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Insolite

Panne mondiale de Facebook: Ali BONGO accusé d’en être l’auteur

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Faudrait-il envisager de soumettre certains opposants politiques gabonais à la psychiatrie répressive comme le faisait Léonid BREJNEV, ancien secrétaire général du parti communiste de l’Union soviétique, en son temps? Après les divagations permanentes de Bruno Ben MOUBAMBA, ancien Vice-Premier ministre et néo-opposant faussement en exil, on assiste désormais à une hausse de manœuvres  discursives visant, coûte que coûte, à ternir l’image du pouvoir de Libreville. Cette interrogation est donc de rigueur alors que le président gabonais Ali BONGO ONDIMBA (ABO) a été désigné responsable de la panne mondiale de Facebook, ce 04 octobre 2021, par nombre de ses contredisants dont nous tairons les noms. Lui concédant ainsi une influence notoire sur l’entreprise américaine dont la valeur des titres a chuté de près de 5% ce seul jour, faisant ainsi perdre, en quelques heures seulement, à son cofondateur Mark ZUCKERBERG 7 milliards de dollars. 

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Une thèse fantasque et complètement loufoque qui a pris forme sur les réseaux sociaux. Seulement l’on se demande si Ali BONGO aurait commandité cette fourberie avant ou après l’audience solennelle de rentrée judiciaire des cours et tribunaux, à laquelle il a pris part ce même jour. Et au regard des dommages financiers que le dysfonctionnement de Facebook, WhatsApp et Instagram a coûté à ce poids lourd de la bourse américaine, l’on pourrait dire que le Chef d’État gabonais a du souci à se faire. 

Face à cette incongruité, le caricaturiste Pahé a invité dans une publication sur Twitter ce 04 octobre, ses followers à en rire. «Facebook et toute sa famille en panne, et voilà certains activistes qui jurent que c’est de la faute du pouvoir de Libreville qui bloque les opposants. Ricanons», peut-on y lire. Alors que d’autres commentaires s’amusent de l’ignorance de la communauté virtuelle gabonaise d’autres réseaux sociaux qui n’étaient pas du tout concernés par ladite panne. «Facebook en panne ainsi que WhatsApp et Instagram,c’est aujourd’hui que tu vois certains découvrir Twitter ou Telegram au Gabon» se moquent-ils. 

Si de telles accusations servent à amuser les internautes, il est d’autant plus important de rappeler ici les dispositions du nouveau Code pénal pour toute personne qui se rendrait coupable d’outrage au Président de la République. En effet, celui dans son article 158 dispose que «l’outrage envers le Président de la République, commis en quelque lieu, en quelque occasion ou par quelque moyen que ce soit, est puni d’un emprisonnement de cinq ans au plus et pourra l’être en outre d’une amende d’un montant de 5.000.000 de francs au plus ». À bon entendeur salut !

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Insolite

Thibaut Adjatys : du justicier au racketteur du web

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Il se rêvait redresseur de torts, flambeau du peuple, fouet des corrompus. Aujourd’hui, Thibaut Adjatys est surtout devenu le camelot de la vertu à crédit. L’homme vend son indignation au kilo, son silence au plus offrant et sa morale au détail.

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Sur les réseaux, il joue les incorruptibles ; en coulisses, il passe à la caisse. Le scénario est rodé : une accusation tapageuse, une indignation publique, puis, quelques messages privés plus tard… une proposition “d’arrangement”.

Mais le plus savoureux reste ailleurs. L’auto-proclamé défenseur des valeurs familiales – marié il y a peu – passerait ses soirées à draguer la Princesse de Souba, selon plusieurs témoins amusés. L’homme prêche la vertu d’une main et like les stories de l’autre. Entre deux sermons sur la morale, il trouve encore le temps d’envoyer des cœurs. Saint Thibaut du DM.

Son activisme, jadis suivi, ne fait plus recette. Les vues s’effondrent, les likes se comptent sur les doigts d’un gendarme. Le “justicier du web” s’est mué en influenceur du chantage, un mélange douteux entre Robin des Bois et vendeur de forfaits Internet.

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Gabon: Allô Trésor Public des images p*rn*graphiques sur le site !

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L’alerte à été donnée le 22 novembre 2023, alors que des contenus inhabituels et inappropriés ont été diffusés sur le site du Trésor public gabonais. Il ne s’agit ni de bons de caisse, encore moins d’avis de paiement ou de mise en demeure de paiement, mais plutôt d’images à caractère sexuel. Plutôt choquant pour les usagers. 

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Saisie par l’agitation autour de ce sujet, la Direction générale de la comptabilité publique et du Trésor s’est mobilisée pour supprimer ledit contenu qui ne sied pas avec ses activités. Dès lors, «les équipes techniques ont été mobilisés contre ce qui apparaît comme une attaque informatique provenant de pirates aux intentions malsaines».

Jusqu’à lors en maintenance, suite à l’incident susmentionné, le site du Trésor public fait l’objet d’investigations. Au terme de celles-ci, le site internet sera de nouveau accessible aux usagers, précise le communiqué. 

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Gabon: un faux sergent recruteur de la marine aux arrêts

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Kevin NKOUMA ELLA, gabonais, la trentaine révolue, a été rattrapé par la justice gabonaise. Il lui est dit reproché de s’être fait passer pour un sergent recruteur de la Marine nationale. Il aurait escroqué six personnes en leur faisant miroiter d’être enrôlées au sein de ce corps d’élite.

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Pour parfaire sa couverture, cet indélicat arborait l’uniforme de la Marine nationale mettant en évidence le grade de sergent. À ces victimes, le natif de Port-Gentil demandait une somme de 150 000 FCFA, avec le dossier et promettait de jouer de son grade imaginaire pour faciliter leur admission au recrutement.

À ce jeu, le présumé usurpateur et escroc a réussi à profiter de la crédulité de six individus. Au-delà des finances qui lui étaient remises, Kevin NKOUMA ELLA se faisait inviter à la table de ses victimes en compagnie de leurs familles. Plus loin encore, il allait jusqu’à procédé à des prélèvements sanguins sur les “candidats”.

Constatant que son dossier n’avançait pas, une des victimes n’a eu d’autres choix que de dénoncer Kevin NKOUMA ELLA à la Direction général des recherches. Après une enquête, il a été interpellé et n’a nié les faits. «J’ai compris que je me suis sali les mains. Je ne connaissais pas les trucs de la loi, c’est maintenant que je prends conscience que ce n’est pas bon», a-t-il déclaré.

Avant de pleurer en indiquant «si j’avais écouté ma mère, je ne devais pas me retrouver là. Je voulais vraiment faire l’armée, mais ce n’était pas mon destin et je demande à Dieu de me pardonner».

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