Société/Environnement
Le départ de Maelle MANOMBA endeuille la presse gabonaise
Maëlle MANOMBA, journaliste- reporter à NOUR TV et Radio, est décédée vendredi 31 mars 2023. Un décès brutal qui, au-delà de sa famille biologique, a secoué toute la corporation. Personne ne s’attendait au départ aussi précipité de cette jeune femme si chaleureuse et travailleuse acharnée. Maëlle MANOMBA était quelqu’un de très attachant, un petit bout de femme à la personnalité bien trempée.
Membre de l’Union des Femmes Reporters Sportives du Gabon, elle a également beaucoup œuvré dans d’autres structures associatives. Dans la presse locale, les témoignages pleuvent. Sa famille a fait le choix de faire les choses très rapidement et dans la sobriété. À l’image de l’illustre disparue, personne simple de caractère. Ainsi, la sortie du corps suivie de la veillée mortuaire ont eues lieu vendredi 07 avril 2023 à Gabosep; soit une semaine après le décès. L’inhumation au cimetière familial samedi 08 avril, se fera dans la même sobriété.
Si les programmes de plusieurs n’ont, hélas, pas permis à toute la presse d’être à la sortie du corps à Gabosep, tel que souhaité par tous, nombre de confrères ont valablement représenté la corporation. Notamment, des membres de l’association des journalistes sportifs qui a publié un message de remerciement à ses membres pour l’élan de solidarité qu’ils ont manifesté à l’endroit de la famille éplorée.
«Nous étions ce soir à Gabosep, rendre un dernier hommage à notre sœur, notre nouvelle étoile dans le ciel. (…) Nous avons déposé la gerbe de fleur (…) C’était trop douloureux. Merci à ceux qui étaient là physiquement et à tous ceux qui nous ont accompagnés par l’esprit (…) L’Eternel a repris sa princesse , de la haut, elle retrouve Nina notre sœur. Adieu Maëlle, adieu petite sœur. Et que la terre te soit légère»
MEZ
Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.