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Economie

Gabon: Le gouvernement invite le Japon à prendre part à la mise aux enchères de 35 blocs pétroliers

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Le 18 septembre 2020 à Libreville, le Ministre du pétrole, du gaz et des mines, Vincent de Paul MASSASSA a reçu le représentant-résident de l’Agence japonaise de  coopération internationale (JICA), Yonezaki EIRO. À l’ordre du jour, il a été question d’inviter le pays Nippon à participer à la vente aux enchères de 35 blocs pétroliers, dans le cadre du 12e appel d’offres international, actuellement en cours. Cela dans le but de relancer un secteur fortement impacté par la pandémie de la Covid-19.

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En effet, tel que le mentionnent nos confrères du « Nouveau Gabon« , depuis 2 ans, le pays vert-jaune-bleu a réalisé une campagne de mise aux enchères de 35 blocs pétroliers maritimes sous la forme d’un appel d’offres. Soient, 23 en offshore profond, 12 en offshore conventionnel. 24 sociétés ont déjà manifesté leur intérêt, dont 18 pour des blocs en offshore peu profond, et 6 en offshore profond et ultra profond.

« Nous avons de très bonnes relations avec le Gabon, d’ailleurs nous achetons le pétrole gabonais et sommes très bons partenaires dans plusieurs secteurs », a déclaré Yonezaki EIRO.

Par ailleurs, la promotion des blocs pétroliers a dores et déja été réalisée, auprès de 9 pays que sont respectivement : l’Afrique du Sud, la Grande-Bretagne, les États-Unis, le Brésil, l’Inde, la Chine, la Russie, Singapour et la Guinée Équatoriale.

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Gabon /Transport urbain et suburbain: l’insoluble équation des pièces (de monnaie)

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Avec la monnaie»! Un refrain que les Librevillois connaissent par cœur. Tant la rareté des pièces de monnaie fait rage au Gabon, que cela soit dans les commerces, pire dans les transports en commun. Pas un jour ne passe sans que celui-ci ne soit répété aux clients. Pourtant, au constat , les professionnels du transport seraient eux-mêmes en grande partie responsables de cette problématique. 

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Et pour cause, ces derniers seraient, suivant une source bien informée, en «deal» avec les commerçants des communautés libanaise, mauritanienne… Les taximen et “clandomen” commercialiseraient régulièrement des «jetons» d’un montant de 10 000 Fcfa, contre paiement cash de la somme de 11 000 Fcfa, 20 000 pour 22 000 et ainsi de suite. En d’autres termes, les clients des transporteurs ne seraient donc que des fournisseurs de pièces de monnaie pour assurer la survie de leur trafic. 

D’autre part, il est bien connu que les pièces de monnaie sont prisées par les charlatans de tous genres, pour paiement ou préparation de leurs charmes. Des rites fétichistes, qui exigent que lors de cérémonies, des centaines de pièces de monnaie sont jetées nuitamment au pied d’arbres isolés en pleine brousse, ou à côté d’animaux sacrifiés, avait rappelé le magazine Superstar. Pas des billets de banque, mais des pièces de monnaie. Dans ce sens, une vidéo qui avait fait le tour des réseaux sociaux dévoilait un arbre au pied duquel les pièces de monnaie brillaient de mille éclats, jetées par des personnes qui forcent le destin de leur attribuer un bien, une opportunité, une place qui ne leur est pas destiné. L’on aurait dit que la nouvelle production de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) y avait été déversée. 

Alors que face à l’insoluble équation de la rareté des pièces de monnaie, l’Union monétaire de l’Afrique centrale (Umac), avait entrepris un an plus tôt, le 15 mars 2023, la création d’une nouvelle gamme de pièces de monnaie par la BEAC. Cela dans le but de pallier la rareté de celles-ci.

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Gabon /Transport urbain et suburbain: l’insoluble équation des pièces (de monnaie)

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Avec la monnaie»! Un refrain que les Librevillois connaissent par cœur. Tant la rareté des pièces de monnaie fait rage au Gabon, que cela soit dans les commerces, pire dans les transports en commun. Pas un jour ne passe sans que celui-ci ne soit répété aux clients. Pourtant, au constat , les professionnels du transport seraient eux-mêmes en grande partie responsables de cette problématique. 

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Et pour cause, ces derniers seraient, suivant une source bien informée, en «deal» avec les commerçants des communautés libanaise, mauritanienne… Les taximen et “clandomen” commercialiseraient régulièrement des «jetons» d’un montant de 10 000 Fcfa, contre paiement cash de la somme de 11 000 Fcfa, 20 000 pour 22 000 et ainsi de suite. En d’autres termes, les clients des transporteurs ne seraient donc que des fournisseurs de pièces de monnaie pour assurer la survie de leur trafic. 

D’autre part, il est bien connu que les pièces de monnaie sont prisées par les charlatans de tous genres, pour paiement ou préparation de leurs charmes. Des rites fétichistes, qui exigent que lors de cérémonies, des centaines de pièces de monnaie sont jetées nuitamment au pied d’arbres isolés en pleine brousse, ou à côté d’animaux sacrifiés, avait rappelé le magazine Superstar. Pas des billets de banque, mais des pièces de monnaie.

Dans ce sens, une vidéo qui avait fait le tour des réseaux sociaux dévoilait un arbre au pied duquel les pièces de monnaie brillaient de mille éclats, jetées par des personnes qui forcent le destin de leur attribuer un bien, une opportunité, une place qui ne leur est pas destiné. L’on aurait dit que la nouvelle production de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) y avait été déversée. 

Alors que face à l’insoluble équation de la rareté des pièces de monnaie, l’Union monétaire de l’Afrique centrale (Umac), avait entrepris un an plus tôt, le 15 mars 2023, la création d’une nouvelle gamme de pièces de monnaie par la BEAC. Cela dans le but de pallier la rareté de celles-ci.

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Gabon /Patricia MANON: de la Direction générale de la CDC au Secrétariat général de la COBAC 

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Le Sommet extraordinaire des chefs d’États de la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale (CEMAC), du 9 avril 2024, a honoré le Gabon de plusieurs manières. 

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En effet, au terme de cette rencontre de haut niveau à l’échelle sous-régionale, Libreville a officiellement été désignée pour abriter le siège de la COBAC. Cependant, les travaux d’aménagement de l’immeuble-siège n’étant pas encore achevés, son Secrétariat Général est toujours établi dans les locaux de la BEAC à Yaoundé, au Cameroun. 

Par ailleurs, la gabonaise Danielle Patricia MANON, ancienne Directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), a été nommée Secrétaire Générale Adjoint de la Commission Bancaire d’Afrique Centrale (COBAC). Recevant au passage les «chaleureuses félicitations» du ministre de l’Economie et des participations, Mays MOUISSI, en lui souhaitant «plein succès dans ses nouvelles fonctions au service de notre communauté régionale», rapporte l’AGP. 

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