Politique
Pour Noël, la France vole à la rescousse de Brice LACCRUCHE ALIHANGA en prison
Alors que ses avocats dénoncaient une incarcération de leur client dans des conditions inhumaines, l’ancien Directeur de Cabinet d’Ali BONGO a vraisemblablement pu compter sur l’intervention de sa patrie d’origine, la France, à travers la consule générale au Gabon, Marguerite Francy DEGARDIN, qui a plaidé en faveur d’une amélioration de ses conditions de détention.
Jeté dans un isolement tel un détenu lambda, l’ex “messager intime” semblait souffrir d’ennuis de santé que ses avocats ont décrié à travers un communiqué public. À en croire ces derniers, une otite aiguë compliquait davantage le séjour déjà pénible de leur client dans sa cellule de 9m². Une affection que les autorités pénitentiaires ont négligée à tel point qu’elle s’est aggravée au lendemain de la célébration de la fête de Noël.
Sensibles à la détresse de leur ressortissant, les autorités françaises se seraient saisis de la question. Selon le “Jeune Afrique” n°3079, grace aux bons offices de la consule générale de France au Gabon, Marguerite Francy DEGARDIN, Brice LACCRUCHE ALIHANGA né FARGEON, aurait été débarrassé de ses co-détenus. Il recevrait également la visite de sa femme trois fois par semaine, sans contact physique tout de même.
Ce n’est pas la première fois que la France s’implique ou est soupçonnée de s’ingérer dans le dossier de Brice LACCRUCHE ALIHANGA, qui est né à Marseille et possède la nationalité française. Au lendemain de l’arrestation de l’ex-Dircab franco-gabonais, des rumeurs faisaient état d’une demande d’explication de Paris aux autorités gabonais. Des rumeurs démenties par S.E.M Philippe AUTIE, ambassadeur de France au Gabon, qui a assuré que les autorités françaises entendent laisser la justice gabonaise faire son travail.
Politique
Reconstitution de la Cité de la Démocratie: OLIGUI NGUEMA satisfait des avancées
Le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a procédé ce 14 décembre 2024 à la visite du chantier la Cité de la Démocratie.
Exécuté par la société turque Summa, ce projet d’envergure qui s’étend sur une période de 16 mois prévoit la construction d’un grand centre de conférence comprenant des salles de conférence, des bureaux administratifs, une salle de banquet, une salle de congrès, un carré VIP, une salle présidentielle.
Ce chantier prévoit également des travaux connexes tels que la construction de 55 villas dédiées aux Chefs d’État, un palais présidentiel, une clinique médicale, un zoo et un plateau sportif entre autres. Entamés depuis 4 mois, ces travaux sont exécutés par une main d’œuvre mixte composée de plus de 1350 personnes dont 900 nationaux.
Présente depuis une quinzaine d’années dans 14 pays dont 8 africains, l’entreprise Summa opère dans les secteurs du BTP, de l’énergie, des mines, de l’hôtellerie et de la santé. Exprimant son satisfecit sur l’avancement considérable des travaux, le Chef de l’État a instruit l’entreprise de respecter les délais de livraison dudit chantier.
Politique
Transition, Référendum & nouveau code électoral: OLIGUI NGUEMA en parle avec Denis SASSOU NGUESSO
Selon un communiqué de presse de la Présidence de la République, le chef de l’État gabonais, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, en marge de la cérémonie marquant la réouverture officielle de la Cathédrale Notre Dame de Paris, le 08 décembre 2024, à Paris, a échangé avec son homologue congolais, Denis SASSOU NGUESSO. La teneur de cette rencontre a porté notamment sur, le processus de transition, le référendum 2024, qui a vu une large approbation de la nouvelle Constitution et le nouveau code électoral, dont la composition de la Commission nationale chargée de son l’élaboration a été rendu publique par le porte-parole du CTRI.
Politique
Référendum 2024: score soviétique pour le Oui 91,80% des suffrages
C est à la faveur d’une déclaration d’une déclaration rendue public ce dimanche 17 novembre 2024 que le ministre de l’Intérieur Hermann IMMONGAULT a annoncé les résultats provisoires de l’élection référendaire qui s’est tenu le 16 novembre dernier. Ainsi, au terme d’un scrutin le oui l’a emporté avec 91,80% des suffrages exprimés.