Faits Divers
Port-Gentil : à 13 ans seulement il abat sa sœur à l’aide d’un calibre 12

Warren Clarck MPIRA OLENGA, 13 ans, a mis fin aux jours de sa sœur, dans la nuit du mercredi 7 août dernier, avec un fusil de type calibre 12 au quartier Pentecôte, dans le deuxième arrondissement de la commune de Port-Gentil, capitale provinciale de l’Ogooué Maritime.
Selon “l’Agence Gabonaise de Presse”, tout commence quand Gaétan Jules OLENGA, le père du meurtrier et de la victime, s’en est allé pour son lieu de travail, un site pétrolier, cinq jours avant le drame. Il avait alors donné la somme de quarante mille francs CFA à son fils dont trente mille à mettre en épargne et dix mille francs pour ses besoins personnels.
En l’absence du père, le jeune homme décide de s’acheter un téléphone portable d’une valeur de trente-neuf mille francs CFA. À court d’argent, il va se résoudre à prendre l’argent que son père avait laissé à sa sœur pour les besoins personnels.
Selon les témoignages de proches, le jour du drame, le jeune Warren aurait appelé son père pour lui informer qu’il irait chez sa mère, Gisèle WORA Yzette au quartier dit »Matiti’. Et quelques semaines plus tôt, le jeune homme avait tenté de crever l’œil de sa petite sœur âgée de quatre ans, à l’aide d’un morceau de fer. C’est suite à cet acte de cruauté que le père avait conduit le méchant fils au commissariat central dans le but de lui infliger une correction, a-t-il expliqué à nos confrères de l’AGP.
Par la suite, Jules OLENGA avait décidé de mettre une grille à la porte de la chambre de son fils afin que ce dernier y reste jusqu’à ce qu’il se calme. C’est ainsi qu’il partit donc sur site en laissant son jeune fils dans sa chambre avec la consigne de ne sortir qu’en cas de nécessité. Ses soeurs étaient donc chargées de lui donner à manger par cette grille.
Le jour fatal, Warren OLENGA s’introduit dans la chambre de son père en passant par le plafond. Il y aurait trouvé un billet de dix mille francs CFA, somme qu’il a jugée insuffisante.
En sortant de la chambre du père, il se retrouve nez à nez avec sa sœur, à qui il ordonne de lui donner de l’argent. Face au refus catégorique de cette dernière, le jeune homme retourne dans la chambre de son père et se saisit du calibre 12 qui était caché derrière la port avant de le recharger.
La sœur voyant son frère avec une arme prit la fuite pour se cacher dans la douche. Malheureusement pour elle, son frère finit par y accéder. Au moment d’en sortir, son frère lui pointe l’arme au front. Dans un geste de défense, elle a eu le réflexe de soulever le fusil qui finit par cogner contre le mur. Le garçon, le doigt sur la gâchette, l’appuie par inadvertance, et la balle toucha la petite de 14 ans sur le flanc droit.
«Quand j’ai vu qu’elle est tombée, j’ai pris mes deux autres petites sœurs avec moi et je suis allé les déposer chez la dame qui gère le kiosque du PMUG non loin de notre domicile. Et c’est cette dernière qui a passé un coup de fil à mon père qui était encore sur site», relate le jeune meurtrier.
Sous le choc, le jeune meurtrier est parti en emportant avec lui, la somme de cent cinquante mille francs CFA, détenue par sa sœur qu’il venait d’assassiner. La gérante du kiosque a informé OLENGA père, qui à son tour contacta son frère pour qu’il se rende à son domicile.
Le corps sans vie de la petite y était. Son oncle a transporté la petite à l’hôpital et informa la Police Judiciaire qui s’est chargée de retrouver le mineur. Et d’après l’officier de police chargé du suivi de l’affaire, seuls les juges décideront de la peine à infliger au mis en cause.
Faits Divers
Ngounié : Une baignade mortelle à la rivière Biroundou

Les habitants de Lébamba, chef lieu du département de louétsi-wano sont touchés par le drame qui s’est passé, ce 24 Juin 2025 au sein de leur localité. Le décès brusque d’une compatriote âgé d’une trentaine d’années Bénédicte LÉKOSSI plus connue sous le pseudonyme “maman béné” qui a trouvé la mort pendant sa baignade dans la rivière Biroundou.
Les faits se sont déroulés aux alentours de 8h30, la concernée qui a une réputation de grande cultivatrice et commerçante, s’est rendu à la rivière pour y faire sa lessive, accompagnée de ses deux enfants de bas âges. À la fin de celle-ci, la jeune dame a décidé de prendre un bain, quand vient le moment de se rincer, les personnes présentes l’ont vu s’écrouler de la tête aux pieds dans l’eau. Propos révélés par une source proche du dossier au micro de nos confrères de « l’union ».
Malgré le transport de cette dernière par des personnes présente, lors du drame à la clinique de Bongolo, le personnel médical ne fera que constater le décès. D’après l’expertise de l’équipe médicale, elle est morte après sa chute dans l’eau. Aucun signe de violence n’a été aperçu sur le corps de “maman béné” que les habitants du même quartier ont vu vendre son manioc à la veille au marché municipal.
Toujours étant douce, calme et souriante de son vivant, la jeune compatriote s’en est allée, laissant 5 enfants désormais orphelins de mère. À la suite de cette triste fin, la brigade locale de la gendarmerie sont actuellement en pleine enquête pour déterminer les raisons de ce décès.
Faits Divers
Port Gentil: des substances illicites aux télévisions, Lud Vignon MOUNZÉO en route pour une 2e prison

Jeune Gabonais âgé d’une vingtaine d’années au nom de Lud Vignon MOUNZÉO (LVM) , à été surpris en flagrant délit, il y a quelques semaines, dans le quartier Côte d’Azur, situé dans le 2e arrondissement de la capitale économique. À cet effet, alors qu’il rendait une visite de courtoisie à sa tante dans la zone appelé fort de l’eau, LVM à remarqué une maison dénuée de résident. Incité par un esprit de vol, ce dernier a commis un acte condamnable par le code pénal.
En effet, après avoir constaté que la maison était totalement vide, le présumé voleur a décidé de s’infiltrer afin de mettre la main sur tout article de valeur, « j’ai pris le premier écran que j’ai vu, puis le deuxième également. Je les ai posés sur ma tête et je suis parti avec. Je les revendais en ligne au prix du magasin, et les gens achetaient », a reconnu les faits au micro de nos confrères de “Gabon actu”.
Son arrestation par les forces de l’ordre s’est faite grâce à l’étroite collaboration d’un frère du suspect résidant dans le même quartier. En l’attirant dans un bistrot pour partager un verre de bière, Lud Vignon MOUNZÉO n’avait aucune idée que ses poignets allaient bientôt être serrés de menotte, « C’est un grand-frère du quartier qui a organisé ma capture. Il m’a invité à boire une bière et c’est là qu’on m’a appréhendé. Oui, je reconnais mes actes », a déclaré LVM.
À titre de rappel, il y a trois ans, ce jeune homme avait déjà été emprisonné au centre pénitentiaire de Port Gentil pour détention de substances illicites. Inscrit dans les registres des services de renseignement comme récidiviste, ce dernier n’en est pas à sa première infraction.
Il a été placé sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt du Château en attendant son jugement, une fois de plus nous tenons à féliciter le travail acharné des forces de police nationale au sein de cette partie de pays, car cette arrestation mettra en alerte d’autres individus ayant pour passion pour le vol.
Faits Divers
Franceville: condamné à 2 ans prison & 200.000 Fcfa d’amende pour vol aggravé

[J]eune compatriote de 24 ans, Prince ANGOUROUA a été condamné à 2 ans de prison et à une amende de 200. 000 Fcfa pour vol aggravé avec violence, en ce mois de Mai 2025. Cette décision juridique s’est prise lors de l’audience faite par la correctionnelle du tribunal de première instance de Franceville, le chef-lieu de la province du Haut-Ogooué.
En effet, cette acte nefaste causé par le coupable, se produit dans la nuit du 5 Avril 2025, au quartier Montagne Sainte, dans le 2e arrondissement de Moanda, le chef-lieu du département de la Lebombi-Leyou. Aux environs de 19 heures, alors que la victime dénommé M.T.V rentre à son domicile, il reçoit un appel d’un membre de sa famille. Lors de sa conversation avec ce dernier, Prince ANGOUROUA bondit sur lui, le maîtrise à l’aide d’une prise communément appelée « clé 14 » et lui arrache son téléphone portable avant de disparaître dans la nature.
Sur le fait, la victime a lancé des appels à l’aide entendu par les riverains qui etaient dans les environs, prennent en chasse le malfrat, et réussissent à le neutraliser non loin de l’hôtel Buding, ensuite ils l’on directement conduit au poste de gendarmerie. Lors de sa prise de parole à la barre, ce dernier reconnaît les faits, « J’ai aperçu ma victime en train de marcher seule. J’ai donc décidé de lui dérober son téléphone dans le but de le revendre », a déclaré PA au micro de nos confrères de ‘l’Union ».
Après avoir suivis les réquisitions du ministère public, la correctionnelle du tribunal de première instance a rendu sa décision, une condamnation de 2 ans de prison ferme, ajouté à une amende de 200.000 Fcfa. Sans oublié que Prince ANGOUROUA a déjà été condamné à 1 an de prison pour les mêmes faits en 2022.
Au sorti de cet audiance, les autorités devrait multiplier des patrouilles des agents de police et de gendarmerie, visant à lutter contre ce fléau de la délinquance juvénile, afin d’assurer un peu plus la sécurité des populations qui subissent ce genre de vols et agressions, surtout dans les quartiers sous intégré, que se soit dans la capital ou dans l’intérieur du pays.