Sécurité Alimentaire
Gabon /Secteur pêche: l’Agasa assure des formations pour des produits sûrs, de l’hameçon à l’assiette
Du 07 au 09 décembre 2020, l’Agence gabonaise de sécurité alimentaire (Agasa), s’est rapprochée des professionnels des produits halieutiques de la ville de Lambaréné qui ont bénéficié d’une formation autour des Bonnes pratiques de pêche (BPP). Le moyen pour la brigade alimentaire de s’assurer de la fourniture d’un produit sûr et de qualité, de l’hameçon à l’assiette.
Ce sont donc écailleurs, transformateurs, revendeurs, pêcheurs et fabricants de glace de la commune qui se sont réunis autour du Directeur sanitaire halieutique de l’Agasa, Lionel NGUEBA et son équipe. Lesquels ont enseigné aux participants la réglementation qui régit leur activité, de même que les exigences qu’elle requiert.
S’en est suivi une visite des sites de pêche et de transformation, au cours de laquelle les agents de l’Agasa ont procédé à un état des lieux sanitaires. Émettant par ailleurs des recommandations précises aux fins d’améliorer considérablement les conditions sanitaires et d’hygiène dans ces lieux pour in fine, obtenir des denrées alimentaires de qualité.
Sécurité Alimentaire
Foberd-Gabon: directeurs délégués & conseillers du directeur général aux arrêts
Selon le quotidien « l’Union », c’est une quinzaine de responsables du groupe Foberd-Gabon qui serait mis aux arrêts par les services spéciaux de la Présidence de la République après une descente musclée de ces derniers en compagnie de l’Agence gabonaise de sécurité alimentaire (Agasa) ce 04 décembre 2024 à Owendo. Il s’agit des directeurs délégués et des conseillers du directeur général. «Le directeur général du groupe, absent lors de ces interpellations, aurait, quant à lui, été convié à se présenter hier devant les agents». Il leur serait reproché, depuis un bon moment, la vente de produits impropres à la consommation.
Sécurité Alimentaire
Queue de buffle avariée, fraudes à l’étiquetage & produits périmés, Foberd Gabon fermé par l’Agasa
Définitive ou pas, le groupe Foberd Gabon vient de prendre cher. C’est le constat amer que les gabonais peuvent faire, stupéfaits devant la télévision, après une descente inopinée, ce 05 décembre 2024, au siège de ladite société, à Owendo, par l’Agence gabonaise de sécurité alimentaire (Agasa) et les services spéciaux de la Présidence de la République. Rencardés par des sources “anonymes”, les gendarmes de la sécurité alimentaire au Gabon y ont fait une découverte des plus surprenante dans les entrepôts : 33 tonnes de « queue de buffle » avariées, soit 1 400 cartons de 20 kg soigneusement camouflés, fraudes étiquetages, vente de produits périmés, et conditions d’hygiène inacceptables. La réponse des autorités gabonaise est sans appel : arrestations en cascade et fermeture provisoire des installations de ce groupe spécialisé dans le commerce de gros et de détails en alimentation. A suivre…
Sécurité Alimentaire
Gabon :le Tropic sans « galette au chocolat » désormais agréé
Le couple “Tropic – galette au chocolat” va momentanément prendre une pause dans de nombreux quartiers du grand Libreville et peut-être bien jusque dans l’arrière-pays. Et pour cause, dans une note adressée aux opérateurs économiques, l’Agence gabonaise de sécurité alimentaire (Agasa), le 07 août 2024, le bras séculier de l’État a «strictement interdit de détenir en vue de la vente aux consommateurs, des “galettes” provenant d’établissements non agréés par l’Agasa».
En effet, au regard du nombre grandissant d’acteurs exerçant de manière informelle dans le domaine de la fabrication artisanale desdits produits, le gendarme de la sécurité alimentaire, entre en guerre contre ces derniers qui exercent bien souvent dans des conditions non conformes. À ce titre, l’agence met en garde les tenanciers d’épiceries et supérette de l’accompagner dans cette lutte contre les ventes des aliments impropres à la consommation, en s’assurant auprès de ses services (011 44 21 33) de ce que les “galettes” proviennent bien d’une boulangerie agréée par ses soins.
Car, prévient-elle à l’endroit des contrevenants à ladite mesure, ils «s’exposent aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur». Mais pour atteindre un objectif optimal, l’Agasa sollicite la contribution des populations afin qu’elles dénoncent ces producteurs informels. Faut croire que Tropic devra faire cavalier seul pendant cette période de surveillance.