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International

Allemagne : 17 000 manifestants disent « non » aux masques

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Le Samedi 1er août 2020, ce sont environ 17 000 allemands qui ont défilé au centre de Berlin. À l’ordre du jour, une protestation à l’encontre des mesures restreignant les libertés individuelles dans le cadre de la lutte contre la Covid-19. C’est donc sans distanciation sociale et sans masques de protection, que la mobilisation intitulée “la fin de la pandémie – Jour de la liberté” a défié malgré les recommandations sécuritaires, la police allemande. Un rassemblement qui met dans l’ire le gouvernement et une partie de la classe politique, car jusqu’à présent, le pays a été un modèle dans la gestion de cette crise en Europe.

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En effet, ce cortège de milliers d’hommes et de femmes se dirigeait vers la porte de Brandebourg, en répétant : «nous sommes la deuxième vague», «résistance». D’après « Financial Afrik« , la police de Berlin a appelé à de nombreuses reprises aux manifestants de respecter les mesures barrières sans succès. À cet effet, une plainte a été déposée à l’encontre des organisateurs de cette marche contestataire.

Par ailleurs, plusieurs membres du gouvernement d’Angela MERKEL et la classe politique ont dénoncé des individus qualifiés de « covidiots« . «Sans distance et sans masques: ils ne mettent pas seulement en danger notre santé, mais aussi notre succès contre la pandémie et la relance de l’économie» a indiqué Sasha ESKEN, responsable du parti social-démocrate.

Avec plus de 1000 nouvelles contaminations par jour à Berlin, ces regroupements de personnes ne vont pas aider la première puissance économique européenne. D’autant que celles-ci traduisent de façon effective la portée des complots autour de la pandémie. Il s’agirait selon certains d’un malthusianisme organisé. Mais, en attendant, la pandémie est réelle et continue de faire des victimes.

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Afrique

50 ans d’indépendance de Guinée Bissau: OLIGUI NGUEMA prend part aux festivités

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Invité par son homologue Bissau-Guinéen, le Président de la Transition, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a pris part ce jour à l’Avenue Amilcar Cabral à la célébration du 50ème anniversaire de l’accession à la magistrature suprême de la République de Guinée Bissau.

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Cette commémoration a vu la participation de plusieurs Chefs d’État, de leaders politiques, du corps diplomatique, des organismes internationaux et d’anciens leaders et dirigeants qui ont marqué l’histoire de ce pays ami.

Après les parades militaire, populaire et la revue des troupes marquant l’événement, le Général Umaro SISSOCO EMBALÓ a livré une adresse au peuple bissau-guinéen à travers laquelle il a rendu hommage aux héros de l’indépendance de la Guinée Bissau.

Au terme de cette cérémonie, le Président de la Transition a adressé ses félicitations à son Homologue pour l’organisation des festivités et s’est dit honoré par l’accueil qui lui a été réservé en terre bissau-guinéenne. Le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a par ailleurs saisi ces moments pour réitérer la volonté du Gabon de développer un partenariat actif avec la Guinée Bissau.

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International

Après avoir évoqué un 3e mandat d’Emmanuel MACRON, Richard FERRAND rétropédale

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Un récent entretien accordé au journal “Le Figaro” a suscité un élan de polémique dans la société française. Richard FERRAND, ancien président de l’Assemblée nationale s’est dit opposé à la limitation des mandats présidentiels en France. Qui selon lui «bride le choix des électeurs», qui ne seraient pas opposés à un 3e mandat du président Emmanuel MACRON. Pris à la gorge par les conséquences de ses propos dans l’opinion, Richard FERRAND s’est montré outré par cette agitation autour de sa sortie. «Consternant de voir s’agiter réseaux sociaux et médias paresseux sur une proposition stupide que je ne fais pas dans un entretien : modifier la constitution pour la présidentielle de 2027. Panurgisme imbécile». Pour rappel, Richard FERRAND a ouvertement dit sa volonté de se défaire des normes établies et des traditions républicaines françaises, en matière d’élections. Avait-il déclaré, «je regrette tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire, la limitation du mandat présidentiel dans le temps, le non cumul des mandats etc». Une non-proposition qui laisse entrevoir pourtant une volonté de voir Emmanuel MACRON se présenter à nouveau à sa propre succession.  

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Afrique

RCA: après 16 mois de détention un prisonnier français, libéré grâce à Ali BONGO

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Juan Rémy QUIGNOLOT a enfin pu regagner sa France natale dimanche 21 mai 2023. Après 16 mois de détention préventive à Bangui (RCA) où il avait été arrêté en mai 2021. L’interpellation de cet ancien militaire de 57 ans, était consécutive à la découvert, à son domicile, d’un important stock d’armes. Sous contrôle judiciaire depuis le 22 septembre 2022, avec interdiction de quitter le territoire centrafricain, Juan Rémy QUIGNOLOT a finalement pu s’en aller grâce à la diplomatie d’Ali BONGO ONDIMBA qui aura pesé de tout son poids dans ce dossier. Le Chef de l’État gabonais est d’ailleurs à l’origine de la remise en liberté du français 8 mois plus tôt. Parti de Bangui le mardi 18 mai dernier, Juan Rémy QUIGNOLOT a marqué une halte de deux jours à Libreville. Si rien n’a filtré de cette escale en terres Gabonaises, l’on imagine bien que l’ancien militaire français, que l’on dit «très éprouvé physiquement» en a profité pour remercier Ali BONGO ONDIMBA. Et pour cause. Approchée par nos confrères de l’AFP, Caroline QUIGNOLOT, la sœur de l’ancien militaire, a confirmé que le Président gabonais «a joué un rôle important dans sa libération», faisant office de «médiateur» entre Bangui et Paris.

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