Société/Environnement
Réouverture du RU de l’UOB: les étudiants se réjouissent d’avoir le “ventre plein” pour 500 Fcfa
Fermé durant plusieurs années, pour cause de travaux, le restaurant de l’Université Omar BONGO (UOB) de Libreville a rouvert ses portes, au grand bonheur des étudiants qui n’ont pas caché leur satisfaction. «Le sentiment qui nous anime aujourd’hui, c’est le plaisir de pouvoir se retrouver, manger et suivre les cours dans des conditions plus harmonieuses, avec un ventre plein», a déclaré Karl LEPEGUE, l’un des étudiants, au micro de nos confrères de “TV+Afrique”. Le ministre de l’Enseignement Supérieur, accompagné des membres de son cabinet, a effectué une visite des lieux. «Nous avons fait beaucoup d’efforts avec le Directeur Général du Centre national des œuvres universitaires (CNOU) pour rendre, en très peu de temps, les cuisines opérationnelles dans un contexte particulier», a souligné Patrick MOUGIAMA – DAOUDA. Le membre du Gouvernement de la République a poursuivi en soulignant que le coût réel des plats est de 3 900 francs CFA mais il n’est demandé aux apprenants que la modique somme de 500 francs CFA, ce qui signifie que l’Etat supporte 3.400 francs CFA afin qu’un étudiant puisse manger en toute quiétude. Il est opportun de souligner que le jour de la réouverture du restaurant universitaire, les repas furent servis gratuitement. Gageons, pour le bien des étudiants, que ce cadre ne subira pas, de sitôt, des circonstances qui l’obligeraient à fermer de nouveau pour une période indéterminée.
Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.