Société/Environnement
Gabon: La SEEG se dote de 22 électriciens de réseaux
Récemment, la Société d’énergie et d’eau du Gabon (Seeg) a livré sa dernière cuvée d’électriciens de réseaux. Au nombre de 22, ces stagiaires sont désormais dotés de techniques leur permettant de réaliser en toute sécurité, hors et sous tension, des manœuvres sur les réseaux de distribution d’électricité.
Ça été là tout l’objectif de cette formation à laquelle ont pris part 21 hommes et 1 femme. Composée de 11 modules dont la prévention sécurité, la technologie du réseau HTA et BT, l’ascension des supports, réaliser les branchements en électricité, connaître et mettre en œuvre les compteurs d’Énergie simple tarif et secourisme, cette formation garantit à la seeg de disposer des personnels aguerris en électricité de réseaux.
«C’est tout le sens de la création au sein de la SEEG d’une Direction de la Formation et de la Prospective dont la mission principale consiste à se réapproprier les métiers de base de l’entreprise et à relever les nouveaux défis de performances, en donnant à la formation une nouvelle vision stratégique fondée sur des nouvelles méthodes de management organisationnel», a précisé une communication de l’entreprise.
C’est au Centre des métiers Jean VIOLAS, que la formation s’est effectuée. En effet, opérationnel depuis 42 ans, il permet à l’entreprise de se doter d’un outil de formation performant, à la hauteur de ses besoins en personnel qualifié et répond aux exigences de la mission de gestionnaire du service public de l’énergie électrique et de l’eau potable.
Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.