au nombre de ceux-ci, le secteur minier a véritablement fait peau neuve, paraissant désormais comme un pilier stratégique qui va permettre au Gabon de réduire sa dépendance économique aux hydrocarbures. En effet, de nombreuses initiatives ambitieuses ont été déployées,
notamment l’exploration des gisements de diamants dans les régions de Mitzic et Nzenzélé, ainsi que des terres rares à Lambaréné, sans oublier Bélinga et Baniaka. Par ailleurs, les acteurs du secteur initient des programmes de
formation en géologie et en ingénierie minière ont été mis en place, préparant la main-d’œuvre gabonaise à des emplois qualifiés dans le secteur minier. Autant de programmes initiés sous la gestion du CTRI, qui permettent de jeter les bases d’une industrie forte de compétences et d’emplois nationaux.
Economie
Libreville-POG: Fly Gabon réussit son vol inaugural
Comme prévu, ce 31 août 2024, la compagnie aérienne nationale, Fly Gabon a effectué son vol inaugural, ralliant ainsi Port-Gentil, au départ de Libreville. «La transition démarre ce jour et les premiers avions aux couleurs nationales sont là, un Airbus A320 renforcera très bientôt la flotte pour les destinations moyen courrier », a indiqué le Directeur général de Fly Gabon, Nyl Charles MORET-MBA.
La compagnie qui nourrit de réelles ambitions, prévoit d’assurer 90% des liaisons aériennes domestiques. Et mieux encore, de déployer ses ailes au-delà des frontières nationales, avec comme première destination internationale Johannesburg, en Afrique du Sud. Dans l’attente, conscient des difficultés financières des usagers à emprunter le transport aérien, le directeur général a annoncé l’application d’une nouvelle politique tarifaire, pour les familles, étudiants et personnes âgées, indique « Direct info Gabon« . Soient
- 10% de réduction sur les allers-retours pour les familles d’au moins 5 personnes (2 adultes et 3 enfants), avec une remise supplémentaire de 20% pour les enfants.
- Étudiants et lycéens : 15% de remise sur les billets aller-retour
- Seniors : 20% de réduction sur les billets aller-retour. FlyGabon propose également des tarifs promotionnels pour ses liaisons intérieures (aller simple), avec des prix attractifs pour Port-Gentil (70 800 FCFA TTC), Oyem (79 800 FCFA TTC) et Franceville (97 800 FCFA TTC).
Economie
Gabon /“1 jeune, 1 taxi”: BGFI et microfinances , des alternatives pour constituer la caution?
L’exigence de la caution, fixée à 1,100 million de Fcfa, pour l’acquisition d’un taxi, dans le cadre du projet “un jeune, un taxi” n’a décidément pas fini de faire parler. Décourageant au passage des personnes ciblées par ce projet, actuellement dans l’incapacité de totaliser cette somme d’argent.
Mettant un point d’honneur à ce que les jeunes gabonais puissent profiter de cette occasion, offerte par le président de la Transition, Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, le ministre des Transports, a énuméré quelques pistes de solutions pour les futurs acquéreurs.
«Ce qu’on demande au chauffeur de déposer à l’entité (Taxi Gabon) qui gère, c’est à peine 20 000 Fcfa. Il ya des formules pour recouvrer la somme d’un million de Fcfa qui est demandée. Il y a des microfinances, la banque BGFI qui est prête à accompagner le gouvernement dans ses projets sociaux».
Le capitaine de vaisseau Loïc NDINGA MOUYOUMA renchérit en assurant que ses services pourraient échanger avec les établissements financiers choisis par les souscripteurs pour leur expliquer le processus de remboursement du crédit sollicité. Voilà qui pourrait ramener à de meilleurs sentiments les jeunes, au chômage, qui ne voyaient en ce projet, qu’un effet cosmétique.