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Justice

Opération scorpion: selon Brice NDONG, “la justice doit être plus impitoyable face au gabonais qui pille son pays”

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Le journaliste citoyen Brice NDONG, a, dans une publication par lui faite sur les réseaux sociaux, donné son point de vue du déroulé du “Procès/Opération Scorpion”. D’entrée, le confrère assène «Qu’on soit GABONAIS ou ÉTRANGER, un Voleur reste un Voleur! Mais la justice doit être plus impitoyable face au Gabonais qui pille son propre pays». Le journaliste illustre son propos, en évoquant le cas Renaud ALLOGHO AKOUE, ex directeur général de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS), qui a comparu ce 03 août 2022 devant les juges de la Cour criminelle smpéciale dans le cadre du procès en cours contre les présumés auteurs des malversations financières pris par l’opération « Scorpion ».

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Selon Brice NDONG, «le procès de l’ex DG de la CNAMGS, s’annonce donc spectaculaire et très attendu car, c’est lui , ALLOGHO AKOUE qui était à la tête de cette institution de l’État chargée de garantir la couverture maladie à l’ensemble de la population gabonaise et d’assurer le service des prestations familiales du gabonais économiquement faibles (GEF).
Dans ces conditions, quand on vous accuse d’avoir détourné l’argent de l’hôpital des gens et de l’école de leurs enfants, c’est très grave…».

Selon le confrère, «du point de vue de la symbolique et au regard du caractère pénal des faits d’accusation, on peut comprendre que le procès d’ALLOGHO AKOUE, plus que ses co-accusés, suscite autant de passion d’attentes». Pour autant, il refuse d’accorder des circonstances atténuantes à Brice LACCRUCHE ALIHANGA (BLA) et ses co-accusés, estimant que le châtiment doit être proportionnel à la gravité des crimes commis.

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«Il y a une grande polémique là-dessus. Alors, certains nous chargent mentalement pour qu’on leur trouve des circonstances atténuantes arguant que ce sont des Gabonais qui ont volé l’argent de chez eux… D’autres nous rappellent le viel adage qui dit qu’une faute avouée est à moitié pardonnée. Mais , entre nous soyons un peu sérieux. c’est quoi ça? Il ne faut pas dire ça. A cette allure on ne jugera personne. Sachez que la loi ne range pas d’un côté les bon voleurs et de l’autre les mauvais. Qu’on soit GABONAIS ou ÉTRANGER un Voleur reste un Voleur et il doit être puni avec toute la rigueur de la loi».

Et Brice NDONG de charger à la gouverne des défenseurs de BLA et ses affidés : «Est-ce vous savez combien d’écoles et d’hôpitaux on pouvait construire avec l’argent que les BLA BOYS ont dilapidé ? Les déclarations de Christian Patrichi TANASA, ex DG de la GOC devant les juges ont failli nous couper le souffle. Moi , je serais plus clément envers un Étranger qui détourne notre argent public qu’un Gabonais . Pourquoi ? Quand un étranger vient au Gabon, c’est pour chercher de l’argent. Ce n’est pas parce qu’il nous aime. S’il se trouve dans une position où il peut gagner facilement ce Blé, il va se servir, autant que faire se peut pour aller investir chez lui… C’est ce que les bah DOSSOU, SOSSA Clément, Maixent ACCROMBESSI, Liban SOLEMAN,etc nous ont fait. Quand , je parle de clémence envers un voleur expatrié, c’est une manière de reconnaître la faiblesse de notre État».

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Une partie de l’opinion pense que les procès en cours sont des mises en scène. Réponse de Brice NDONG : «J’ai entendu les gens dire que notre justice fait dans la mise en scène. Soit, prenons même l’hypothèse par l’absurde que ces magistrats soient aux ordres. Mais qui oblige les accusés de faire des aveux â la barre ? Quand on est innocent, on le clame jusqu’au bout croix de fer , croix de bois. Christian Patrichi TANASSA et Ike NGOUONI avouent eux-mêmes qu’ils ont distrait des Milliards de FCFA qui étaient sous leur responsabilité. Que voulez-vous qu’on fasse des types comme ça? Est-ce que ce sont les juges qui leur ont dit dire ça à la barre? Ils ont pris l’argent public ou pas ? La réponse est oui. À partir de cet instant, la justice doit être impitoyable vis-à-vis des nationaux qui détournent la fortune publique car , c’est notre argent à tous».

Et le journaliste « citoyen » de conclure : « Toutefois, nous devons tous retenir que ces gars de BLA sont jugés dans le cadre de l’opération Scorpion anti corruption lancée par le Président de la République Ali Bongo Odimba et soutenue par les bailleurs de fonds internationaux .C’est une opération que nous devons soutenir tant qu’elle reste impartiale. Quand on livre notre pays à un pillage à ciel ouvert à travers le pays ,on va aller où ? Est-ce nous avons un autre pays de rechange.C’est beaucoup plus criminel quand ce sont les gabonais eux-mêmes qui détruisent leur propre pays en instaurant un Etat mafieux. Voilà pourquoi nous devons tous encourager notre justice à poursuivre avec courage et détermination cette mission de salubrité publique ».

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Justice

1 509 milliards Fcfa: le prix minimal de la libération de Sylvia et Noureddin BONGO?

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Hors des frontières du Gabon, la libération de l’ex-première dame gabonaise, Sylvia BONGO VALENTIN et son fils Noureddin BONGO VALENTIN revient souvent. En effet,  à l’occasion de ses déplacements en pays africains, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, aurait été plusieurs fois interrogé sur le du clan BONGO, par ses homologues.

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En réponse, le Président de la Transition au Gabon aurait laissé entendre que leur libération aurait un prix. Et au regard des actifs de l’ex-famille présidentielle, qui avoisinerait, suivant des estimations, la somme de 5 milliards de dollars (3 018 milliard de Fcfa), le leader de la Transition gabonaise aurait consenti à laisser la porte ouverte à la libération.

À la seule condition que l’État gabonais récupère au moins la moitié desdits actifs, soit 2,5 milliards de dollars (1 509 milliards de Fcfa), selon le magazine “Afrique intelligence”. 

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Justice

Exfiltration présumée de Sylvia & Noureddine BONGO de “Sans-famille”: la présidence va-t-elle démentir ou poursuivre Jeune Afrique ?

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Dans son article intitulé «Sylvia et Noureddine BONGO transférés de la prison centrale de Libreville vers un «lieu tenu secret», paru le 10 janvier 2024, le média panafricain “Jeune Afrique” a livré une information qui a réveillé les inquiétudes des gabonais.

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Reprise sur les réseaux sociaux, et diffusée telle une traînée de poudre, l’information qui aurait été un casse-tête pour le Comité de transition pour la restauration des institutions (CTRI) aurait été démentie par une source autorisée du palais présidentiel, qui s’est confiée à nos confrères de Gabon média Time (GMT). «C’est faux»! Aurait-elle dit sans plus d’explications. Une affirmation peu suffisante au regard de la gravité de l’information.

La présidence par la voix de son porte-parole ou le CTRI tiendra t-il un communiqué 0040, pour apporter un démenti formel à cette publication ? Ou engagera-t-elle des poursuites contre le magazine, pour avoir diffusé une information visiblement pas vérifiée et qui aurait pu entamer la confiance des gabonais en leur nouvelles autorités ? Peut-on attendre une réaction du gouvernement, par le canal de son porte-parole, Laurence NDONG et pourquoi pas une déclaration du procureur de la République ?

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Alors que sur la toile, on évoque une libération datant de 2 semaines, il est désormais plus qu’une nécessité pour les autorités d’apporter la preuve à ce démenti. Laquelle ne saurait être moins qu’une vidéo dévoilant les détenus à la prison centrale. D’autant que le Président de la transition, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA avait promis aux gabonais une justice pour tous. L’on redoute désormais que la mère et le fils se soient faits la malle à l’instar de l’ex-ministre Lee WHITE, annoncée également par Jeune Afrique, le 13 octobre 2023.

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Justice

Gabon: Raymond OBAME SIMA, élu bâtonnier, haut la main

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Contesté lors de l’élection de janvier 2023, Maître Raymond OBAME SIMA a été confirmé comme bâtonnier, au terme de l’élection qui s’est tenue ce 27 décembre 2023. Opposé à Jules OBIANG et maître MEVIANE qui s’est désisté à la dernière minute, l’élu, a cumulé en sa faveur 92 voix sur les 104 participants à l’élection, contre 8 pour son challenger.

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La confirmation du résultat de ce vote vient confirmer  l’ambition des hommes et femmes de ce secteur, d’enrayer les malentendus qui minent leurs activités et de prendre part à son essor. À ce titre a exprimé sa satisfaction, «je suis satisfait du vote, bien plus, de l’engouement entourant ce scrutin. C’est le métier qui en ressort grandi, confirmant surtout l’élection de janvier dernier».

Par ailleurs, a-t-il d’ores et déjà annoncé, des réformes sont en gestation, parmi lesquelles, la mise en place de concours d’accès au métier  d’avocat au même titre que les magistrats. Voilà qui devrait mettre terme à la crise qui mettaient les hommes en toges, en désaccord. 

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