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International

Conseil de sécurité de l’ONU: Félix TSHISEKEDI veut griller la politesse à Ali BONGO pour obtenir le siège non-permanent réservé à l’Afrique pour 2022-2023

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Alors que le Gabon partait en candidature unique pour obtenir le précieux siège, la République Démocratique du Congo (RDC), portée par son président en personne, Félix TSHISEKEDI, songe sérieusement à l’accaparer. Pourtant, les candidatures sont closes depuis le 30 décembre 2020 et celle du Gabon avait déjà été validée par l’Union Africaine (UA).

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À en croire “La Lettre du Continent”, Félix TSHISEKEDI veut opérer un véritable passage en force dans ce dossier, qui met de facto la candidature du Gabon au siège non-permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU, en porte-à-faux. D’autant que l’on croyait le dossier déjà bouclé du côté des autorités gabonaises, qui sont courroucées pas les velléités congolaises.

En effet, lors du dernier sommet de l’UA les 6 et 7 février derniers, la ministre congolaise des affaires étrangères, Marie Tumba NZEZA, a plaidé pour que le choix du pays auquel reviendra le siège soit décidé «par concertation entre chefs d’Etat» au lieu du processus de candidature habituel géré par l’UA, rapporte encoe “La Lettre du Continent”. Une proposition immédiatement soutenue par le président congolais, qui assure pourtant la présidence de l’organisation depuis le début du mois de février.

Selon le magazine panafricain, la question des sièges non-permanents réservés à l’Afrique ont créé beaucoup de tensions lors du dernier sommet de l’UA, tandis que la position congolaise les cristallise avec le Gabon dont les autorités se sentent ainsi menacées à l’idée de devoir se faire concurrencer par la RDC. D’autant que le Gabon assurera le leadership africain lors de la COP26 prochaine à Glasgow, au Royaume-Uni, et souhaiterait profiter du siège au Conseil de Sécurité pour consolider cette position et minimiser les critiques faites au pays sur le respect des droits de l’homme notamment le droit des prisonniers.

De l’autre côté, Félix TSHISEKEDI convoite le siège non-permanent pour s’offrir une assise internationale à la veille des élections présidentielles e 2023, où il remettra en jeu son mandat. “La Lettre du Continent” rapporte également que ce dernier va prochainement tenter de rencontrer son homologue gabonais, Ali BONGO, afin de discuter de la question.

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Afrique

50 ans d’indépendance de Guinée Bissau: OLIGUI NGUEMA prend part aux festivités

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Invité par son homologue Bissau-Guinéen, le Président de la Transition, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a pris part ce jour à l’Avenue Amilcar Cabral à la célébration du 50ème anniversaire de l’accession à la magistrature suprême de la République de Guinée Bissau.

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Cette commémoration a vu la participation de plusieurs Chefs d’État, de leaders politiques, du corps diplomatique, des organismes internationaux et d’anciens leaders et dirigeants qui ont marqué l’histoire de ce pays ami.

Après les parades militaire, populaire et la revue des troupes marquant l’événement, le Général Umaro SISSOCO EMBALÓ a livré une adresse au peuple bissau-guinéen à travers laquelle il a rendu hommage aux héros de l’indépendance de la Guinée Bissau.

Au terme de cette cérémonie, le Président de la Transition a adressé ses félicitations à son Homologue pour l’organisation des festivités et s’est dit honoré par l’accueil qui lui a été réservé en terre bissau-guinéenne. Le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a par ailleurs saisi ces moments pour réitérer la volonté du Gabon de développer un partenariat actif avec la Guinée Bissau.

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International

Après avoir évoqué un 3e mandat d’Emmanuel MACRON, Richard FERRAND rétropédale

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Un récent entretien accordé au journal “Le Figaro” a suscité un élan de polémique dans la société française. Richard FERRAND, ancien président de l’Assemblée nationale s’est dit opposé à la limitation des mandats présidentiels en France. Qui selon lui «bride le choix des électeurs», qui ne seraient pas opposés à un 3e mandat du président Emmanuel MACRON. Pris à la gorge par les conséquences de ses propos dans l’opinion, Richard FERRAND s’est montré outré par cette agitation autour de sa sortie. «Consternant de voir s’agiter réseaux sociaux et médias paresseux sur une proposition stupide que je ne fais pas dans un entretien : modifier la constitution pour la présidentielle de 2027. Panurgisme imbécile». Pour rappel, Richard FERRAND a ouvertement dit sa volonté de se défaire des normes établies et des traditions républicaines françaises, en matière d’élections. Avait-il déclaré, «je regrette tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire, la limitation du mandat présidentiel dans le temps, le non cumul des mandats etc». Une non-proposition qui laisse entrevoir pourtant une volonté de voir Emmanuel MACRON se présenter à nouveau à sa propre succession.  

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Afrique

RCA: après 16 mois de détention un prisonnier français, libéré grâce à Ali BONGO

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Juan Rémy QUIGNOLOT a enfin pu regagner sa France natale dimanche 21 mai 2023. Après 16 mois de détention préventive à Bangui (RCA) où il avait été arrêté en mai 2021. L’interpellation de cet ancien militaire de 57 ans, était consécutive à la découvert, à son domicile, d’un important stock d’armes. Sous contrôle judiciaire depuis le 22 septembre 2022, avec interdiction de quitter le territoire centrafricain, Juan Rémy QUIGNOLOT a finalement pu s’en aller grâce à la diplomatie d’Ali BONGO ONDIMBA qui aura pesé de tout son poids dans ce dossier. Le Chef de l’État gabonais est d’ailleurs à l’origine de la remise en liberté du français 8 mois plus tôt. Parti de Bangui le mardi 18 mai dernier, Juan Rémy QUIGNOLOT a marqué une halte de deux jours à Libreville. Si rien n’a filtré de cette escale en terres Gabonaises, l’on imagine bien que l’ancien militaire français, que l’on dit «très éprouvé physiquement» en a profité pour remercier Ali BONGO ONDIMBA. Et pour cause. Approchée par nos confrères de l’AFP, Caroline QUIGNOLOT, la sœur de l’ancien militaire, a confirmé que le Président gabonais «a joué un rôle important dans sa libération», faisant office de «médiateur» entre Bangui et Paris.

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