Tribune
Partenariat Airtel Africa- UNICEF: pour connecter les futurs leaders africains à l’éducation numérique
Si l’initiative d’Airtel Africa en partenariat avec Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), pour réduire la fracture numérique dans les pays où l’opérateur est installé en Afrique n’est plus à présenter, pour Emeka OPARAH, vice-Président de la Communication institutionnelle et de la RSE de l’entreprise, c’est un honneur et un privilège de servir cette noble cause. Laquelle devra permettre de connecter un minimum de 1400 écoles et un million d’enfants à l’éducation numérique. Ci-dessous dans son intégralité son propos empreint d’une grande fierté à participer à l’éducation de ceux qu’il nomme les futurs leaders africains.
«Cela fait déjà un an que j’ai pris mes fonctions de vice-président de la communication institutionnelle et de la RSE chez Airtel Africa, une organisation que j’ai servie pendant 21 ans (dont 20 au Nigeria). Bien qu’il ne s’agisse ni d’une évaluation de mon travail (ce serait gratuit pour moi de le faire) ni d’une célébration de l’anniversaire (un passe-temps que je n’apprécie pas), ces derniers jours à Nairobi, au Kenya, où j’ai assisté à la convention Airtel Africa-UNICEF, m’ont fourni une excellente occasion et, en fait, l’inspiration, pour réfléchir au travail que mes collègues et moi avons accompli en partenariat avec nos amis de l’UNICEF depuis 2022 pour permettre aux enfants d’Afrique, nos futurs dirigeants, d’accéder à l’éducation numérique.
Permettez-moi de commencer sur une note plutôt sombre en reconnaissant avec regret que l’Afrique est actuellement assise de manière précaire au bord d’une falaise abrupte et glissante en ce qui concerne l’éducation de sa population d’enfants et de jeunes en croissance rapide. Le niveau de «pauvreté éducative» (l’incapacité de lire et de comprendre un texte simple à l’âge de 10 ans) sur le continent est aussi inquiétant que les statistiques sur les enfants non scolarisés, les deux pointant obstinément vers le sud. Cette mauvaise situation a malheureusement été aggravée par l’impact terrifiant de la pandémie de Covid-19, qui a entraîné des confinements et des fermetures d’écoles. Pour mettre ces affirmations désolantes dans une perspective beaucoup plus claire (ou plutôt plus sombre), une étude de la Banque mondiale de 2019 avait tristement estimé que «48 % des enfants dans le monde et 87 % des enfants en Afrique subsaharienne sont « pauvres en apprentissage». Il ne pourrait y avoir de menace plus insidieuse pour l’avenir du continent que lorsque plus de 70 % de la population est défavorisée sur le plan éducatif et, par conséquent, économiquement vulnérable.
Je n’ai pas besoin de m’étendre ici sur les avantages de l’éducation, car il est déjà bien connu que c’est peut-être le facteur le plus important pour rendre les gens aptes à devenir des membres d’une société régulièrement organisée. Encore une fois, il est bien connu que l’éducation est un facteur de nivellement ; elle aide à combler le fossé entre les riches et les pauvres ainsi qu’à faciliter le démantèlement des plafonds de verre connus. Malheureusement, l’éducation rend aussi un homme (ou une femme) bienveillant meilleur, et rend un homme (ou une femme) malveillant pire, comme nous l’avons vu dans plusieurs cas où des personnes autrement bien éduquées ont utilisé leurs connaissances pour faire le mal. Cela dit, l’éducation, en fin de compte, offre plus d’avantages que d’inconvénients. L’ignorance et l’analphabétisme ne sont pas des alternatives.
Ironiquement, il faut reconnaître que le Covid-19, avec toutes ses conséquences délétères et périlleuses, a également ouvert les yeux aux Africains et à leurs dirigeants non seulement sur le pouvoir de l’éducation, mais aussi sur l’importance et l’urgence de mettre en œuvre des plans d’apprentissage numérique dans leurs différents pays. Il faut reconnaître que tous les gouvernements africains ont mis en place des stratégies, avec toutes leurs imperfections, pour connecter leurs enfants, leurs enseignants et leurs écoles à diverses plateformes numériques afin de promouvoir et d’améliorer l’enseignement et l’apprentissage. C’est là que des entreprises technologiques consciencieuses comme Airtel Africa se sont avancées en tant que facilitatrices pour fournir le soutien nécessaire et indispensable.
Comme d’autres entreprises socialement responsables, Airtel Africa, par le biais de ses opérations dans 14 pays africains, a joint ses efforts à ceux des dirigeants africains pour combler le fossé béant de l’apprentissage occasionné par les fermetures d’écoles dues aux confinements du Covid-19. Pour sa part, Airtel Africa a détaxé plusieurs sites web approuvés par des gouvernements et des plates-formes d’apprentissage numérique afin de faciliter l’enseignement et l’apprentissage. Cette mesure s’est avérée être un excellent palliatif, mais comme tout palliatif connu, elle n’a pas répondu de manière adéquate aux besoins. Par exemple, des millions d’enfants, en raison de leur situation inévitable de pauvreté et de leur lieu de résidence, n’avaient pas les moyens de se procurer les appareils nécessaires pour accéder aux ressources éducatives en ligne gratuites, lorsqu’elles existaient. Dans d’autres cas, il était impossible d’accéder aux sites web et aux plates-formes en raison du manque d’installations Internet, car la plupart des régions du continent ont encore une faible télédensité (nombre d’utilisateurs de téléphones mobiles pour 1 000 habitants).
Consciente de ces énormes et dangereuses lacunes et du potentiel de la connectivité numérique, Airtel Africa, dans la poursuite de sa vision Transform the Lives of Africans (Transformer la vie des Africains), a décidé d’investir 57 millions de dollars dans la fourniture d’un accès à une éducation de qualité, qui est ensuite devenu l’un des piliers de sa stratégie de durabilité. Au plus fort de la pandémie de Covid-19, Airtel Africa a annoncé un partenariat de cinq ans avec le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) pour mettre en œuvre cette initiative qui, dans l’esprit et la lettre, vise à connecter un minimum de 1400 écoles et un million d’enfants à l’éducation numérique.
À mon avis, il ne pouvait y avoir de meilleur partenariat que celui-ci, avec deux institutions passionnées et très investies dans l’avenir de l’enfant africain. Personnellement, ce fut un honneur et un privilège de diriger l’équipe d’Airtel Africa qui a co-créé et co-délivré les plans et les activités dans la poursuite de cette noble cause. Au moment où j’écris ces lignes, trois pays, à savoir le Kenya, le Nigeria et Madagascar (dans cet ordre) ont lancé l’initiative. Dix autres pays, le Tchad, le Niger, la RDC, le Congo Brazzaville, le Gabon, le Malawi, la Tanzanie, la Zambie, l’Ouganda et le Rwanda, lanceront l’initiative avant le 31 mars 2023, toutes choses égales par ailleurs.
Par lancement, nous entendons connecter les écoles publiques sélectionnées, en particulier celles situées dans des communautés éloignées, à l’internet en utilisant l’internet haut débit d’Airtel et en fournissant des appareils numériques tels que des tablettes, des ordinateurs portables, des ordinateurs de bureau ou des téléviseurs. Il s’agit également d’accorder l’accès, gratuitement, à certains sites web éducatifs et plateformes d’apprentissage approuvés par les gouvernements aux enseignants et aux enfants, non seulement des écoles sélectionnées mais aussi de l’ensemble des communautés. Au Kenya, par exemple, 30 écoles ont été connectées et l’accès libre a été donné à deux plateformes, à savoir Elimika (pour les enseignants) et Kenya Education Cloud (pour les élèves), avec plus de 600 enseignants et 20 000 élèves utilisant déjà les ressources.
Comme on pouvait s’y attendre, tout ne s’est pas déroulé sans heurts. Il y a encore quelques obstacles sur le chemin. Par exemple, le niveau d’engagement et de compréhension de l’importance et de l’urgence de cette intervention n’est pas le même sur tout le continent. Ainsi, certains gouvernements insistent encore pour qu’Airtel Africa ou l’UNICEF, ou les deux, paient des taxes pour fournir des données gratuites afin de permettre aux enfants de leur pays non seulement de continuer à apprendre, mais aussi de rattraper leurs pairs dans d’autres parties du monde. Quoi qu’il en soit, ce n’est pas une cause perdue, je crois, car à force de progrès dans certains pays, d’autres commenceront à comprendre la nécessité de battre le fer pendant qu’il est encore chacun.
Il est intéressant de noter que le troisième pilier de cette initiative (le premier étant la connexion des écoles et le second la détaxation des sites web) consiste à s’engager dans des actions de plaidoyer en faveur de l’accès à l’éducation numérique. Ainsi, entre Airtel Africa et l’UNICEF, nous continuerons à impliquer les différents gouvernements et les autorités éducatives pour leur faire prendre conscience de l’énormité du défi, de l’urgence des solutions et de l’importance de s’associer avec nous pour donner du pouvoir aux futurs leaders de l’Afrique. Bien entendu, il va sans dire que nos bras sont grands ouverts et tendus pour accueillir des partenaires, qui sont également passionnés et investis dans cette quête comme nous le sommes. Plus l’écosystème est grand, mieux c’est !
Je pense également qu’il y a beaucoup à dire sur l’état des infrastructures éducatives sur le continent africain. Dans de nombreux pays, les écoles publiques sont soit littéralement inexistantes, soit totalement décrépites. Certains enfants parcourent encore plus de 10 kilomètres pour aller à l’école, tandis que d’autres étudient à l’ombre des arbres. Parfois, on se demande comment une école sans bureaux ni chaises, ni même tableaux noirs, pourrait se prêter à la numérisation. C’est là que les mots du PDG du Groupe et directeur général d’Airtel Africa, le Dr Segun Ogunsanya, résonnent en nous, les défenseurs et les champions de ce mouvement. Selon lui, « nous devons penser à de nouvelles façons d’apprendre au-delà de la construction des quatre murs d’une salle de classe ». C’est l’avenir. C’est la voie à suivre. Airtel Africa et l’UNICEF sont irréfutablement engagés à réimaginer l’éducation pour répondre aux réalités de l’Afrique post-Covid-19 et même du 21e siècle. C’est en substance, mon cher ami, le sens de toute cette histoire. Merci.
À la fin des deux jours de la Convention Airtel Africa-UNICEF, après avoir examiné ce que nous avons fait, ce qu’il nous reste à faire, ainsi que les défis et les leçons, nous partons rassurés que nous faisons la bonne chose – au bon moment. Les quatre prochaines années mettront nos capacités à l’épreuve, mais nous retournerons tous dans nos différents pays ou OPCO (comme nous le disons dans le jargon d’Airtel) en nous sentant privilégiés de faire partie d’un objectif aussi noble, voire d’un mandat sacré, qui consiste à donner aux futurs dirigeants africains les moyens d’agir.
Emeka OPARAH, vice-Président de la Communication institutionnelle et de la RSE, Airtel Africa Plc»
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Un chantage qui tourne mal
«Une fois de plus la pseudo « immunité » portée par des activistes pousse certains d’entre eux à faire preuve d’un excès de zèle visant à mettre en mal l’image et la cohésion de la Transition presque réussie par le CTRI.
Récemment, dans une vidéo qui est devenue virale sur les réseaux, le dénommé BUNZ PING, activiste de seconde zone qui ne doit sa survie qu’à la magnanimité du Président de la Transition, n’hésite pas, quand l’occasion se présente, de ternir l’image de ce dernier pour ses intérêts personnels à travers des actes compromettants.
C’est ainsi qu’animé d’un esprit calculateur et machiavélique, le pseudo « activiste de seconde zone » s’est donné un malin plaisir à user de chantage auprès des hautes personnalités de la république sous prétexte qu’il serait le « bon petit du président de la transition » et de ce fait, ne peut donc rien craindre.
L’histoire remonte lors de la tournée républicaine du président de la transition à l’intérieur du pays. Selon des sources concordantes, ce dernier n’a pas hésité durant l’étape de Makokou de manquer d’humanité envers madame la Ministre de l’Education nationale Camélia NTOUTOUME LECLERCQ, qui, faisant face à des problèmes de sonorisation pour l’éveil Patriotique avec les enfants des lycées et collèges de la place, avait sollicité l’utilisation du matériel dédié à cet événement. Le sulfureux activiste n’est pas allé par quatre chemins pour exiger une bagatelle somme de 2 Millions de FCFA pour céder le matériel dont il n’était nullement le propriétaire. Car rappelons-le, celui-ci avait été loué par la Présidence de la République pour cette étape.
Ne voulant pas céder à un tel chantage, Camélia NTOUTOUME LECLERCQ répondit par un NON catégorique…
Comme si cela ne suffisait pas, à l’étape de Koulamoutou, il a utilisé le matériel de l’Éducation Nationale occasionnant une casse d’un montant d’un million de Fca. nous étions passés au bord de l’échec, affirme un des organisateurs de l’événement. C’est la sono de l’ Éducation Nationale qui nous a sauvé.
Pour le bouquet final, « l’activiste sulfureux » atteindra le point culminant de son chantage lorsqu’il apprendra que pour la lutte contre les violences en milieu scolaire, c’est son ami de longue date Franck BAPONGA qui a été retenu pour un projet artistique.
Comme à son habitude, BUNZ PING de son nom d’artiste va sommer Madame Camélia NTOUNTOUME LECLERCQ d’arrêter immédiatement cette collaboration avec Franck BAPONGA car selon lui, il serait la personne ressource qui devrait gérer les artistes durant l’élection référendaire. Ne voulant pas recevoir d’injonctions de ce lugubre personnage, Madame la Ministre l’aurait complètement ignoré. Elle dira clairement à ce dernier qu’elle est libre de travailler avec tous les artistes gabonais et d’où qu’ils viennent.
Furieux, « l’activiste » va promettre le feu et la fin du règne politique à Madame la Ministre dans le komo-Mondah en lui promettant qu’elle vivra ce que son ministre de la Culture aurait vécu en voulant s’opposer à sa vision.
C’est d’ailleurs à juste titre qu’il dit à qui veut l’entendre qu’il serait le futur Ministre de la Culture au prochain remaniement.
Ce récit soulève donc des interrogations pertinentes que nous ne pouvons point ignorer :
Les menaces de cet activiste maître chanteur seraient-elles mises en exécution avec son irruption au Collège Raymond BOUCKAT de Mindoubé via sa vidéo?
Parfait MOUBAMBA confondrait-il son rôle de Conseiller du ministre de la Culture et ami du Président à celui de pseudo activiste ?
Comment comprendre qu’un Conseiller d’un ministre de la République s’illustre en maître chanteur ?
Cet état d’esprit ne constitue-t-il pas un frein à la vision politique du Président en cette ère de Transition ?
Camélia NTOUTOUME LECLERCQ ne subit-elle pas les conséquences de son professionnalisme et de son refus de céder au chantage ?
Nous voulons rappeler à Parfait MOUBAMBA qu’il est tombé sur un « os dur » et qu’il n’a pas encore assez de dents pour le casser, que la jeunesse du Komo-Mondah va le pourchasser partout où il sera et où qu’il aille.
Nous n’accepterons aucune tentative de déstabilisation de ce beau pays d’où qu’elle vienne.
Les mânes et les eaux de nos ancêtres nous protègent…
Nous y reviendrons !!!!»
« La Jeunesse Montante du KOMO-MONDAH«
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Gabon /École normale supérieure: entre diversion & manipulation
Ce mardi, nous avons été surpris de tomber sur un message à caractère haineux, dépourvu de toute intelligence, véhiculé par un syndicaliste du SNEC-ENS dénigrant le caractère sacerdotale des enseignants des lycées et collèges: « je suis enseignant-chercheur et non un enseignant des lycées et collèges » dixit Pr. Hilaire NZANG NYINGONE.
À bien des égards, nous sommes tentés de nous poser un certain nombre de questions sur le caractère belliqueux d’une telle déliquescence frisant un dérapage verbal d’un petit lycéen de Moabi.
Loin de nous l’idée de vouloir rétrograder nos fameux universitaires, mais nous sommes quand même tentés de reconnaître les limites d’un système universitaire en perdition, ce qui dans l’histoire du classement des meilleures Universités d’Afrique renvoie toujours le Gabon loin du classement général. Comment peut-on bomber le torse publiquement en clamant haut et fort qu’on n’est Enseignant-chercheur alors qu’au demeurant aucune université Gabonaise n’apparaît dans le classement des 100 meilleures universités Africaines ?
Ces fameux enseignants chercheurs ont-ils déjà présenté le fruit de leurs recherches ?
À bien y penser, et à scruter leurs actes et actions en milieu universitaire, ces derniers ont accepté d’être des Factotums d’une main noire qui embrigade le ministère de l’Enseignement supérieur.
Comment des enseignants d’un tel niveau peuvent-ils perdre la tête et refuser l’évidence ?
Pour votre gouverne, très chers universitaires, malheureusement nous ne le ferons pas en langue bantou pour que vous compreniez que sans l’Éducation nationale, l’Ecole Normale supérieure n’existerait pas. Cet établissement n’aura pas le statut particulier actuel. L’histoire est têtue, mais nous sommes obligés de la consulter.
Comme le dit Zig ZIGLAR : « La répétition est la mère de l’apprentissage, le père de l’action, ce qui en fait l’architecte de l’accomplissement. »
C’est dans ce sens que la loi 11/93 portant réorganisation de l’Ecole Normale Supérieure de Libreville, le décret 651 sur les principes de fonctionnement de l’ENS et le décret 1076 qui modifie certaines dispositions du décret 651 cité plus haut, qui régissent le fonctionnement de l’ENS dont aucune personne n’est à même de piétiner ou de bafouer.
Ainsi :
• Le budget et les enseignants relèvent du ministère de l’Enseignement supérieur.
• Les élèves professeurs, les stagiaires, les filières et les profils quant à eux relèvent du ministère de l’Education nationale.
Maintenant au lieu de débattre sur les aspects pratiques de ces dispositions, un groupuscule d’enseignants membres du SNEC se lance dans un verbiage outrancier et injustifié sur les enseignants des lycées et collèges. Nous sommes donc à même de nous demander si ce dernier mérite le titre de « Professeur » qui semble trop peser sur ses épaules.
À toute fins utiles, pour les uns et les autres, l’Ecole normale supérieure ne sera pas un abri des frustrés de l’Enseignement supérieur mais un établissement qui forme des enseignants du secondaire et les métiers de l’éducation associés.
Les Enseignants-chercheurs désirant faire carrière dans la recherche n’ont pas de place dans cette école . C’est l’opportunité de lancer un appel au ministère de l’Éducation afin de rendre effectif leur appel d’offres sur les futurs enseignants de cette école . Car le moment de la prise en main véritable est arrivé. Il faut désormais sortir de l’inadéquation qui existe entre les enseignements à l’École normale supérieure et la pratique du terrain par les enseignants professeurs.
Nous exhortons le ministre de l’Éducation nationale à réorganiser les enseignements dans cet établissement et aussi de faire preuve de fermeté en suspendant à titre conservatoire le Directeur général de cette école afin de ramener le calme dans ce berceau de l’excellence de notre pays.
“ La Jeunesse montante du Komo-Mondah”
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Gabon: l’éducation nationale base arrière des ennemis de la Transition ?
L’école est un milieu apolitique dédié à la formation et à l’apprentissage. Néanmoins, certains éducateurs passent outre cette norme, pour leurs désirs inavoués ce qui constitue un danger pour la société. Depuis quelque temps, nous assistons à une montée en puissance des antagonistes, mieux, de ceux qui se constituent comme étant des détracteurs du ministère de l’Education nationale qui se voit être pour eux le parfait bouc émissaire…
Nul n’est sans ignorer que quelques semaines auparavant, la ministre Camélia NTOUTOUME LECLERCQ a mené des campagnes de sensibilisation à n’en point finir pour lutter contre cette vague de violence scolaire qui s’est déclenchée.
De plus, la toile est enflammée ces derniers temps par des publications de certains médias en ligne à la solde des ennemis du CTRI qui reprocheraient au ministre sa forte présence sur le terrain politique dans sa commune. Prétextant ainsi une négligence de son ministère. Sans aucun lien, dépourvu de pertinence et faisant état d’un non-sens digne d’un parfait hors sujet en la matière, à ces derniers, nous disons siche…!
Comment peut-on reprocher à une femme d’action, à une femme engagée politiquement, à une femme mobilisatrice des énergies, d’être en osmose avec sa base au moment où le CTRI demande à ses ministres de ne ménager aucun effort pour que le peuple soit en phase avec l’exécutif ? Ne pas voir les choses dans ce sens renverrait à une myopie intellectuelle basée sur une critique stérile suscitée par la haine et le désamour envers le CTRI.
Tout fraîchement sortie de la vague des violences scolaires maîtrisée par une sensibilisation accrue, voilà que cette fameuse “main noire”, ennemi du CTRI, n’ayant pas trouvé gain de cause auprès des représentants des syndicats de l’Éducation nationale, utilise désormais des voies non-autorisées via certains groupuscules d’enseignants parsemés dans des lycées et collèges de la capitale, pour déstabiliser l’Éducation nationale à la veille du référendum.
Rappelons que dans nos anciennes publications, nous parlions d’un groupe de compatriotes ennemis de la transition qui se préparaient à se servir du ministère de l’Éducation nationale pour déstabiliser le pays. Ils ont commencé !!!!. Nul besoin de rappeler que le paiement des vacations n’a jamais été considéré comme un point culminant de revendication. Mieux, pour rentrer en grève car elles sont en cours de paiement. Et cela relève du ministère des Comptes publics, et ce, en fonction des possibilités.
Il est donc impérieux de rappeler aux enseignants leur sens patriotique. Étant des hommes éclairés, ils ne devraient point céder à une quelconque manipulation pour assouvir les desseins inavoués de certains hommes politiques sans base véritable, avides de pouvoir et en manque d’inspiration et de visibilité.
Nous pensons à la veille du référendum que les enseignants encore moins les élèves ne sauraient être utilisés comme levier déstabilisateur de l’action de Madame la Ministre Camélia NTOUTOUME LECLERCQ.
Soyez donc rassurés, le ministère de l’Éducation nationale à l’ère de la Transition, ne vous servira jamais de basse arrière pour assouvir vos ambitions.
« Jeunesse montante du Komo-Mondah«
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