Société/Environnement
Bijoux Guess en or à 400 000 Fcfa: quand J.R YAMA se la coulait douce sous les Champs Elysées avec les fonds de la SCI Serpentin
Jean Rémy YAMA, le leader de la Centrale syndicale Dynamique Unitaire (DU) aurait perçu d’importants virements bancaires au nom de la société civile immobilière (SCI) Serpentin dont il demeure le co-gérant. Sur la toile, où les relevés bancaires de ladite SCI ont été rendus publics, les montants des différentes transactions montrent bien que ceux-ci ont été utilisés à des fins autres qu’immobilieres. Les Champs-Elysées en auraient vu passées des transactions, notamment concernant l’achat d’un bijoux Guess en or à 400 000 Fcfa.
Brandissant des copies de bordereaux de chèques bancaires, l’accusateur sur la toile explique que plus de 5 milliards auraient été virés par le Trésor public à la SCI Serpentin entre 2011 et 2014. Mais plutôt que de servir à la construction des lotissements des enseignants, ce sont les magasins de vêtements à l’instar de Kiabi, qui en auraient bénéficié, pour des achats à hauteur de 855 000 Fcfa. Ou encore d‘autres magasins tels que Fnac où une transaction a été effectuée avec la carte de la SCI pour plus de 400 000 Fcfa d’achats. Entre autres.
Il n’en fallait pas plus pour provoquer l’ire des proches et soutiens de l’enseignant d’université dernièrement radié de la Fonction publique et écroué à la prison centrale depuis plusieurs mois. Nombre d’entre eux ergotent que l’accusateur aurait été mandaté par les détracteurs de Jean Rémy YAMA dont la tête serait mise à prix. Et relèvent qu’en dépit du fait que les documents brandis ne portent pas explicitement le nom du leader de DU, il fait ne néanmoins qu’un lien direct qu’avec le seul Jean Rémy YAMA. Depuis lors, la toile brûle. Affaire à suivre.
MEZ
Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.