Se connecter avec nous

Justice

Opération scorpion/CNAMGS: le « surdoué » Renaud ALLOGHO AKOUE marionnettisé par le grand BLA(nc)

Publié

sur

C‘est d’un revirement inattendu que les révélations de l’ex directeur général de la Caisse nationale d’assurance maladie et de la garantie sociale (CNAMGS), Renaud ALLOGHO AKOUE ont surpris l’opinion. Alors que l’on pouvait s’attendre à ce qu’il cite à son tour la famille présidentielle comme commanditaire et bénéficiaire des malversations financières qui lui sont reprochées, il n’en a rien fait. Devant l’assistance, c’est plutôt le système de marionnettisme dans lequel il aurait été pris au piège, que Renaud ALLOGHO AKOUE a mis à nu. Lui, surdoué, manipulé par ce grand blanc, condamné à 5 ans de prison ferme pour usurpation de nationalité, qui pensait apporter aux gabonais une nouvelle doctrine

Banner

Cela pourrait bien être l’échec le plus cuisant de son parcours. Cet expert financier, qui cumulait sans faille les diplômes scolaires et universitaires d’ici et d’ailleurs, occupant très tôt, dès l’âge de 27 ans, des postes de responsabilité à Omnium Gabonais d’Assurances et de Réassurances (Ogar) d’où il a été débauché par Brice LACCRUCHE ALIHANGA (BLA). Une étape qui aurait marqué la perte du contrôle par ALLOGHO AKOUE dont les faits, gestes et délits auraient été commandés par l’ex directeur de cabinet. 

En effet, «en 2017, alors qu’il était au Togo, c’est ainsi qu’il avait reçu le message de Brice Laccruche Alihanga, Directeur de Cabinet du Président de la République (DCPR), lui demandant de venir en urgence au Gabon» pour relever la CNAMGS à l’époque dirigée par Michel MBOUSSOU. Un défi qu’il a accepté, dit-il «par amour du pays». Des révélations confirmées par le site d’actualité “La Libreville” qui précise que  «Renaud ALLOGHO AKOUÉ s’entretiendra avec le Président de la République pour la première et unique fois», à l’issue du Conseil des ministres au cours duquel il a été nommé. 

Par ailleurs «durant le reste de son mandat, pour ce qui concerne la CNAMGS, c’est BLA qui faisait l’intermédiaire avec la Présidence. C’est de lui que l’ex-DG de la CNAMGS recevait ses consignes» en lieu et place de son ministre de tutelle. Voilà qui suscite une ironie toute particulière. Que d’imaginer que l’homme doté d’ «un quotient intellectuel très élevé», selon le ministère public, se laisse marionnetisé, dans un domaine qu’il ne connaît que trop bien, par un individu visiblement moins doué, aux allures de chef de gang. De fait, Renaud ALLOGHO AKOUE se serait retrouvé totalement englué dans ce système mis en place par l’ex-dircab, qui visait à spolier les entreprises, de manière à ce qu’il en profite à titre personnel. Et par la même occasion, noyer le régime à l’intérieur duquel il opérait. 

La tournure des événements n’a été qu’un pied de nez à ceux-là qui attendaient de ce procès, que l’accusé implique Ali BONGO ONDIMBA, épouse et enfants. Alors qu’en projetant «mettre à nu le système» comme l’a rapporté “Gabon média Time” (GMT), il ne s’agissait peut-être que du système de malversations mis en place et entretenu par BLA. Contrairement aux autres inculpés, dont Ike NGOUONI ou encore Christian Patrichi TANASA. Mais, Renaud ALLOGHO AKOUE dont les enseignants vantaient l’intelligence, s’est-il laissé prendre au piège, ou avait-il à titre personnel d’intérêt à jouer le jeu? Lui, qui percevait une rémunération mensuelle de 10 millions de Fcfa et 35 millions de Fcfa de primes trimestrielles. 

Lire aussi  27 milliards de Fcfa, la valeur du colossal patrimoine immobilier de BLA

Justice

1 509 milliards Fcfa: le prix minimal de la libération de Sylvia et Noureddin BONGO?

Publié

sur

Hors des frontières du Gabon, la libération de l’ex-première dame gabonaise, Sylvia BONGO VALENTIN et son fils Noureddin BONGO VALENTIN revient souvent. En effet,  à l’occasion de ses déplacements en pays africains, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, aurait été plusieurs fois interrogé sur le du clan BONGO, par ses homologues.

Banner

En réponse, le Président de la Transition au Gabon aurait laissé entendre que leur libération aurait un prix. Et au regard des actifs de l’ex-famille présidentielle, qui avoisinerait, suivant des estimations, la somme de 5 milliards de dollars (3 018 milliard de Fcfa), le leader de la Transition gabonaise aurait consenti à laisser la porte ouverte à la libération.

À la seule condition que l’État gabonais récupère au moins la moitié desdits actifs, soit 2,5 milliards de dollars (1 509 milliards de Fcfa), selon le magazine “Afrique intelligence”. 

Lire aussi  Gabon: la CNSS annonce l'extension de son CDM sur le territoire national
Continuer La Lecture

Justice

Exfiltration présumée de Sylvia & Noureddine BONGO de “Sans-famille”: la présidence va-t-elle démentir ou poursuivre Jeune Afrique ?

Publié

sur

Dans son article intitulé «Sylvia et Noureddine BONGO transférés de la prison centrale de Libreville vers un «lieu tenu secret», paru le 10 janvier 2024, le média panafricain “Jeune Afrique” a livré une information qui a réveillé les inquiétudes des gabonais.

Banner

Reprise sur les réseaux sociaux, et diffusée telle une traînée de poudre, l’information qui aurait été un casse-tête pour le Comité de transition pour la restauration des institutions (CTRI) aurait été démentie par une source autorisée du palais présidentiel, qui s’est confiée à nos confrères de Gabon média Time (GMT). «C’est faux»! Aurait-elle dit sans plus d’explications. Une affirmation peu suffisante au regard de la gravité de l’information.

La présidence par la voix de son porte-parole ou le CTRI tiendra t-il un communiqué 0040, pour apporter un démenti formel à cette publication ? Ou engagera-t-elle des poursuites contre le magazine, pour avoir diffusé une information visiblement pas vérifiée et qui aurait pu entamer la confiance des gabonais en leur nouvelles autorités ? Peut-on attendre une réaction du gouvernement, par le canal de son porte-parole, Laurence NDONG et pourquoi pas une déclaration du procureur de la République ?

Lire aussi  Gabon: le détournement de plus de 100 milliards de FCFA, en cause de l'arrestation de Patrichi TANASA

Alors que sur la toile, on évoque une libération datant de 2 semaines, il est désormais plus qu’une nécessité pour les autorités d’apporter la preuve à ce démenti. Laquelle ne saurait être moins qu’une vidéo dévoilant les détenus à la prison centrale. D’autant que le Président de la transition, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA avait promis aux gabonais une justice pour tous. L’on redoute désormais que la mère et le fils se soient faits la malle à l’instar de l’ex-ministre Lee WHITE, annoncée également par Jeune Afrique, le 13 octobre 2023.

Continuer La Lecture

Justice

Gabon: Raymond OBAME SIMA, élu bâtonnier, haut la main

Publié

sur

Contesté lors de l’élection de janvier 2023, Maître Raymond OBAME SIMA a été confirmé comme bâtonnier, au terme de l’élection qui s’est tenue ce 27 décembre 2023. Opposé à Jules OBIANG et maître MEVIANE qui s’est désisté à la dernière minute, l’élu, a cumulé en sa faveur 92 voix sur les 104 participants à l’élection, contre 8 pour son challenger.

Banner

La confirmation du résultat de ce vote vient confirmer  l’ambition des hommes et femmes de ce secteur, d’enrayer les malentendus qui minent leurs activités et de prendre part à son essor. À ce titre a exprimé sa satisfaction, «je suis satisfait du vote, bien plus, de l’engouement entourant ce scrutin. C’est le métier qui en ressort grandi, confirmant surtout l’élection de janvier dernier».

Par ailleurs, a-t-il d’ores et déjà annoncé, des réformes sont en gestation, parmi lesquelles, la mise en place de concours d’accès au métier  d’avocat au même titre que les magistrats. Voilà qui devrait mettre terme à la crise qui mettaient les hommes en toges, en désaccord. 

Lire aussi  Gabon /The Corporate challenge Elite: la Locomotive de SETRAG remporte la 1ère édition du tournoi
Continuer La Lecture

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2023 Vox Populi. Tout droits réservés.