Politique
OSSOUKA RAPONDA à la Cop 15 à Abidjan

Le 9 mai 2022 s’est ouvert, à Abidjan, en Côte d’Ivoire, la 15ème session de la Conférence des Parties (COP15) de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification. Jusqu’au 20 mai prochain, des Chefs d’Etat et de Gouvernement, dont 9 de pays africains, autour d’objectifs commun afin de lutter contre la désertification d’ici 2030. Pour sa part, le Gabon, a été représenté par la Cheffe du gouvernement, Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA.
Selon un communiqué émanant de la Primature, le Premier ministre a rappelé l’engagement du Gabon dans la préservation de l’écosystème du Bassin du Congo dont la perte «provoquerait des centaines de millions de réfugiés climatiques, avec un effet dévastateur sur la paix, la sécurité et la stabilité en Afrique». Au cours de cette rencontre, «l’Appel d’Abidjan» a été lancé pour réaffirmer l’engagement des parties envers le programme de développement durable à l’horizon 2023, notamment en ce qui concerne la neutralité en matière de dégradation des terres.
Selon l’Organisations des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), 40% des terres seraient dégradées actuellement sur la planète. L’Afrique subsaharienne est la région le plus touchée par ce phénomène. Il faut dire que le Gabon est un leader en matière d’environnement grâce à l’engagement sincère et constant du Président de la République, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA. En marge de ce sommet, Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA a été reçue en audience par le Président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane DRAMANE OUATTARA (ADO), à qui elle a transmis un message de son homologue gabonais
Politique
Transparence & Bonne gouvernance: OLIGUI NGUEMA & la société civile passe à l’offensive

Le Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, a reçu ce 21 juillet 2025, en audience des représentants de la société civile engagés dans la promotion de la transparence et de la bonne gouvernance. Cette rencontre a permis d’aborder les questions liées à la gestion rigoureuse des deniers publics, notamment la lutte contre l’enrichissement illicite et les détournements de fonds publics.
Face aux récentes révélations mettant en cause l’ancien régime, les représentants de la société civile ont réitéré leur engagement à agir, tant au niveau national qu’international, afin que justice soit rendue. A cet effet, ils ont présenté au Chef de l’État une série d’actions qu’ils entendent initier, au nombre desquelles figure le dépôt imminent d’une plainte au Gabon, dans le cadre des procédures de lutte contre la corruption.
Cette démarche s’inscrit dans le respect des engagements internationaux du Gabon, État partie à la Convention des Nations Unies contre la corruption, dite Convention de Mérida. Les échanges ont également mis en lumière la nécessité de renforcer les missions de l’Agence Nationale d’Investigation Financière (ANIF), en soutien aux efforts de transparence et de bonne gouvernance impulsés par le Chef de l’État.
Politique
Effervescence autour du retour d’OLIGUI NGUEMA des USA

De retour d’une visite officielle aux États-Unis d’Amérique, le Président de la République, Chef de l’État, Chef du Gouvernement, Brice Clotaire Oligui Nguema a regagné Libreville ce vendredi. À son arrivée, il a été accueilli avec ferveur par une population venue nombreuse saluer son engagement en faveur du rayonnement international du Gabon.
Ce déplacement à Washington a marqué une étape décisive dans le renforcement des relations bilatérales entre le Gabon et les États-Unis, à travers des échanges fructueux avec les plus hautes autorités américaines et de nombreux acteurs du secteur privé.
Lors de son entretien avec son homologue américain, le Président de la République a réaffirmé la vision d’un Gabon souverain, attractif et résolument tourné vers l’investissement. Il a notamment plaidé pour une coopération économique renforcée, fondée sur le respect mutuel, la réciprocité et la prise en compte des priorités africaines.
Cette mission diplomatique s’est également illustrée par la signature d’accords majeurs, témoignant de la volonté commune de bâtir un partenariat stratégique durable entre les deux nations
Politique
Gabon: OLIGUI NGUEMA acte la naissance de l’Union démocratique des bâtisseurs

Une foule impressionnante a fait le déplacement pour le palais des sports, ce samedi 5 juillet 2025, dans le but de prendre part à la naissance de l’Union Démocratique des Bâtisseurs (UDB). Nouveau parti politique, créé par le Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA. Il se donne l’ambition de rassembler les forces vives de la nation autour d’une vision de renouveau démocratique et de progrès inclusif. Avec pour devise « Inclusivité – Développement – Félicité », l’UDB se positionne comme un mouvement visant à insuffler une nouvelle dynamique dans la construction de notre pays.
Initialement prévu pour le 28 juin, ce rendez-vous avait été reporté au 5 juillet pour respecter les célébrations traditionnelles dans la province de l’Estuaire.
L’objectif de cette nouvelle vision politique a été mis en avant comme une priorité absolue, avec des engagements clairs en matière de diversification économique, d’amélioration des infrastructures et de renforcement des services sociaux.
«Le pays a vécu 50 ans de politique durant lesquels des chefs ont personnifié leurs partis politiques. Je ne voudrais embrigader personne. Je ne souhaite pas créer un parti électoraliste,qui instrumentalise des élections. Je souhaite avoir un parti qui m’accompagne et non un outil politique qui va être un gouffre dans lequel je dois monnayer les majorités ou les consensus », a déclaré le chef des Bâtisseurs.
Afin de préparer l’avenir au-delà du symbole, la création de l’Union Démocratique des Bâtisseurs marque une étape stratégique, celle de la structuration politique du pouvoir présidentiel dans un contexte de relai. Depuis son arrivée au pouvoir en août 2023, à la faveur d’un coup de libération qualifié de « rectification », Brice Clotaire Oligui Nguema avait jusqu’à ce jour évité l’écueil de la politisation classique. Mais les signaux étaient là, la volonté d’inscrire une bonne gouvernance à long terme.