Éducation
La fédération de Russie offre 55 bourses aux étudiants gabonais
C’est par le biais d’un communiqué datant du 7 mars 2023 que l’agence National de Bourse et Stage (ANBG), annoncé que la fédération de Russie offre aux étudiants gabonais, 55 au total, la possibilité d’avoir une bourse d’étude pour ledit pays pour l’année académique 2023-2024. Par soucis de concerner l’ensemble des élèves gabonais inscritts en classe de terminale, sur l’étendue du territoire national, le délai de clôture de dépôt de dossier initialement prévu pour le 20 février 2023 a été prolongé jusqu’au 20 mars 2023. Ainsi, rappelle l’ANBG, pour postuler, l’inscription se fait sur la plateforme www.éducation-in-Russie.com et concerne les élèves en classe de terminale. Les candidats devront fournir pour finaliser leur inscription, 1 photo d’identité en couleur; 1 copie de passeport en cours de validité d’au moins de 2 ans; 1 copie de relevé de note ou de bulletin de note du premier trimestre de l’année académique en cours; 1 demande de bourse et le consentement de traitement de données à caractère personnel.
Éducation
60 bourses de Setrag aux bacheliers gabonais: critères & filières
Cette initiative concerne les bacheliers de la session 2024 et les étudiants non boursiers de 2023, issus des lycées situés dans les localités traversées par le chemin de fer, notamment Owendo, Ndjolé, Boué, Lastourville et Franceville.
C’est dans un communiqué publié en novembre 2024 que l’Agence Nationale des Bourses du Gabon en abrégée (ANBG) a rendu public l’offre de la Société d’Exploitation du Transgabonais, (Setrag ) qui vise la formation de jeunes gabonais dans les domaines aussi variés qui sont : Électrotechnique, Électricité, Génie électrique, Maintenance industrielle, Mécanique industrielle, Électronique et informatique des systèmes industriels, Énergies renouvelables, Droit fiscal, Management des ressources humaines et Marketing digital.
Les postulants doivent être de nationalité gabonaise, être âgés de 24 ans au plus, et avoir obtenu leur baccalauréat au 1er tour, indique le communiqué de l’ANBG.
« Cet investissement, entièrement financé par la SETRAG, s’inscrit dans le programme de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) intitulé ‘Act fort Positive Mining’. L’objectif est d’accompagner soixante (60) jeunes dans des formations de deux (2) et trois (3) ans dans les domaines techniques et professionnels au Gabon », souligne le communiqué
Éducation
Gabon: la passerelle du Lycée national Léon-MBA désormais opérationnelle
Les ministres, de l’Education nationale, Camélia NTOUTOUME-LECLERC et celui des Travaux publics, le Général de Division, Flavien NZENGUI NZOUNDOU, ont procédé ce mercredi 6 octobre 2024 à la mise en service de la passerelle piétonne du Lycée national Léon-MBA, situé dans le premier arrondissement de la capitale. Cette dernière permettra aux élèves notamment et aux piétons de traverser en toute sécurité cette route de 2×2 voies considérée hautement accidentogène.
Après le lancement des travaux en 2021, prévus pour 12 mois, ka coupure symbolique du ruban, ce jour , a retenti comme un ouf de soulagement, d’autant plus que la livraison de l’ouvrage était attendue. Menés par l’entreprise « Ecowood », et construite entièrement à partir du bois issu de la riche forêt gabonaise, notamment le Padouk, l’Ozigo, le Movengui, le Tali et OKan, cette passerelle est longue de 48 mètres sur 2,28 mètres de large, avec un tirant d’air de 6,5 mètres, une hauteur totale de 13,5 mètres et un poids global du bois après assemblage de 44 tonnes.
Éducation
Gabon: imbroglio orchestré autour de la Co-gestion de l’ENS Libreville
Depuis ces deux derniers jours, nous avons été témoin de l’acharnement d’un certain média relayant les conclusions d’une réunion syndicale d’une autre ère. En effet, c’est en allant contre la loi 11/93 portant réorganisation de l’Ecole Normale Supérieure (ENS) de Libreville, le décret 651 sur les principes de fonctionnement de l’ENS et le décret 1076 qui modifie certaines dispositions du décret 651 cité plus haut, que certains syndicalistes indélicats du supérieur se sont amusés à bafouer, mieux à transgresser sous la coupe d’une manipulation opportuniste.
Rappelons-le, pour ceux qui en ignorent, les prérogatives et obligations sont réparties de la manière suivante:
– Le budget et les enseignants relèvent du ministère de l’Enseignement supérieur.
– Les élèves professeurs, les stagiaires, les filières et les profils quant à eux relèvent du ministère de l’Education Nationale.
C’est donc dans ce sens, que revient sans équivoque, la présidence du Conseil d’Administration de l’ENS au ministre en charge de l’Education Nationale. Ce qui implique de facto, une co-tutelle dans la gestion de cet établissement.
Nous sommes donc en même de se demander si les syndicalistes (SNEC-ENS) avaient connaissance des dispositions de la loi 11/93 où voulaient-ils juste réécrire l’histoire de cet établissement ? Ou, pourquoi pas, chercheraient-ils une visibilité durant cette période de Transition remplie de surprises ? Savent-ils qu’en matière d’administration, ce ne sont pas les syndicalistes qui peuvent décider au gré de leurs opinions, de leurs avantages, de la modification d’un décret ?
Disons-le clairement, si le ministère l’Education Nationale retire ses stagiaires ou si sa tutelle venait à se retirer du Conseil d’Administration, cette école perdrait son statut et formerait désormais des chômeurs, car c’est le ministère de l’Education Nationale qui est et demeure le ministère employeur.
Aussi, c’est grâce au ministère de l’Education Nationale que les élèves professeurs ont un statut particulier et tous les avantages qui en découlent, c’est-à -dire, le recrutement, la réservation des postes budgétaires et le déploiement dans les lycées et collèges durant et après les stages…
Éclairons votre lanterne chers syndicalistes: L’ENS n’est pas un établissement de l’enseignement supérieur. C’est un établissement public chargé de la formation professionnelle et du perfectionnement des candidats aux métiers de l’enseignement. Voilà le réel statut de l’Ecole Normale Supérieure (ENS).
Le Gabon étant une maison de verres, il nous revient que ces quelques syndicalistes égarés faisant preuve d’un excès de zèle surdimensionné et de chantage seraient passés à la caisse pour une coquette somme d’un million (1.000.000 Fcfa) afin de mettre à mal le Ministère de l’Education Nationale fer de lance de la Transition.
Certains postes pour les figures de proues du SNEC-ENS leurs auraient été proposés pour orchestrer cette machination digne d’une conspiration de bas niveau pour leur sale besogne. Il s’agit du poste du Secrétariat Général de l’ENS, de la Direction des études, le poste de Chef de département de langues, lettres et Arts…
À bien réfléchir et dans le respect des textes, cette mesquinerie n’aura pas droit de cité durant la transition, car les vaillants syndicalistes du SEENA, du FEN, du SYNETEC PRO, du SENA, du SPEAT, du GRALSEN , du SYNAPEN, d’OSMOGEN, mieux de la CONASYSED, se lèveront comme un seul homme pour faire barrage à cette imposture et tentative de déstabilisation de notre belle transition.
Nous vous le rappelons pour une énième fois, le Ministère de l’Education Nationale géré de mains de maître par Madame Camélia NTOUTOUME LECLERCQ, ne saurait être votre base arrière pour assouvir vos ambitions égoïstes, égocentriques, nombrilistes, individualistes et intéressés.
Nous y reviendrons.