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Société/Environnement

Gabon: 50% des élèves-filles de 15-19 ans en situation de grossesse précoce selon la FSBO

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Le rapport sur les inégalités de genre de la Fondation Sylvia BONGO ONDIMBA, contient 33 recommandations à l’endroit des autorités gouvernementales pour améliorer la situation des femmes dans le pays en ciblant plusieurs questions d’ordre social. Le rapport met notamment en lumière la situation des jeunes filles mères, dont 50% des filles âgées de 15-19 ans seraient concernées par les grossesses précoces en pleine scolarité.

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La stratégie de promotion des droits de la femme et réduction des inégalités femmes-hommes qui a fait l’objet d’un rapport officiel par la fondation de la Première Dame, Sylvia BONGO VALENTIN, dresse un état des lieux factuel des inégalités femmes/hommes. Et autant dire que celui-ci est peu reluisant.

Sur le volet de l’éducation, le rapport indique par exemple une forte perturbation de la scolarité des jeunes filles, affectées par les grossesses précoces au niveau du collège, qui concernent environ 50% des 15-19 ans. « Ces grossesses ont un impact négatif sur la scolarité et donnent lieu à des redoublements ou de l’abandon scolaire des élèves-mères dans plus de 50% des cas» lit-on encore dans le rapport.

Rien que ces chiffres devraient suffire à donner des sueurs froides au gouvernement OSSOUKA RAPONDA, que le numéro un gabonais, Ali BONGO ONDIMBA, a instruit d’engager sans attendre des réformes sur la base des 33 propositions contenues dans le rapport de la FSBO. Le chantier s’annonce titanesque et la tâche, rude.

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Société/Environnement

Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable

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Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.

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Société/Environnement

Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie

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Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.

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Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.

Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.

Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.

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Société/Environnement

85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023

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En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.

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Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.

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