Politique
Gabon /Forum de la société civile: Dieudonné MINLAMA MINTOGO sera de la partie !
Le «Forum national de la société civile et des forces vives du Gabon», prévu les 26 et 27 novembre prochains à Libreville, verra bien la participation de Dieudonné MINLAMA MINTOGO, président de l’Observatoire national de la démocratie (OND). Le pasteur Bruno NGOUSSI, l’un des organisateurs de cet évènement, a rencontré ce dernier le mercredi 18 novembre 2020 pour s’assurer de sa présence.
Le président du parti Ensemble pour la République (EPR) et ancien candidat aux élections présidentielles de 2016, Dieudonné MINLAMA MINTOGO, a répondu favorablement à l’appel de ses pairs de la société civile, représenté par Bruno NGOUSSI, qui l’a rencontré mercredi dernier. Il a ainsi confirmé sa participation au prochain «Forum national de la société civile et des forces vives du Gabon», rapporte “Gabonreview”.
Venu solliciter l’«implication multiforme» du leader politique pour la réussite de l’évènement, le patron de la Radio télévision Nazareth (RTN) a expliqué que «ce forum va regrouper toutes les forces vives de notre pays». Vraisemblablement, la présence de Dieudonné MINLAMA MINTOGO, qui est «un acteur important de la société civile» ne pourrait que rehausser cette rencontre citoyenne.
«Vous avez notamment été aux premières loges du combat pour la démocratie depuis 2009», a par ailleurs affirmé le pasteur Bruno NGOUSSI à l’endroit de son hôte, dont la réponse ne s’est pas faite attendre. «J’encourage la société civile et j’accepte de prendre part et soutenir ce forum. Je suis un Gabonais et adepte du dialogue. A chaque fois que les Gabonais s’assoient pour parler des problèmes du Gabon, c’est une occasion importante que je ne peux rater», a déclaré le président de l’OND.
Politique
Transition, Référendum & nouveau code électoral: OLIGUI NGUEMA en parle avec Denis SASSOU NGUESSO
Selon un communiqué de presse de la Présidence de la République, le chef de l’État gabonais, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, en marge de la cérémonie marquant la réouverture officielle de la Cathédrale Notre Dame de Paris, le 08 décembre 2024, à Paris, a échangé avec son homologue congolais, Denis SASSOU NGUESSO. La teneur de cette rencontre a porté notamment sur, le processus de transition, le référendum 2024, qui a vu une large approbation de la nouvelle Constitution et le nouveau code électoral, dont la composition de la Commission nationale chargée de son l’élaboration a été rendu publique par le porte-parole du CTRI.
Politique
Référendum 2024: score soviétique pour le Oui 91,80% des suffrages
C est à la faveur d’une déclaration d’une déclaration rendue public ce dimanche 17 novembre 2024 que le ministre de l’Intérieur Hermann IMMONGAULT a annoncé les résultats provisoires de l’élection référendaire qui s’est tenu le 16 novembre dernier. Ainsi, au terme d’un scrutin le oui l’a emporté avec 91,80% des suffrages exprimés.
Politique
Référendum 2024: le PDG responsable du taux d’abstention désigné comme « vainqueur », par Anges Kevin NZIGOU
Maitre Anges Kevin NZIGOU, Secrétaire exécutif du parti Pour Le Changement (PLC), par ailleurs soutient assumé du « Oui » pour la nouvelle Constitution s’est prononcé, ce 16 novembre 2024, date du scrutin référendaire, bien avant la proclamation des résultats. Pour l’avocat, si le « Oui » semble l’emporter face au « Non », le véritable vainqueur reste néanmoins «l’abstention». La faute à qui ? A la résilience du parti déchu, le Parti démocratique gabonais (PDG) dont de nombreux membres sont présents au cours de cette transition. Ci-dessous son propos tiré de sa page Facebook.
« ✍️ Il FAUT ABSOLUMENT CHASSER LE PDG
Les tendances des élections référendaires semblent donner une large victoire au “Oui”, une nouvelle qui peut réjouir ses partisans. Pourtant, en y regardant de plus près, le véritable vainqueur de cette élection est sans conteste l’abstention, dont le niveau record est profondément symbolique du malaise qui habite le peuple gabonais.
Rappelons-nous : le 30 août 2023, le peuple avait applaudi le coup d’État, espérant un rejet clair et définitif du PDG et de ses pratiques. Mais un an plus tard, l’omniprésence persistante de ce parti laisse un goût amer. Les Gabonais se sentent trompés, trahis dans leurs attentes de changement.
Cette forte abstention, dans un contexte où le coup d’État avait suscité tant d’espoirs, est l’expression d’un désenchantement profond. Elle traduit la frustration de voir que le PDG, au lieu de disparaître, continue de peser sur le destin de la nation.
Le message est clair : le peuple gabonais attend toujours le vrai changement qu’il a si ardemment appelé de ses vœux ».