Faits Divers
Libreville: Chômeur, il promettait des boulots de vacances fictifs à ses victimes
Hans Darel BOUMBANGOU, Gabonais de 28 ans et chômeur, s’est pourtant attelé à un travail des plus malhonnêtes : l’escroquerie en série. Il promettait à des jeunes sans emploi, des jobs de vacances au supermarché Prix Import.
Vous êtes jeune, sans emploi et disponible pour un job de vacances ? Contactez Hans Darel BOUMBANGOU, responsable de recrutement chez Prix Import. Pour déposer votre candidature, fournissez simplement votre CV et la modique somme de 5000 Fcfa en guise de frais de dossier, et le tour est joué. L’offre, alléchante, aurait été des plus louables en ces temps où le chômage des jeunes est accru. Mais il s’agit en fait d’une… escroquerie ! Une pure invention du sieur Hans BOUMBANGOU qui a fait plus d’une victime.
Le mode opératoire détaillé précédemment, savamment mis à exécution, le jeune homme disparaissait des radars, laissant sa victime largement le temps de se rendre compte de la supercherie dont elle vient de faire les frais. C’est dire que l’escroc a le mérite, si seulement c’était honnête, de se retrousser les manches. À coups d’affiches postées sur les poteaux électriques des quartiers de la capitale et d’annonces sur les réseaux sociaux, il opérait en véritable chargé de recrutement consciencieux et soucieux d’apporter sa pierre à l’édifice de redressement de la courbe du chômage.
C’est ainsi qu’une fois le candidat, prenant contact via le numéro de téléphone accompagnant les annonces, Hans se présentait promptement devant lui pour finaliser la procédure, s’assurant de ne pas repartir sans les 5000 Fcfa exigés et promettant certainement de rappeler. Mensonge ! Le jeune filou disparaissait dans la nature après perception de l’argent témoigne une victime, contactée par “l’Union”. Justement, quid des victimes ? Mortifiées !! Et encore plus malheureuses qu’avant l’infortunée rencontre avec l’escroc puisque toujours sans travail et dépouillées de 5000f.
Les plaintes de ces nombreuses victimes vont amener la Direction de la Sécurité Urbaine (DSU) à mener l’enquête et mettre enfin le grappin sur le bandit au quartier Pleine-Orety, dans le 2è arrondissement de Libreville, au moment où… il venait fraîchement d’empocher 5000 Fcfa , faisant ainsi une énième victime !! Placé en garde à vue, il répondra prochainement de ses actes devant la justice, car une dizaine de victimes, qui l’ont d’ores et déjà formellement reconnu, se sont dites déterminées à témoigner devant un tribunal.
Dans tous les cas, cette histoire abracadabrante est la preuve de la fosse commune qui est en train d’être insidieusement creusée dans le pays. Une boutade célèbre sur les réseaux sociaux dit qu’au Gabon, il n’y a tellement pas de travail que chercher du travail en devient un. C’est cette mission-là que s’est assignée Hans Darel, pour le pire malheureusement, lui aussi une victime du système social délité, profitant de la détresse et de la précarité de ses jeunes compatriotes. Les pouvoirs publics sont une fois de plus interpellés. Il faut faire quelque chose !
Une parieuse fidèle du Pari mutuel urbain gabonais (PMUG) a remporté une somme colossale de 71 038 200 FCFA en validant son ticket Jackpot le lundi 19 août 2025 au carrefour Léon MBA. Cette victoire est un exemple de l’impact du PMUG dans la vie des gabonais.
L’heureuse gagnante, une habituée du jeu, a validé son ticket au point de vente du carrefour Léon Mba et a découvert son gain avec incrédulité. «C’était une émotion indescriptible, je n’ai pas dormi de la nuit tellement je pensais à mes projets», a-t-elle confié.
Le directeur commercial du PMUG, Lionel MICHEAU, a remis le chèque géant à la gagnante lors d’une cérémonie solennelle à l’agence centrale du PMUG. Il a souligné que le Jackpot est une opportunité unique pour les gabonais, accessible à partir de 200 FCFA, et a rappelé la transparence et l’accessibilité du jeu.
Le PMUG invite le public à continuer l’aventure dans ses kiosques, auprès de ses revendeurs agréés, ou directement en ligne. La saga aux millions se poursuit, confirmant le slogan de l’opérateur : « Faites vos jeux, changez vos vies. »
La Première Dame du Gabon, Zita OLIGUI NGUEMA, a rendu une visite de compassion à la famille de la petite Esther Ludivine MOUSSAVOU EYANG MBA, victime d’un crime odieux. Lors de cette rencontre, elle a exprimé sa profonde sympathie et son soutien indéfectible aux parents de la victime.
« En tant que mère, j’ai tenu à être aux côtés de ses parents pour leur exprimer ma profonde compassion et leur assurer mon soutien« , a-t-elle déclaré. Réaffirmé sa volonté que justice soit rendue dans toute sa vérité et sa rigueur.
Elle a souligné l’importance de protéger les enfants et de prendre des mesures pour prévenir de tels actes. « Protéger nos enfants est une responsabilité collective. Nous devons agir ensemble pour préserver notre humanité et défendre l’avenir de notre pays« , a-t-elle ajouté.
La Première Dame a conclu en exprimant sa tristesse et sa solidarité envers la famille de la victime. «Ma petite Esther, ton nom restera à jamais gravé dans nos cœurs», a-t-elle dit. Cette visite est un signe de son engagement à soutenir les familles touchées par de tels drames et à promouvoir la protection des enfants au Gabon.
Les habitants du quartier Ibanga, situé dans la commune de Tchibanga, vivent dans la tourmente depuis quelques jours. Selon des informations relayées par TV+ Afrique, une présence surnaturelle serait ressentie par certains résidents du quartier, principalement la nuit. Cette situation a provoqué panique et affolement dans la zone.
Le couple Prince et Claudette serait le plus affecté par ces événements étranges. Prince a raconté une expérience choquante, affirmant avoir été bloqué et avoir ressenti la présence de quelqu’un dans la chambre sans voir personne. Selon lui et sa conjointe, le revenant aurait même révélé son identité et affirmé être à la recherche d’une femme du quartier.
Face à ces manifestations inexplicables, Prince et Claudette ont alerté les notables d’Ibinga. Ces derniers ont convoqué la présumée femme recherchée par le spectre, qui a nié toute implication et contesté les accusations.
La chronique continue de faire peur aux habitants de ce quartier, qui restent plongés dans le tourment et l’angoisse face à cette aventure mystérieuse. Les résidents sont inquiets et attendent des solutions pour mettre fin à ces perturbations.
